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La sœur de l'un des suspects de la cellule terroriste de Gabès est juge
15/03/2017 | 16:06
1 min
La sœur de l'un des suspects de la cellule terroriste de Gabès est juge

Une importante somme d’argent a été saisie en possession de l’un des membres d’une cellule terroriste démantelée récemment à Gabès, apprend Business News, ce mercredi 15 mars 2017, de source sécuritaire digne de foi.

 

Le suspect a été transféré à Tunis pour les besoins de l’enquête. C’est là que sa sœur s’est manifestée pour annoncer que la somme d’argent lui appartenait. Il s’est avéré que la sœur est juge à Gabès.

 

M.G

15/03/2017 | 16:06
1 min
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Commentaires (18)

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chad 48
| 16-03-2017 14:28
Oui que se soit le terroriste qui porte un fusil d'assaut ,ou le juge ou encore le journaliste et autre commentateur qui s'insurge contre un article incriminant x ou y ! L'Islam des wahhabites ou des frères musulmans n'est pas notre Islam et nous avons été élevés dans la modération et la tolérance et nous ne sommes pas arabes non plus comme veulent certains nous l'imposer. C'est fini la rengaine des traditions (islamo-bidules) que véhiculent certains pour nous droguer. Le monde autre que les musulmans invoquent le savoir et la science quant à leurs traditions c pour les fêtes folkloriques.

Abel Chater
| 16-03-2017 13:10
Sommes-nous de retour à ces méthodes dictatoriales, d'amalgamer tous et chacun au crime de l'individu?
Depuis quand cette génération qui fut éloignée de nos us et coutumes arabes et musulmans par le régime du dictateur déchu Ben Ali, aurait-elle la culture de se mettre à l'ordre de la famille?
Que la soeur ou le frère d'un terroriste soit juge ou ministre, qu'est-ce qu'ils pourraient changer de la délinquance de l'un des leurs, du moment que la loi tunisienne l'interdise avec véhémence incompréhensible?
Dans la richesse et les beaux jours, la famille de l'individu est oubliée, mais dans le malheur et la délinquance, les vautours humains s'intéressent à elle pour la fourrer de gré ou de force dans les problème du délinquant.
Quelle équité boiteuse et malade.

Ben
| 16-03-2017 11:36
Le cas de cette juge appelle à réflexion quant au dossier de l'intégration, dans la fonction publique, de ce ceux qui se prétendent avoir été écartés, par l'ancien régime, de l'accès à la fonction publique.
Ces gens ne constituent-il pas un réel danger pour la pérennité de l'État, et celui-ci n'est-il pas dans son droit de se défendre contre les risques de noyautage serait-il par personne interposée.
Un système a été détruit, basé, quels que soient ses excès, sur la prévention.Reste à se demander si on a pu inventer un meilleur système qui épargne le pays de l'intégration de ce genre de magistrat au sein de la justice?
Il y a tout lieu d'en douter au vu de la gabegie qui règne dans le pays.

Amor
| 16-03-2017 11:24
Cette juge qui vient couvrir un crime contre la sécurité de l'État devrait être poursuivie pour complicité de faits terroristes et traduite devant le conseil de discipline.
Monsieur le ministre cette juge constitue un danger imminent pour la sécurité de l'État, et des mesures devraient suivre dont la suspension immédiate de ses fonctions en attendant que le conseil se prononce sur son cas.
Monsieur le ministre il est impératif que vous assumiez vos responsabilités.

Maktouf
| 16-03-2017 10:04
La machine de destruction du pays, de ses instituions névralgiques, dont les appareils judiciaires et sécuritaires, a commencé au lendemain du 14/01/2011 mettant en péril l'essence même de l'État pour mener, in fine, à la paralysie du pays.
La justice connut alors un mouvement de politisation accrue et fût noyautée par divers partis, lobbies et associations outre le noyautage par des éléments subversifs de l'islam politique.
La justice était, de notoriété publique, bien plus sereine, plus juste et plus compétente avant le 14/01/2011, et le dénigrement qu'elle a vécue avait pour seule raison de la vider de ses meilleurs hommes aux fins d'y mettre la main dessus et d'installer le chaos dans le pays.
Le pays a payé bien cher la première année de la révolution avec ses incidences en termes d'installation du terrorisme et de la contrebande et de déconfiture de tout le système économique, le départ des sociétés étrangères, la fuite des cerveaux et des promoteurs Tunisiens d'un pays livré à lui-même, et pour preuve cette magistrate qui vient couvrir les forfaits et méfaits de son frère apprenti terroriste.

takilas
| 16-03-2017 09:20
L'Égypte à prévu toutes ces arnaques depuis belle lurette. Pour la Tunisie la connivence de Ben Ali avec les traîtres de nahdha est la principale cause de la débandade et de la décadence de ce pays qui ne peut éviter cette déroute qu'en se débarrassant de ce mal nommé Nahdha qui de surcroît trouvent des traîtres, dans le pays même, qui le défendent bêtement, comme par exemple Samia Abbou qui espère le retour de Troïka pour s'accaparer d'un poste lucratif et rentable. Évidemment les amitiés de Londres, lors de leur séjour de fuite et de cachette preparatif à un retour en fanfare en 2011, ne peut s'oublier aussi facilement.

Tt
| 15-03-2017 21:36
Il faut qu elle n est plus le droit de juger jusqu'à à la fin de l enquête si elle a eu le toupet de dire que l'argent est à elle
Si la famille n a plus peur lors des affaires de terrorisme alors nous gagnerons pas cette guerre

Citoyen
| 15-03-2017 21:15
En prétendant être le propriétaire de la grosse somme d'argent qui se trouve en dehors du circuit bancaire donc en dehors du circuit transparent la juge laisse planer le doute sur l'origine de cette somme qui ne peut résulter d'économie sur son salaire de juge . Une enquête s'impose pour ne pas semer le doute sur la probité des magistrats.

HAtemC
| 15-03-2017 19:08
La justice est complètement gangrénée .. c'est un pouvoir énorme entre les mains des ISLAMISTES ...

Ce pouvoir est encore plus grand que de museler l'armée ...
Le nettoyage de la justice est un IMPERATIF ... Hatem Chaieb

A4
| 15-03-2017 18:51
JUSTICE
Ecrit par A4 - Tunis, le 16 Novembre 2016

Il est mort ?
Et alors !
Il n'a pas été lynché
Il est mort ?
Et alors !
C'est la mort qui l'a tué
Il est mort ?
Et alors !
C'est son coeur qui a lâché

C'est bien sûr de sa faute
S'ils l'ont tous vite oublié
Ses amis, camarades, potes
Ses voisins et alliés

Ils ne gardent presque rien
De cette horrible journée
Où la horde de martiens
Arriva enturbannée

Ils ne l'ont pas menacé
Ils sont venus en copains
Mais pourquoi a-t-il glissé
Sa poitrine sous leurs parpaings ?

Pourquoi était-il pressé ?
N'avait-il rien d'autre à faire
Que de foncer tête baissée
Sous leurs grosses barres de fer ?

Aujourd'hui justice est faite
Ne dites rien, nom d'un chien !
Aujourd'hui grande est la fête
Chez les sales juges daéchiens !