Vortre commentaire ne sera pas pris en consideration ou commenté ici, parce que c'est la vérité inconfortable pour les pseudodemocrtates qui masturbent jour et nuit dans leur passé obscure.

"Le mal de ce pays ce sont les islamistes et uniquement les islamistes et rien que les islamistes .

Le pays s'est effondré lors des cinq dernières années parce que les islamistes avaient tout le pouvoir et surtout tous les postes importants . Lors de la dernière législature (5,5 an):
1/ Président BCE (Nida)
2/ Président du parlement ENNACEUR (Nida)
3/ Premier bloc parlementaire à l'ARP (89 députés Nida)
4/ Deux CDG ESSID et YC (Nida)

Je dirai que le mal de ce pays c'est les islamistes ! "

Peut-être qu'un fan de la dictature mordra ici et arrêtera de se masturber et pour une fois utilise son cerveau.

Réveillez-vous la dictature est en place. Les islamistes ne sont que la misère, la pauvreté, le terrorisme et la destruction de l'état. Avec Bourguiba et Ben Ali existe au moins un état et les simples citoyens trouve du travail et de quoi se loger de quoi se nourrir etc. Je ne suis pas pour Ben Ali. Je ne supporte pas la dictature d'où elle vient.
Arrêter de diaboliser Abir Moussi au moins elle veut redonner l'état aux Tunisiens.
La constitution actuelle est un torchon à l'image des islamistes. Changer-là et retourner à un régime présidentiel avec un séparation des institutions et surtout la justice.
En 2013, j'étais en visite en Tunisie avec ma famille et j'ai vécu une petite injustice concernant un stationnement d'une voiture loué. Parmi tous les voitures ont infractions juste la mienne qui a été remorqué. Les échanges avec le responsable qui a une appartenance au parti islamiste été méprisante.
Le montant d'argent 30 dinars, ne représente rien vraiment pour moi à peine 15$ Canadien.
Mais je n'aime pas l'injustice. J'ai dit au responsable que se pays ne mérite pas des gens comme toi et vous allez détruire la Tunisie par votre idiologie.
Dommage nous avons un beau pays. Mais nous n'avons pas des citoyens qui aiment leur pays. Ils n'aiment que leur petite personne.

Bourguiba ne reviendrai jamais ! Heureusement qu'il y en a encore des patriotes qui ont aimé l'?uvre de Bourguiba, n'en demeure pas moins sa succession été un flop, le fléau de son (ben Ali) entourage été gangréné, nul remède des bandits de la pire espèce.
Le peuple à fait son choix et a réagi en conséquences, dommage qu'il y ait des vautours dans la vague des opportunistes des cupides rapaces aux préjugés dominateurs et même sans scrupules, (ils ont fait que les trabilsia) là on découvre le tunisien le vrai affamé, pensant qu'à posséder le pouvoir pour s'enrichir, en quelque sorte suivre ses prédécesseurs.
Nous voici bien lotit d'une horde de profiteurs ! Un pays au bord de la banqueroute et personne ne s'en soucie ! ! ! (Manai)

(le premier commentaire a été publié sans qu'il soit achevé, nous vous prions de nous en excuser)
Au début de la révolution contre la main-mise des criquets des trabelssia, on entendait par-ci par-là ce slogan si magique et flatteur à la fois ! C'est un peuple instruit éduqué, nous voici après une dizaine d'années de troubles politiques des tiraillements incessants entre des partis et la non-clairvoyance, et la vision adéquate pour se projeter vers un avenir prometteur, de notre élite qui vient d'extirper les règnes du pays des mains d'une clique, vorace aux ramifications nombreuses qui s'est accaparé du pays avec arrogance et une insolence inouïe.
Les aiguilles de l'horloge n'ont guère de somnolences, ni repos !
Une décennie est derrière nous, on fait du sur-place, on n'a pris conscience de facteur "Temps"
on s'est engouffré, ou plutôt emprunter une voie sans issue un tiraillement incessant, une conjoncture sombre par ces dilemmes qui se chevauchent, et ne résolvent en rien la principale cause à laquelle les tunisiens se sont levés, à savoir la servitude du pays avant toutes considérations, malheureusement, cette décennie de transition nous a mené vers un sable mouvant où le pays s'enfonce inéluctablement vers l'inconnu dont on craint l'irrationnel.
Nos représentants sous la coupole '?uvrent pour autres choses que l'intérêt du pays et le bien être du tunisien lamda, je crains fore qu'ils sont tous atteint d'une maladie incurable qui va à contre sens de l'objectif réel, à lequel pensait ce beau monde en nous, à savoir l'instruction et l'intelligence à conduire son pays vers rives où le travail et l'intelligence humaine prime au-dessus de toutes les intentions malsaines.
Hélas on est abasourdi et un désarroi généralisé nous comble. (Manai)

Bourguiba est mort. Il aura du mal à se réveiller. Il avait cru laisser, après sa mort, des citoyens capables de protéger leur Pays. Il en fut l'un des pères fondateurs; fondation de l'édifice qu'il croyait définitivement protégée.
Tu as mis dix ans pour dire ce que je disais depuis 2011. Je me souviens même que tu disais ne pas comprendre en quoi le verset 112 de la sourate des abeilles concernait les tunisiens.
J'espère que tu commences à l'entrevoir aujourd'hui, puisque la faim est là. Et la peur, ce sera au plus tard en janvier prochain.
Je ne te le reproche pas. En effet, tous les tunisiens avaient réagit comme toi. Qu'attendre du peuple de la trahison collective qui a feint de pas comprendre ni voir la main atlantiste qui faisait sa révolution pendant qu'il criait dégage. Tout cela parce que sa haine inexpliquée pour Ben Ali dépassait de loin son amour pour son pays.
Les petits peuples demeurent à jamais des petits peuples, et le bâton est le seul argument qui peut les éloigner de la trahison.
Il aura fallu quelques dizaines de grammes de régionalisme, conjugués à quelques centaines de grammes de haine et de jalousie, avec une touche de football, pour que l'édifice s'effondre.
En 23 années de pouvoir, Ben Ali a honoré la mémoire de Bourguiba, faisant de la Tunisie un havre de paix et de rayonnement. Bourguiba lui a remis un pays pauvre et souverain; Ben ALi en a fait un pays riche, mais toujours souverain.
Aujourd'hui le pays est pauvre et non souverain. Et ce, par la faute des gens qui n'avaient pas voulu écouter et dont tu es un fidèle représentant. Il faut écouter les vrais, les authentiques, les gens qui n'avaient rien à gagner, sinon sauver leur pays de la situation actuelle.
Nous vous l'avons expliqué avec les preuves, avec la logique, et avec le Coran; mais vous n'avez rien voulu entendre. Comme le dit notre Saint Livre, "innaha Lé Ta3ma Al Absar, Innaha ta3ma'L qouloub allati fissoudour"

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de SOURATE des ABEILLES.

Au début de la révolution contre la main-mise des criquets des trabelssia, on entendait par-ci par-là ce slogan si magique et flatteur à la fois ! C'est un peuple instruit éduqué, nous voici après une dizaine d'années de troubles politiques des tiraillements incessants entre des partis et la non-clairvoyance, et la vision adéquate pour se projeter vers un avenir prometteur, de notre élite qui vient d'extirper les règnes du pays des mains d'une clique, vorace aux ramifications nombreuses qui s'est accaparé du pays avec arrogance et une insolence inouïe.
Les aiguilles de l'horloge n'ont guère de somnolences, ni repos !
Une décennie est derrière nous, on fait du sur-place, on n'a pris conscience de facteur "Temps"
on s'est engouffré, ou plutôt emprunter une voie sans issue un tiraillemen t

Une vraie écurie et les écuries des" bgars" les vaches et les "âamalech" moutons, sont meilleurs que celle-ci avec son bétail des violents, sauvages et agressifs menbres de la secte de nahdha; et de surcroît escrocs, incultes et ignorants venus du temps des ténèbres bien avant les moyenâgeux.
C'est terrible et horrible ce qui arrive à la paisible Tunisie ; cela fait pleurer le bon Dieu.

Je n'ai jamais vu un "Arschloch" de ton espèce, malgré ton âge de retraité.
Bien que tu le constates de toi-même, que toutes les Institutions républicaines de la deuxième République tunisienne postrévolution de régime parlementaire, travaillent par le même automatisme des pays démocratiques les plus avancés de ce monde, tu viens nous amuser par ton mensonge de "pays ingouvernable".
Tu n'es pas habitué par la vie dans les vraies démocraties de régime parlementaire. Tu n'es habitué que par la dictature, le "yahya Boutbila", le "Berrouh beddèmm nefdik yè Zalèm" et par les applaudissements automatiques, à peine le nom de l'un des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, évoqué dans la salle.
Tu n'arrives même pas à piger, qu'on a aboli cet esclavage, à jamais de la Tunisie. Maintenant les Institutions républicaines roulent sur les rails d'elles-mêmes, dans un cercle vicieux de supervisions réciproques, où personne n'échappera plus au contrôle des autres. Depuis le Chaouch, jusqu'aux trois présidents de la République, du gouvernement et de l'ARP. Chacun est soumis à une supervision réciproque, strictement dictée et imposée par tous les vrais régimes parlementaires, comme celui de la Tunisie. C'est pour cela d'ailleurs que les escrocs parmi les politiciens, ne font tout le temps qu'appeler à la restitution du régime présidentiel, sous quelles argumentations qu'elles soient. Ils veulent s'imposer par leurs habituelles méthodes de lèche-bottes de Pharaons, qu'ils nous créent eux-mêmes pour qu'ils reprennent là où ils se sont arrêtés par la mort du défunt président Beji Caïd Essebsi. Qui pourrait oublier le lèche-bottes Néji Jalloul, lorsqu'il a dit :"où Beji Caïd Essebsi ira, j'irai"!!!
Maintenant, il colle aux collants de la Zalèma moussi. Où la Zalèma moussi irait, Neji Zeus, ira.
Ce ne sont pas des politiciens qui travaillent pour la Patrie tunisienne. Ils ne travaillent que pour leurs propres comptes.
Donc, apprends à accepter toutes les chamailleries au sein des trois présidences de la deuxième République tunisienne démocratique arabe et musulmane de régime parlementaire. C'est cela qui nous donne la preuve, que nous jouissons d'une vraie démocratie en Tunisie.
Jette un coup d'oeil du côté du Liban et de toutes les autres vraies démocraties de ce monde et arrête de te lamenter autour de ta propre ignorance.
Bonne journée.

Voilà l'image que nous donne L'ARP cela ressemble à un marché de poissons ça pue dans tout les côtés.
Le pays est dirigé par des bons à rien, c'est une horde sauvage et d'illetres.
Ennahdha souffle la pluie et le beau temps à ça guise depuis onze années. Que du temps perdu pour rien.
Ces gens là, on détruit le pays, il faudrait des années pour retrouver une vie normale.
Cette confrérie c'est pire que le Covid, pour remédier à son existence une seule solution c'est la dissolution de l'assemblée ARP, alors Président qu'attendez vous pour foutre ce monde dehors et avoir une assemblé saine et sereine.

Y a-t-il une seule infraction contre la dignité et le respect du parlement ARP, que la Zalèma moussi a manqué de le faire, pour que "allo, allo Guidma" la hausse dans ses faux sondages?
A chaque fois que le bureau de l'ARP la sanctionne, on lit "Ghannouchi a décidé". Comme si Ghannouchi pouvait décider quoi que ce soit à lui tout seul, dans ce nid de vipères, de scorpions et de venins azlamistes, résidus du régime déchu.
Mon cher RBH, les Tunisiens ne sont ni cons, ni lâches. Je te conseille de faire "l'envoyé spécial" de ces médias égyptiens à la "Sissi saffahique". Les Egyptiens y tombent facilement dans ton piège, autour de ce discours manipulateur. Je te jure qu'il m'arrive souvent de penser, que tu écris plus aux Français qui ne connaissent pas la Tunisie, qu'aux Tunisiens eux-mêmes.
J'ai connu un jeune Tunisien qui a habité avec nous dans un foyer universitaire en Allemagne, comme étant un étudiant de l'université Oued Baten en Tunisie. Je lui ai demandé où ça se trouve cette université. Il m'a dit que Oued Baten passe par Hammamet et qu'il ne sait même pas où il se trouve, sauf que c'est le ton qui fait la musique.
Donc, tu dois changer le ton de tes intrigues médiatiques contre Ghannouchi et son parti d'Ennahdha. Avec cette monotonie de manipulations enfantines contre tes propres "islamistes", tu risques de devenir la risée, même de ces quelques dizaines de diplômés de "Oued Baten", comme @takilas & Co, dont la dépression psychique ne se focalise qu'autour de leurs Maîtres d'Ennahdha. D'ailleurs ces nouveaux étudiants de l'université de "la mer morte", ne nous écrivent de là, où les juifs genocidaires de Gaza ne parlent que de l'arabe hébraïque, que pour s'entraîner à écrire en français. Genre de ceux qui parlent la "chilha" chez nous.