Le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) a exprimé son opposition au procès injuste, du 21 septembre 2021, dont fait l’objet la journaliste Aroua Baraket.
Dans un communiqué publié à la même date, le SNJT a affirmé que la journaliste est poursuivie en justice pour avoir critiqué la politique sécuritaire relative à la gestion des mouvements pacifiques et légitimes.
Le SNJT a rappelé que la journaliste Aroua Baraket a été victime d’une agression policière. « Un agent de police…a violenté la victime alors qu’elle était à bord de sa voiture. Il a essayé de lui arracher son téléphone alors qu’elle avait assuré qu’elle était journaliste », lit-on dans la même publication.
Le SNJT a estimé que le procès vise à faire de la victime une accusée. Il s’agit d’une tentative misérable pour échapper à la justice et déformer la réalité, comme cela a eu lieu, à plusieurs reprises durant les dernières années et dans des agressions visant des journalistes, des avocats, des militants et des activistes.
Le SNJT a, à ce sujet, exprimé sa solidarité absolue avec Aroua Baraket. Il a, également, rejeté fermement la fabrication d'accusations, une politique qui indique une volonté de retour aux pratiques de l’ancien régime.
Le syndicat a, par la suite, mis en garde contre le retour des restrictions et des représailles contre les journalistes, les défenseurs des droits humains et les militants, en raison de leurs opinions et positions. Le SNJT a considéré qu’il s’agit d’une tentative d'exploiter l’application de mesures exceptionnelles pour resserrer l'emprise sécuritaire sur l'espace public.
Enfin, le syndicat a souligné que l’agression à l’encontre de la journaliste indique une recrudescence de la violence basée sur le genre. Le communiqué a, aussi, pointé du doigt la faible implication du système sécuritaire dans la lutte contre la violence à l'égard des femmes, ainsi que l'échec de ses politiques dans l’application de la loi organique n° 2017-58 du 11 août 2017, relative à l'élimination de la violence à l'égard des femmes.
Dans un autre communiqué du 1er septembre 2021, le SNJT avait appelé le président de la République à prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la liberté du travail journalistique et la protection des journalistes.
SG
Un travail d'une utilite inestimable.
Sans elles et eux la Tunisie serait plongee dans la dictature de criminels deguises en policiers
La Tunisie se meurt doucement et lentement !
Je vous répondrai, qu'avec votre mentalités de "Gueux incultes" vous ne discernez rien de rien!
Car, C 1 question de culture, de savoir faire , de réflexion et d'honnêteté intellectuelle envers soi-même et envers la Tunisie!!!
En 2011 1 certain 14 janvier, mon balcon situé sur l'avenue de la liberté "quel doux nom ?" Je vous entendais brailler et crier "Khobz ou Maa & Zaba laa"
Et, aujourd'hui quand je constate l'état dans lequel vous avez jeté notre Tunisie",
Je vous crie :"Ni khobz ni Maa" ! Crevez la gueule ouverte car vous avez trahi la Tunisie vos familles et surtout vous mêmes ?
Car vous ne vivez pas dans un monde réel, mais vous vivez depuis 2011 dans un monde zislamiste "Virtuel" à l'image de vous, de votre niveau intellectuel, moral, social, culturel, philosophique...Et tout le trala à la Tunisienne.
Point barre!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
à votre petite santé soignée par "Pfizer"