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LâEUR(TM)UIB revient de loin, mais elle décale encore "plus loin" la distribution de ses dividendes
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L’UIB a tenu mardi 29 juin sa communication financière et mercredi 3 juin son assemblée générale. En présence de Bernard David, Président du conseil, Kamel Néji, Directeur Général de la banque a présenté les réalisations de la banque pour l’exercice 2009 ainsi que l’état d’avancement de la nouvelle stratégie implémentée depuis 2008. Les résultats de cette nouvelle orientation sont bien là et dépassant les estimations du business plan sauf pour le résultat net où il y a eu un décalage dû à un arbitrage en faveur d’un assainissement accéléré du portefeuille qui a exigé 9,8 MDT de provisions additionnelles.
En 2009, les dépôts ont progressé de 13,03 %, les encours de crédits à la clientèle ont évolué de 14,84%, le PNB a augmenté de 16,27% soit la meilleure progression du secteur dépassant le seuil psychologique des 100 MDT et le résultat net de l’exercice a fini à 7,4 MDT.
Ceci étant, la banque souffre encore de ses créances toxiques avec un taux de CDL de 26,6% qui ne sont couvertes qu’à hauteur de 53%, à fin 2009.
M. Néji a parlé d’un nouveau plan d’action dénommé « Ambition 2015 ». Les retombées chiffrées de ce nouveau plan sont les suivants :
•le passage de 111 agences en 2009 à 150 en 2015
•les crédits évolueront de 1884 MDT en 2009 à 3 932 MDT en 2015 pour un taux de créances classées qui passera au dessous du seuil des 10%, soit 7% à l’horizon de 2015
•de 105,2 MDT, le PNB dépassera le cap des 200 MDT en 2015 pour s’élever à 207 MDT et le résultat net attendu serait de 57 MDT.
Malencontreusement, les données chiffrées intermédiaires entre 2009 et 2015 n’ont pas été communiquées mais selon les chiffres du premier trimestre 2010, l’UIB semble être sur la bonne voie de la reprise. Selon les dires de M. David, les résultats de l’UIB sont satisfaisants et a rappelé que la banque revient de loin.
Un point important a été soulevé à la fin de la communication et qui risque de surprendre plus d’un actionnaire puisque la banque a retardé de deux ans la distribution de dividendes par rapport aux prévisions du business plan. Prévus en 2012, les premiers dividendes ne seront perçus qu’au titre de l’exercice 2014 avec un taux de distribution de 15% de la valeur nominale.
En 2009, les dépôts ont progressé de 13,03 %, les encours de crédits à la clientèle ont évolué de 14,84%, le PNB a augmenté de 16,27% soit la meilleure progression du secteur dépassant le seuil psychologique des 100 MDT et le résultat net de l’exercice a fini à 7,4 MDT.
Ceci étant, la banque souffre encore de ses créances toxiques avec un taux de CDL de 26,6% qui ne sont couvertes qu’à hauteur de 53%, à fin 2009.
M. Néji a parlé d’un nouveau plan d’action dénommé « Ambition 2015 ». Les retombées chiffrées de ce nouveau plan sont les suivants :
•le passage de 111 agences en 2009 à 150 en 2015
•les crédits évolueront de 1884 MDT en 2009 à 3 932 MDT en 2015 pour un taux de créances classées qui passera au dessous du seuil des 10%, soit 7% à l’horizon de 2015
•de 105,2 MDT, le PNB dépassera le cap des 200 MDT en 2015 pour s’élever à 207 MDT et le résultat net attendu serait de 57 MDT.
Malencontreusement, les données chiffrées intermédiaires entre 2009 et 2015 n’ont pas été communiquées mais selon les chiffres du premier trimestre 2010, l’UIB semble être sur la bonne voie de la reprise. Selon les dires de M. David, les résultats de l’UIB sont satisfaisants et a rappelé que la banque revient de loin.
Un point important a été soulevé à la fin de la communication et qui risque de surprendre plus d’un actionnaire puisque la banque a retardé de deux ans la distribution de dividendes par rapport aux prévisions du business plan. Prévus en 2012, les premiers dividendes ne seront perçus qu’au titre de l’exercice 2014 avec un taux de distribution de 15% de la valeur nominale.
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