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Réunion entre Nidaa Tounes et Ennahdha concernant la constitution d'un gouvernement d'union nationale
06/06/2016 | 12:31
1 min
Réunion entre Nidaa Tounes et Ennahdha concernant la constitution d'un gouvernement d'union nationale

Une rencontre entre les représentants des deux partis, Nidaa Tounes et Ennahdha a eu lieu ce lundi 6 juin 2016 au siège du parti Nidaa Tounes aux Berges du Lac, pour discuter de l’initiative du chef de l’Etat de former un gouvernement d’union nationale.

 

Etaient présents à cette entrevue : Rached Ghannouchi, le chef du bloc d’Ennahdha, Nourreddine Bhiri et Noureddine Arbaoui. Pour Nidaa Tounes, étaient présents le directeur exécutif du parti, Hafedh Caid Essebsi, le chef du bloc parlementaire Sofiene Toubel, le ministre du Transport Anis Ghedira, et Abdelaziz Kotti.

 

K.H

06/06/2016 | 12:31
1 min
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Commentaires (18)

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LA VIRTUELLE
| 07-06-2016 23:28
tous les problèmes qui vive la Tunisie c'est à cause de la dite révolution qui a perturbé la bonne marche du système il me semble que ces perturbations ont des buts biens précisés c'est de déraciner le système de dictature de Moamar EL Kaddafi ( a bou méniare ) sans tenir compte des intérêts du peuple Tunisien faut mieux faire rappel aux éléments de l'anciens ainsi ceux qui ont prouvé leur efficacité le Troika et le Nahda .
Ainsi il faut se concilier avec l'ancien président Ben Ali qui est reconnu de sa bonne gestion par les spécialistes mondiales .Donc la conclusion que le sabotage du précité est voulue pour mettre la Tunisie à genoux mais en a la chance que Badji Caid Essebsi a pris le pouvoir pour qu'il réparera ce qu'il était ruiné dernièrement mais la question qui reste obscure ou est un grand compétent qui prouvait sa compétence dernièrement le nommé Drisse Guigua .( BCE = D.Guigua )

Bourguibiste nationaliste
| 07-06-2016 10:35
Il faut revenir à la réalité. Notre pays s'est engagé dans une voie d'impasse depuis 2011 et il faut donc rebrousser chemin et revenir au point de départ. Il faut remettre tout à plat et surtout exclure les islamistes du pouvoir. C'est la seule solution viable pour le pays et tôt ou tard, cette solution s'imposera.

tounsi
| 07-06-2016 07:41
cette photo c'est une veillée funèbre el barka fikom

Nahor
| 07-06-2016 05:04
Pour la plus grande diffusion:

C'est pour défendre les droits démocratiques du PEUPLE TUNISIEN, que M. Essid, actuel chef du gouvernement, doit rester à sa place et résister aux pressions des adversaires, et même à Caïd-Essebsi si c'est nécessaire, car son rôle est
essentiel dans le cas du REFUS de l'opposition de passer à un gouvernement d'union nationale.

M. ESSID à ce moment représente le SEUL GARANT de la DÉMOCRATIE par le CHOIX ÉLECTORAL, et non plus hélas Béji Caïd-Essebsi qui a trahi ses engagements avec l'électorat et donc avec le Peuple Tunisien.

Ce n'est pas un PARTI DEVENU MINORITAIRE à l'ARP comme Nidaa, ni un parti battu aux dernières élections comme Ennahdha, ni un CONTRAT de partis CONTRE NATURE (contre les objectifs électoraux et de la révolution) qui doit faire ce choix à la place du Peuple.

C'est essentiel donc de PRÉSERVER UNE TRÊVE
POLITIQUE par le STATU QUO gouvernemental, car un COUP d'ETAT se prépare et il est soutenu par la CIA de John Brennan et du frère-musulman Obama!

On le voit clairement par les coups de butoir contre la République Tunisienne portés sournoisement par les islamistes (et donc Ennahdha) à travers leurs agitateurs comme Ridha Belhadj qui défit l'Etat en proclamant le califat et appelant à la Char'îa dans l'intention de renverser la Constitution, une Constitution coûtée des années de sueur et de sang.

Tout cela sert naturellement de publicité aux terroristes de Daëch et renforce enfin Rached al-Ghannouchi dans son but de muter la Tunisie en RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE selon le modèle révolutionnaire de Khomeiny qu'a cultivé obsessionnellement pendant 40 ans (soutien secret iranien).

ARRÊTONS là la mafia islamiste! Les raisons pour un REFUS sont évidentes:

1. La Tunisie n'est pas la Libye sous l'effet des conflits des tribus et l'occupation de Daëch.

2. C'est justement pour préservez la démocratie qu'il faut faire opposition au projet de confusion idéologique de la part Ennahdha, qui reste un PARTI ISLAMISTE qui vise à une RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE, comme je viens de dire, malgré le camouflage.

Une république islamique à tendance khomeiniste serait le pire cauchemar pour plusieurs pays de la Ligue Arabe, comme l'Egypte, la Jordanie, le Maroc et les
pays du Golfe et peut créer davantage d'instabilité en Libye et même en Algérie, mais hélas cela est encore le but des lobbys militaro-industriels états-uniens avec la CIA d'Obama, suivant l'agenda
du chaos mis en marche par Jimmy Carter en 1979!

Nous savons pertinemment que cette idée de
"gouvernement d'union" vient du chef d'Ennahdha, mais qu'on la présente comme venant du président Caïd-Essebsi (grande mascarade), car en effet l'interview de Béji Caïd-Essebsi jeudi dernier sur Al Wataniya 1 vient après la longue entrevue entre lui et le gourou islamiste au Palais de Carthage, "soulignant la nécessité de mettre toutes les capacités [politiques] au profit de l'Etat" (déclarait Ghannouchi) qui en parfait double-jeu a étalé son chantage pervers ("moi ou Daêch") et ainsi sonne la déclaration du chef d'Ennahdha, au
journal Achark Al Awssat, publiée le mercredi 1er juin 2016.

Donc toute l'OPPOSITION LAÏQUE et la société civile doivent s'organiser pour une coalition forte comprenant la gauche -et non plus Nidaa compromise et vendue idéologiquement- et il faut une marge de
temps en toute sécurité.

3. Une vague de terrorisme à tout azimut est déjà dans l'air, ce n'est pas le temps de jouer aux "changements" dans le gouvernement, plutôt que les islamistes soient mis au frigo!

Cette idée d'un gouvernement "d'union nationale" qui veut prendre les Tunisiens par la surprise, dans la diversion du temps de ramadan, est en réalité un piège en vue de FAIRE IMPLOSER L'ETAT à partir des failles de son gouvernement actuel.

Pour le bien de la Tunisie et pour la pérennité de l'Etat de Droit, cet avertissement sera relayé au niveau international.


Signé "Nahor", Activiste des Droits Humains

EL OUAFY avec Y à la fin
| 06-06-2016 20:29
Il n'ont pas de choix que de faire appelle aux anciens dirigeants de l'Etat profond qui ont acquit une longue expérience à la charge du peuple lesdites ( Azlames ) sont en mesure de mettre l'Etat dans une voie étroite que pensez vous des elits suivants
Drisse guigua
Mostepha Ben Djafaar
Mahdi djomoa
Chadli Klibi
Ben Ticha Nouredine
Amar 4x4 04
est la liste est trop longue .
ce qui faut c'est la compétence soit qu'il en soit le vieux système ou autre .

A4
| 06-06-2016 14:07
LA CLASSE POLITIQUE
16 Avril 2016

Et voilà la classe politique
Elle est là tout à fait au fond
Ils sont malades et nostalgiques
Plongés dans un sommeil profond
Allez savoir ce qu'ils fabriquent
Moi je déteste ce qu'ils font

Les nostalgiques en millénaires
Sont à droite, à l'extrême
Ils ont des rêves qui dégénèrent
En califat d'ordre sixième
En morbides instincts sanguinaires
Qui leur donnent ce vil teint blême

Ces nostalgiques du désert
N'ont qu'une seule vocation
Qui les ronge tel un cancer
Les poussant à la destruction
De toute oeuvre ou espace vert
Laissant ruine et désolation

Les nostalgiques en centenaires
Occupent la rangée de gauche
Ils radotent à bout de nerfs
Et ils trouvent que tout est moche
Tout leur monde est en binaire
Tous leurs beaux rêves s'effilochent

Ces nostalgiques des glaciers
Des murailles et des rocheuses
Ont des programmes populaciers
Pour fainéants et pleureuses
Qui veulent vider le couscoussier
Des bosseurs et des bosseuses

Les nostalgiques en décennies
Suffoquent et ont besoin d'air
Se chamaillent, sont à l'agonie
A la recherche d'un leader
Les guidant au chemin béni
Aboutissant au belvédère

Ces nostalgiques des tropiques
Des jeux et des enfantillages
Sont des modernes archaïques
Qui ont raté leur aiguillage
Ils ont l'allure pragmatique
Mais la cervelle est d'un autre âge

Tout ce beau monde me dégoûte
Tous ces nostalgiques m'indiffèrent
Leur seul cri "en arrière toute"
Ne peut nous mener qu'en enfer
C'est bientôt la banqueroute
Pour ceux regardant en arrière

beidou
| 06-06-2016 14:00
Pour sauver le pays, il faut éloigner les islamistes, les imbéciles, les débiles et les frères musulmans, si-non, bay bay tounes. Quant je pense que Sofiene Toubel, Hafedh Caid Essebsi, Nourreddine Bhiri, Abdelaziz Kotti, Rached Ghannouchi ou Noureddine Arbaoui décident pour notre sort, vraiment y'a de quoi rigoler!!!! allah yesemhek ya bejbouj.

Walid
| 06-06-2016 13:57
Nous voulons des gens compétents ayant une experience dans la gouvernance publique. Un gouvermement restreint une equipe de choc capable de sauver ce pays. Non au partage du gateau entre plusieurs partis et à la fin on se retrouve avec des ministres inexperimentés. Le pays n'a plus le temps de supporter. Le pays a besoin d'actions.

A4
| 06-06-2016 13:55
Deux moribonds qui se réunissent pour tenter de donner vie à je ne sais quoi ...
Quand on voit la tête qu'ils font sur la photo, on se dit que l'ambiance était certainement mortelle !!!

le vrai
| 06-06-2016 13:50
bonjour à tous
on a conçu ou plutôt ils ont conçu un dostour hors cadre et hors mesure ...la preuve les députés doivent réagir et changer non pas le président car lui même sous la loupe de ARP..la preuve ennasr n a bougé qu apres avoir vu le président proposer des solutions à sa place ...nous n avons pas de classe politique de niveau surtout les députés qui doivent partir avant gouvernement...nous n avons pas de partir ..nidaa devise et vidé..riahiii partis aussi ...hamma chikhatt out ...il faux garder essid du moins khirr menblechh et changer 7 ministres au moins : tourisme enseign sup finance environnement chahed chouket transport... a suivre