| 04-06-2016 17:21
« Béji CaïdEssebsi, a décrété ce vendredi, 3 juin 2016, une grâce pour 382 prisonniers.»
Et pour que ça soit vrai, il fallait bien filmer le haut personnage en train de signer sa grâce !
Mais voyons est-ce que réellement il est nécessaire de mobiliser des caméras et toute une nuée de photographes pour ça ? ' Et qui dit que le papier qu'il a sur sa table concerne réellement la grâce et non pas une quelconque approbation d'une mesure dictée par le FMI ou l'OTAN par exemple ? ' Enfin l'image en couleur ne veut rien dire d'autre qu'un matraquage des cerveaux. Michel Onfray, le philosophe français, affirme que l'image en noir et blanc était moins mensongère. Et on ne peut que convenir avec lui.
Ce sont les informations dont le seul but n'est autre que désinformer et intoxiquer les esprits. De toute manière le fait que le peuple continue à être si apathique et amorphe devant le hideux et délirant spectacle qui dure depuis janvier 2011, cinq ans déjà, prouve à quel point il ignore la vérité sur sa situation réelle qui au-delà de catastrophique. Tant pis.
Et pour que ça soit vrai, il fallait bien filmer le haut personnage en train de signer sa grâce !
Mais voyons est-ce que réellement il est nécessaire de mobiliser des caméras et toute une nuée de photographes pour ça ? ' Et qui dit que le papier qu'il a sur sa table concerne réellement la grâce et non pas une quelconque approbation d'une mesure dictée par le FMI ou l'OTAN par exemple ? ' Enfin l'image en couleur ne veut rien dire d'autre qu'un matraquage des cerveaux. Michel Onfray, le philosophe français, affirme que l'image en noir et blanc était moins mensongère. Et on ne peut que convenir avec lui.
Ce sont les informations dont le seul but n'est autre que désinformer et intoxiquer les esprits. De toute manière le fait que le peuple continue à être si apathique et amorphe devant le hideux et délirant spectacle qui dure depuis janvier 2011, cinq ans déjà, prouve à quel point il ignore la vérité sur sa situation réelle qui au-delà de catastrophique. Tant pis.