Salesforce, éditeur de progiciels et le N°1 des logiciels de relation client, a annoncé dans un communiqué, l’acquisition de Slack, une plate-forme de communication collaborative destinée aux entreprises (une messagerie professionnelle, ndlr).
Le montant de l’opération est de 27,7 milliards de dollars : selon les termes de l'accord précisé dans ce même document, les actionnaires de Slack recevront 26,79 milliards de dollars en espèces et 0,0776 action de Salesforce pour chaque action Slack.
Il s’agit de la plus grosse opération de croissance externe réalisée par la société basée à San Francisco (États-Unis) depuis le rachat l'année dernière de Tableau Software pour 15,7 milliards.
Avec cette acquisition, Salesforce ambitionne de rivaliser avec Microsoft. Rappelons dans ce cadre que Stewart Butterfield, le PDG de Slack et qui continuera à diriger l’entreprise, avait déposé en juillet dernier, une plainte auprès de la Commission européenne pour pratiques anticoncurrentielles, accusant le géant Microsoft d’abus de position dominante sur le segment professionnel, en imposant Teams (sa messagerie, ndlr), en l'associant à sa suite bureautique Office 365.
I.N
27 milliards de dollars !!!! C'est plus de la moitié du budget du pays.
Ya twénnessa, réveillons nous et chassons tous ces parasites affamés (enakba, l'ugtt et ettayar l'ex-cpr) qui nous ont mis dans cette inextricable situation.
Ils n'ont apporté aucun nouvel acquis au peuple. Ils n'ont absolument rien fait, hormis piller les richesses de la nation !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Fikou minnoume et réagissez.
Notre égoisme de (après moi le déluge) et notre passivité sont en train de nous entrainer dans un aller simple vers l'enfer.
Pensons à nos enfants et mettons fin au carnage auquel s'adonne sans répit tous les bouseux du chlékistan.
Remettons ces pingouins à leur place. Ils se fichent éperdument de la nation.
De plus, ils prennent un malin plaisir à nous narguer.
Ces khomméjes n'ont aucune éthique ni sens de l'honneur.
Le temps n'accorde aucun sursis.
Il n'y a que deux alternatives: Soit on anticipe en remettant les pendules à l'heure , soit ils nous massacrent,
