J'ai lu avec intérêt votre exposé et je suis d'accord sur l'analyse réaliste jusqu'à la 4e question.

Sur le cinquième point, non, car vous avez traité Daësh par gigantisme. Bien que cette organisation terroriste soit extrêmement dangereuse et criminelle, elle ne dispose pas en réalité d'un Etat. Parce que la population dans les zones infestées par ses terroristes n'est pas acquise.

Son "Etat" nominal est uniquement le fruit de la propagande et du financement massif du Qatar, qu'y mise en empruntant aussi les moyens techniques et les spécialistes de sa chaîne Al-Jazeera, dont une partie a été très probablement "passés" à l'activisme de vidéo-propagande informatique terroriste.

Ce qu'il faudrait est une expertise technologique pour étudier en détail les caractéristiques du montage et des effets utilisés et les comparés à ceux utilisés par Al-Jazeera. Naturellement cette coopération entre plateforme-maison et plateforme-terroriste est certainement soumise à un projet manipulatoire de masse (psychologie publicitaire déviante) élaboré par la CIA sur la base de leurs études de conditionnement psychique sur cinquante ans (projets Mk-search, MK-ultra, et sous-projets). Le psychiatre américain Colin Ross, qui a traité l'historique et l'extension de ces projets criminels dans son livre "The CIA Doctors" (lisible en partie par le biais de Google-livres) a été contacté à 2 reprises, mais il n'a jamais répondu, refusant la vente à distance vers la Tunisie, après mes explications que la lecture était en fonction d'une possible connexion entre les activités passées et présentes de manipulation psychique ("robotisation assassine") de la CIA et le "traitement" de jeunes envoyés pour le djihad en Syrie et Irak, dont un grand nombre des tunisiens à bas quotient d'intellect et frustrés par des problèmes sexuels et familiaux. Le refus de consigne et même de réponse de la part de ce Docteur - qui est en relation avec des agents CIA - est une preuve en plus de l'implication de cette dernière. Dans ce sens, puisque vous possédez les contacts nécessaires en Russie, je vous prierais, cher monsieur, de passer l'idée à des experts russes afin que le public mondial en soit informé. En effet, je crois que la première arme que doit être utilisée contre le réseau terroriste Daëch est une pédagogie populaire et une re-information massive par tous les moyens médiatiques.

Donc, pour le moment, la population en Libye doit être épargnée de tout bombardement massif, car elle a déjà subi ce choc, criminellement, par l'OTAN en 2011. La population libyenne est en grande majorité Kadhafiste et elle désire prendre sa revanche contre l'invasion de la Jamahiriya par les "rats" envoyés par le Qatar et de la corruption des tribus par l'argent qatarien. C'est pour cette raison que l'ONU et l'OTAN veulent maintenir l'embargo, car le gouvernement sorti gagnant par le vote populaire en juin 2014 et forcé à l'exil à Tobrouk, gagnerait facilement avec le concours de la population Kadhafiste. Et l'OTAN et ses lobbys occidentaux perdraient évidemment leurs "bonus" pétroliers cotisés avec le Qatar et la Turquie.

Mais les choses semblent aller vers la bonne direction: l'armée nationale mise de bout par le Gén. Haftar a reconquis Benghazi - au grand dam des Frères musulmans de Tripoli, et leur gouvernement illégale basé sur les traîtres et les milices mercenaires. H. Haftar - qui se rappelle maintenant de sa jeunesse Kadhafiste - y va bientôt installer le gouvernement exilé à Tobrouk. Vous savez comprendre très bien quelle sera la suite... Haftar a pratiquement renié les USA d'Obama, qui essayent de l'exclure du "gouvernement d'union" ficelé par Rached Ghannouchi et Fréro-islamistes en Tunisie, c'est pour cette raison que l'envoyé Kobler cherche désespérément ce gouvernement d'"union" qui ne sera jamais voté à Tobrouk.

Pour l'OTAN s'est fini...rien ne va plus, et si seulement Haftar fera amende et appellera tous les Kadhafistes à s'unir dans le "nettoyage général" des Daëch de Syrte jusqu'à Tripoli, en passant par le djebel Nefoussa en coupant la route vers la Tunisie, nous verrons la libération de Tripoli. A ce point, nous savons pertinemment comment il faut traiter le Qatar et les turques d'Erdogan avec la présence des sou-marins à tête nucléaires russes qui s'uniront dans la mission égyptienne laquelle aussi je crois qu'est imminente.

Avec mes MEILLEURS VOEUX de SUCCÈS!

PS. Je vous envoyer une demande de communication par votre page de réseau social. Vous y verrez un logo "vert", très "vert". C'est tout pour l'instant, cher Monsieur.

L'analyse de M J WAYNE et la solution qu'il propose et qu'il souhaite de ses v'ux se tiennent mais même si je respecte son opinion, car elle a au moins le mérite d'être claire directe intangible non dénuée d'humour caustique et sincère depuis le début contrairement aux chamailleurs qui officient souvent dans ce forum d'expression démocratique, je ne la partage pas tout à fait.
Il est clair qu'un régime militaire à la Sissi « pacifierait » le pays pour un temps donné mais ce genre de régime ne peut être installé de manière durable(et c'est à 20 30 à 50 que l'on raisonne pour un pays) et ce pour plusieurs raisons.
Si l'on prend l'exemple du cas Sissi, ce dernier a fait embastiller et condamné à mort plusieurs centaines de frères musulmans. La répression a été des plus féroce et aujourd'hui le moindre millimètre de barbe dans ce pays est passé au fil du rasoir ou plutôt de la baïonnette devrais-je dire.
Le Caire a été rénové et la vie y semble des plus belles et des plus joyeuse.
Pourtant vous aurez beau éradiquer tous les hommes d'une mouvance quelconque vous n'en éradiquerez pas pour autant l'idéologie bien au contraire. Pourquoi ?
Parce que le terreau sur lequel pousse toutes les idéologie extrémistes est l'HUMILIATION.
Que cette humiliation soit verbale, physique, géographique ou économique ou même encore celle de la pauvreté relative( celle où M JENDOUBI voit son voisin M CARTAGI rentrer chez lui en Porsche Macan et que lui bien que ne prenant pas les transports en commun lui ne possède qu'une Renault Symbol, voilà d'ailleurs pourquoi les riches vivent dans des quartiers de riches) c'est toujours l'humiliation qui a été le terreau des révolutions et de toutes les idéologies extrémistes et croyez bien que les grands stratèges le savent pertinemment puisqu'ils l'utilisent allègrement pour leurs intérêts ou incitent leurs adversaires à l'utiliser.
Bolchévisme ? Humiliation des Moudjiks et autres prolétaires russes par la famille régnante.
Révolutionnaires français ? Humiliation des membres du Tiers état par l'arbitraire royal notamment par les lettres de cachet et la dîme et la gabelle.
Révolution Iranienne ???Humiliation des opposants par le Shah avec complicité sournoise américaine.
Plus actuel Salafisme, Mouvement des frères musulmans ???? Humiliations par les puissances occidentales et les régimes arabes autoritaires sur les populations.
Allez Sionisme ??? Humiliation des juifs d'Europe par de multiples pogroms et autres atrocités, Humiliation statutaire des juifs Dhimmi dans le monde musulman, toujours alimentée par l'anti-judaïsme stupide (au point que certains ne peuvent pas sentir littéralement les juifs qui sont pourtant du même peuple qu'eux) qui sévit encore dans nos sociétés. Humiliation savamment utilisée par les pragmatiques chefs d'entreprise américains de la côte est pour créer un état d'Israël servi avec soupe messianique et fierté retrouvée des juifs humiliés depuis des siècles tout simplement pour sécuriser les intérêts pétroliers américains (pétrole carburant de notre système économique actuel) tout en jouant parfois à armer les petits arabes afin qu'Israël domine mais pas trop non plus.
Ce qui empêche une lecture lucide de la question c'est justement que le retour de manivelle n'arrive pas nécessairement au moment où les pires humiliations sont commises mais au moment justement où le dirigeant lâche la bride, ce qui fait dire à ses partisans qu'il aurait dû continuer à être impitoyable sans comprendre qu'il se prend de plein fouet le fameux retour de manivelle.
Ainsi affamez un homme mais ne l'humiliez jamais !!!
Je crois pour ma part dans notre cas à un état dirigiste certes, autoritaire dans les limites strictes de la loi, efficace dans sa police. Je crois aussi aux mesures d'exception, à l'élimination physique des agresseurs mais je ne crois pas à la répression, à l'humiliation, je pense que c'est de l'intérieur que les choses changent et que lorsque tout le monde habitent dans la même maison(avec des règles stricte mais où tous sont respectés) personne n'a intérêt qu'elle brûle.
La force du salafisme, des frères musulmans et de Daech et que l'on ne dit pas assez souvent, c'est que ces mouvements (bénéficiant de l'expertise pragmatique américaine) très habiles pour surfer sur l'humiliation parviennent à gagner les c'urs par l'argent via mécénat et aides financières diverses et directes aux familles. Les entrepreneurs américains de la côte est sont des experts du mécénat.

Je crois que vous auriez du mettre un peu plus en exergue l'attaque de la mosquée et y consacrer même un article à part.
En effet, en parler secondairement peut être assimilé à une certaine banalisation de cette "taghoutisation" de nos forces armées qui, faut-il le rappeler, ouvre la voie et "légitime" même pour certains la guerre que nous vivons.
Combien étaient les assaillants de la mosquée ? Étaient-ils armés? Ont-ils été arrêtés ou sont-ils tranquillement repartis dans la nature comme si de rien n'était? N'ont-ils pas pu être identifiés par ceux auxquels ils se sont confrontés? C'est ce type d'informations que nous aimerions avoir pour jauger la réactivité du Gouvernement et savoir s'il amorce ou non une vraie politique de guerre!

bouzid 17 ,sfax 1...????
il manque tripoli , tumbuctou , ouagadougou,
ushuaia .....

Je la garde, celle là!
C'est un scénario tout à fait plausible. ..

On regrettera un jour de ne pas avoir tiré une balle dans la tête de chaque terroriste arrêté, quitte à commettre des bavures.

Il devient de plus en plus clair pour l'immense majorité des tunisiens que nous sommes dirigés par une bande d'amateurs. Alors que Mme Elloumi accumule les bêtises, passe encore, que Mr Aidi se prenne pour une super star ou Mr Jaloul pour un Mahmoud Messadi ou Mr Ben Romdhane passe son temps à théoriser la misère, tout cela est grave mais ce qui apparat plus grave surtout après Ben Guerdane, c'est que Essid se prenne pour un super un chef suprême de la sûreté, cela devient mortel. Nos valeureux soldats et douaniers ont prouvé qu'ils étaient prêts à mourir pour la patrie. Il leur faut un commandement aussi valeureux qu'eux. Je ne parle parle pas de la hiérarchie militaire mais du politique. La Tunisie ne peut pas se gargariser de victoires ou de succès. La vérité est que nous sommes menacés partout à Sidi Bouzid, au Kef, à Kasserine, à Gafsa, à Tatouine et même à Sousse. Ce n'est pas l'équipe gouvernementale actuelle avec des amateurs calculateurs, aux ambitions démesurées qui mènera la Tunisie à bon port. La Mort de Belaid, de Brahmi ont donné un sursaut de conscience des dangers que courent la Tunisie. Il faut que Ben Guerdane le soit aussi. Ils ne doivent pas nous endormir par leurs creux discours.

Q-1 : Depuis environ 5 années, vous avez multiplié les avertissements sur Business News en exhortant le peuple Tunisien à boycotter le système démocratique. Très peu de Tunisiens vous ont écouté et la majorité ont fait preuve d'incompréhension. La destruction imminente de la Tunisie face au péril de DAECH est-t-elle liée à ce même système démocratique que vous avez diabolisé ?
JW : Oui sans aucun doute. La démocratie est un leurre dans le monde Arabo-musulman. Dès qu'un système démocratique est mis en place, généralement sous la tutelle d'un gouvernement Américain, les pays plongent dans le fanatisme et la violence religieuse. Les exemples sont multiples, de l'Irak à l'Afghanistan, en passant par l'expérience Algérienne. L'Islam est par définition l'antithèse de la démocratie puisqu'il s'agit d'une religion à caractère totalitaire. L'Islam est par essence une dichotomie universelle entre les musulmans, décrits comme vertueux et purs, et les infidèles, décrits comme impurs et impies. L'Islam est donc une religion essentiellement ségrégationniste. Dans tout système démocratique, les islamistes jouent la carte de l'entrisme afin d'assoir des régimes qui tôt ou tard affichent un visage de fascisme. Le meilleur exemple étant la Turquie actuelle. La version Tunisienne de la démocratie est d'autant plus propice à l'instauration d'une théocratie que la Tunisie est par définition un pays pauvre sans ressources notables et dont l'économie n'est viable qu'avec un régime autoritaire et laïc qui protégerait l'industrie touristique. De plus et contrairement à l'Algérie, la Tunisie est un pays pauvre et a l'infrastructure militaire faible. En d'autres termes, la Tunisie est limitée dans sa capacité de défendre son intérieur ou son extérieur, ce qui la rend très vulnérable. Boycotter le système démocratique aurait poussé l'armée qui a destitué Ben Ali par la force, à retourner de façon perpétuelle à un état de régime militaire provisoire sans limite réelle dans le temps. Or un régime militaire est le seul moyen de parer aux problèmes qui ont affaibli les structures de la Tunisie comme les grèves, le chômage, le terrorisme, et l'anarchie qui existe dans les mosquées et dans certaines régions qui aujourd'hui échappent au contrôle du gouvernement actuel qui se dit « démocratique ». La première étape d'un plan de sauvegarde de la Tunisie en tant que Nation doit passer par un changement urgent du système politique actuel en un régime militaire. Le peuple Tunisien et la classe politique doivent faire preuve de réalisme mais aussi rejeter tout diktat étranger de pays comme les Etats Unis et le Qatar dont l'ingérence a également mené à cette situation catastrophique.

Q-2 : Depuis le 14 Janvier 2011, vous avez esquissé d'innombrables et sombres scenarios que très peu de Tunisiens ont pris au sérieux. Quel est aujourd'hui le scénario que vous voyez comme étant le plus probable ?
JW : Les Tunisiens sont un peuple intellectuellement faible. Ils sont émotionnellement instables et influençables ce qui favorise les ingérences étrangères. Si la classe du mouvement National avait comme idéal une Tunisie a jamais souveraine, les générations plus jeunes ont vu en la lutte pour l'indépendance un thème dépassé à enterrer à jamais. Or ces mêmes générations ont oublié que l'histoire des hommes et de leurs guerres est un perpétuel recommencement. La globalisation et l'ouverture sur le monde sont des principes colonialistes. Car si les Etats Unis insistent sur la création d'un nouvel ordre fondé sur cette globalisation, c'est bien pour des raisons d'hégémonie. La globalisation est une ruse hégémonique. Le monde est le même qu'a la veille de la première guerre mondiale avec des pays qui créent des conflits car ils menacent la souveraineté d'autres, créant ainsi des courses à l'armement et des guerres par procuration ou non. Les Etats Unis par exemple, jouent un jeu très dangereux en Russie ou ils menacent la souveraineté d'une puissance nucléaire en influençant les hommes politiques des pays mitoyens a cet empire, mais aussi par une expansion de l'OTAN vue comme une agression militaire par Moscou. En Tunisie, le Qatar et l'Arabie Saoudite exercent un chantage économique afin de faire de notre pays un autre état islamiste tampon comme le Pakistan, qui protègerait le régime Wahhabite de Ryadh. Alors que les Etats Unis et leur FMI veulent s'accaparer de l'économie Tunisienne afin d'éviter que notre pays bascule dans le camp Russe. La Tunisie, comme au lendemain du traité du Bardo, ne possède plus de souveraineté propre.

Q-3 : Comment voyez-vous la Tunisie dans 3 ans ?
JW : Comme je l'ai souvent mentionné, il existe en histoire un principe de retour de manivelle. Ce sont les pays qui créent les changements qui sont confrontés plus tard aux conséquences, bonnes ou mauvaises. La Tunisie est responsable d'une conspiration contre l'état Libyen née, non pas de son influence politique révolutionnaire, mais de sa coopération militaire avec l'OTAN dans la chute du régime de Kadhafi. La Tunisie est confrontée aujourd'hui à ses propres faits et gestes. Le régime par intérim de BCE a creusé la tombe de Kadhafi par des ententes signées à Doha pendant l'été 2011 sans se rendre compte qu'il a aussi creusé sa propre tombe. Car le principe était simple. La Tunisie et la Libye sont des pays dont les survies sont inter-dépendantes. Il ne peut y avoir de Libye rasée de la carte sans une Tunisie également rasée de la carte. La Tunisie, comme tous les pays devenus sous l'influence de multiples puissances, va vers une partition de son territoire et même une désintégration. DAECH dont la force a été récemment quintuplée par une alliance avec Fajr Libya, réussira à créer des zones d'influences indépendantes à la limite du territoire mais aussi à l'intérieur du territoire Tunisien. DAECH n'a plus besoin de victoires militaires pour créer des zones indépendantes. Des zones indépendantes à l'intérieur du territoire Tunisien peuvent être créées du jour au lendemain avec l'aide d'une population locale consentante. Dans 3 années environ, la Tunisie verra sa carte des gouvernorats changée en des zones appartenant à DAECH et en des zones appartenant encore au régime en place à Tunis.

Q-4 : Quelles seraient les réactions de pays comme la France et les Etats Unis si la Tunisie vivait une partition en gouvernorats de l'état islamique et en gouvernorats laïques ?
JW : Un tel scénario verrait un soutien et une approbation immédiates des Etats Unis qui y verrait une volonté et une légitimité populaire, comme Washington le fit pendant les années de la guerre civile Algérienne. La France quant à elle ferait preuve de neutralité et d'isolationnisme.

Q-5 : Comment la Tunisie peut-t-elle s'éviter ce scénario cauchemar ?
JW : Une fois un régime militaire établi, la Tunisie doit devenir un agresseur et elle ne peut devenir agresseur que si elle bénéficie d'une aide militaire Russe. Saddam Hussein a gagné sa guerre contre l'Iran non pas parce que son armée était mieux équipée, mais parce qu'il s'est attaqué aux populations civiles Iraniennes faisant comprendre à l'Ayatollah Khomeiny que prolonger la guerre signifierait que des millions de civils Iraniens périraient. A un moment donné, Saddam Hussein utilisait ses Scud pour bombarder les zones denses en population civile de Téhéran et même les hôpitaux. La majorité des hôpitaux de Téhéran ont été rasés de la carte par Saddam Hussein. Ceci poussa le régime de Téhéran à signer un armistice. Les Etats Unis ont utilisé le même raisonnement lorsqu'ils ont lancé la bombe atomique sur Hiroshima et Nagasaki. A la fin de la seconde guerre mondiale, les alliés bombardaient Berlin tout en sachant qu'un plus grand nombre de victimes civiles causerait un effondrement plus rapide du IIIème Reich. Si DAECH devait récidiver dans ses attaques des frontières, la Tunisie doit bombarder les zones civiles limitrophes de la frontière Tunisienne. Des villes comme Sabratha doivent être bombardées et réduites entièrement à des ruines. Il en de même pour des villes comme Derna et Syrte ou DAECH a instauré de véritables Califats. L'ennemi doit comprendre que la Tunisie et son armée ont l'intention de survivre et qu'ils sont prêts à être aussi cruels et impitoyables que les hommes de l'état islamique. L'état islamique cessera d'exister si l'on raye de la carte les Califats qu'il a créé, même si cela signifie que l'on doit s'attaquer aux populations civiles.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

L'idéologie du taghout, première arme takfiriste de Rached Ghannouchi, avant même des exploits de Daëch, employée publiquement depuis février 2014!


http://www.businessnews.com.tn/rached-ghannouchi--la-resistance-contre-les-taghout-a-commence-en-1981,520,44448,3