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Cinq chefs du gouvernement en cinq ans, preuve totale de l’instabilité gouvernementale
21/03/2025 | 11:05
8 min
Cinq chefs du gouvernement en cinq ans, preuve totale de l’instabilité gouvernementale
Service IA, Business News (Marwen Shili)

 

Le président Kaïs Saïed a limogé, dans la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 mars 2025, son chef du gouvernement Kamel Maddouri et a nommé à sa place la ministre de l’Équipement, Sarra Zaâfrani Zanzri. Il s’agit là du quatrième chef du gouvernement en moins de cinq ans, depuis son putsch du 25 juillet 2021. Kaïs Saïed a beau dire qu’il veut une stabilité gouvernementale et qu’il ne veut plus des CDD, il agit à l’exact contraire de sa propre politique.

 

Sept mois et treize jours. Telle a été la durée du chef du gouvernement déchu, Kamel Maddouri, à la Kasbah. Nommé le 7 août 2024, limogé le 20 mars 2025 (jour de la fête de l’Indépendance), M. Maddouri inscrit son nom parmi les ministres qui ont eu le passage le plus bref à la primature. A-t-il démissionné ou a-t-il été limogé ? On ne le saura pas tout de suite, toujours est-il que ce départ a surpris tous les observateurs. Personne ne s’y attendait.

Comme toujours, Kaïs Saïed prend tout le monde par surprise en annonçant son limogeage à 5h33, juste après la tenue du Conseil de sécurité nationale, auquel a participé le chef du gouvernement déchu. La décision du limogeage a-t-elle été prise brusquement au cours de cette réunion, suite à une phrase malheureuse du chef du gouvernement ? Peut-être a-t-il démissionné au cours de la réunion, parce qu’il n’était pas d’accord avec la politique du président de la République ? A priori, la décision du limogeage a précédé la réunion, puisque sa successeure y était présente, alors que (théoriquement) une ministre de l’Équipement n’a pas à assister à une réunion du Conseil supérieur de la sécurité nationale. Mais dans ce cas, pourquoi M. Maddouri y était-il encore présent alors que le chef de l’État avait déjà décidé de son départ ? Autant de questions auxquelles personne ne pourra répondre de sitôt. Le chef de l’État joue l’opacité totale et estime que les Tunisiens - contribuables - n’ont pas à connaître ce genre de choses.

 

Une dissonance à la tête de l’État

Kaïs Saïed et Kamel Maddouri ont une vision différente de la politique et de la conduite des affaires de l’État. Alors que le premier est impulsif et colérique, le second est calme et posé. Le chef de l’État a une vision utopique, le chef du gouvernement semble pragmatique.

 

Dans un article très décrié par quelques-uns de nos lecteurs parmi les faux-sachants, Business News a pourtant visé en plein dans le mille, il y a deux jours, en parlant de dissonance entre la présidence de la République et la présidence du gouvernement. Oui, il y a clairement une dissonance, et celle-ci s’est matérialisée par le limogeage-surprise du subordonné, sept mois après sa nomination. Encore une preuve de l’utopie présidentielle qui rate, une nouvelle fois, son casting.

 

Une longue série de limogeages

Ça n’a rien d’une première. Business News décompte quelque 98 limogeages de hauts commis de l’État depuis le 25 juillet 2021, dont un bon paquet ont été nommés par Kaïs Saïed lui-même. Depuis le début de l’année, il y a eu six limogeages, dont une ministre.

Cela paraît évident : si Kaïs Saïed « consomme » tant de chefs du gouvernement, c’est qu’il y a une erreur de casting au départ.

Avant même son putsch, il a nommé Elyes Fakhfakh le 27 février 2020, « invité à démissionner » le 2 septembre de la même année. Il est remplacé par Hichem Mechichi, qui fut limogé le 25 juillet 2021. Najla Bouden a été nommée le 11 octobre 2021 avant d’être sèchement limogée le 1er août 2023. Un record de longévité, puisqu’elle est la seule à être restée plus d’un an. Ahmed Hachani a été nommé dans la foulée, pour être limogé un an et sept jours après, le 8 août 2024.

 

Une présidence déconnectée de la réalité

Kamel Maddouri est donc resté sept mois et, comme ses prédécesseurs, n’a pas réussi à convaincre son utopique président.

Mais que veut Kaïs Saïed ? Quelle est donc cette chaussure qui convient à son pied ? En suivant de près ses activités, le président tunisien vit dans une autre époque, sur un nuage. Il croit encore au rôle social de l’État et à un modèle bien plus proche du communisme que du capitalisme. L’intention est bonne, faut-il encore avoir les moyens de sa politique, et Kaïs Saïed n’en a pas.

 

Depuis son nuage, Kaïs Saïed cultive l’utopie. Pour financer l’État, il pense récupérer le soi-disant argent dérobé par de présumés hommes d’affaires véreux. Échec total. Il en met plusieurs en prison pour les obliger à payer. Encore un échec : les montants dont il parle n’existent pas et n’ont jamais existé. Il a beau multiplier les contrôles fiscaux, nommer et dénommer des membres de la commission de réconciliation, il n’a pas réussi à obtenir les « milliers de milliards » dont il parle.

On frise carrément l’indécence, puisqu’on demande à certains hommes d’affaires de payer des montants qui dépassent l’ensemble de leurs avoirs, qu’ils soient dérobés (CQFD) ou honnêtement gagnés.

 

Utopies sur utopies, échecs en cascade

Kaïs Saïed a ensuite lancé le projet des sociétés communautaires grâce auxquelles il pensait en finir avec le chômage et le travail précaire. Échec cuisant. Refusant d’admettre que son idée est juste utopique, il s’en est pris à ceux qui la ridiculisaient.

En parallèle, il ne cesse d’alourdir les dépenses de l’État avec des décisions budgétivores, non préparées et impulsives. Comme le recrutement soudain de milliers d’enseignants, la reconstruction du stade d’El Menzah ou la construction de la cité médicale de Kairouan. Non seulement l’État vit bien au-delà de ses moyens, mais Kaïs Saïed refuse de privatiser ou de fermer les entreprises déficitaires. Il vit encore au milieu du siècle dernier, où la force des États se calculait par le nombre de leurs avoirs.

 

Une politique de cigale et ses conséquences

Afin de financer cette politique irréfléchie de cigale, n’ayant pas d’autre solution, l’État s’est tourné vers les entreprises pour leur imposer encore plus de taxes et impôts. La pression fiscale est devenue telle que l’on ne soit plus encouragé à investir. Inévitablement, cela impacte négativement la croissance, l’inflation et le chômage. La Tunisie va de mal en pis, et ceci est visible à l’œil nu.

Kaïs Saïed le voit bien, mais il ne fait aucune autocritique, ni de révision de ses « principes » et de sa politique. Il préfère s’en prendre à ses ministres, aux conspirationnistes tunisiens et étrangers, aux lobbys, aux médias hostiles et aux fantômes.

 

Les pragmatiques sacrifiés

Si Kaïs Saïed est sur un nuage, quelques-uns de ses chefs du gouvernement et de ses ministres ne le sont pas et brillent par un certain pragmatisme. Elyes Fakhfakh, Kamel Maddouri, Sihem Nemsia ou encore Samir Saïed font partie des rares ministres qui ont essayé de le convaincre que la réalité du terrain ne colle pas avec sa politique. Que son État social et égalitaire est juste utopique. Tous sèchement limogés.

Dictant une politique anachronique, irréaliste et budgétivore, Kaïs Saïed veut trouver un chef du gouvernement capable de le suivre à la lettre, contre toute logique. Une carpette, en somme. Il a réussi à trouver la « perle rare » en la personne d’Ahmed Hachani. Mais il a fini par s’en lasser un an après sa nomination. Il est parti comme il est arrivé, brillant par son insignifiance.

Mais que veut-il donc ? S’il refuse les personnes pragmatiques qui ne lui ressemblent pas, et qu’il refuse les béni-oui-oui, que reste-t-il ?

 

Une « Najla Bouden bis » à la Kasbah ?

 

En nommant Sarra Zaâfrani Zanzri, Kaïs Saïed espère trouver une Najla Bouden bis. C’est la deuxième femme cheffe du gouvernement en Tunisie et, comme elle, elle est issue de l’administration.

 

Le costume a été trop, trop large pour Mme Bouden. Force est de parier qu’il en sera de même pour Mme Zaâfrani Zanzri, puisque cette dame n’a eu aucune expérience politique par le passé et n’est quasiment jamais sortie de son ministère de l’Équipement. Avec Leïla Jaffel, ministre de la Justice, elle est la seule rescapée depuis le putsch de 2021. Il est évident que Kaïs Saïed (ou/et certains de son entourage) lui fait grande confiance. Mais celle-ci serait-elle suffisante pour bien piloter la Kasbah ? La réponse est évidemment négative, autrement ça se saurait.

 

Le pilotage de la Kasbah (et donc de l’État) n’a rien à voir avec le pilotage d’une direction au sein d’un ministère. La biographie de la nouvelle cheffe du gouvernement est désespérément pauvre. La dame, aussi compétente et gentille soit-elle (elle bénéficie d’une excellente presse, nous confie un ancien ministre de l’Équipement), le fait est que son expérience n’a jamais dépassé les murs de ce ministère.

 

Un président champion du CDD

En tout état de cause, il lui faut entre trois et six mois pour connaître les couloirs de la Kasbah et ses dossiers complexes. Période d’apprentissage durant laquelle elle doit quand même assurer le boulot et faire les arbitrages. C’est juste irréaliste.

D’autant plus irréaliste que le ministère technique le plus sensible du gouvernement, celui des Finances, a aussi une bleue à sa tête. Comment deux néophytes vont-elles assurer le budget et le fonctionnement normal de l’État ?

Depuis son nuage, Kaïs Saïed ne s’est même pas posé la question. Sachant que ses communiqués ont été publiés à 5 heures du matin, il est fort à parier qu’il est en train de dormir en ce moment.

Pour l’anecdote, un des tout derniers projets utopiques de Kaïs Saïed consiste à en finir avec les contrats à durée déterminée (CDD), dans l’objectif d’assurer la stabilité de l’emploi. Avec ses limogeages à répétition et les délais de longévité très courts de ses chefs du gouvernement, il devient un champion des CDD. En clair, lui-même n’arrive pas à appliquer sa propre politique qu’il cherche à imposer à l’administration et au secteur privé.

 

Nizar Bahloul

21/03/2025 | 11:05
8 min
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Commentaires
Nephentes
@Fares_ Magnifique commentaire
a posté le 23-03-2025 à 18:19
Effectivement l'oeuvre de Kafka dépeint assez bien le palais de Carthage

Sauf que dans le cas tunisien l'architecte du système est connu. Et ce système a échappé à l'architecte et a l'administration absurde du château

Ce système a échappé à tous les protagonistes connus ou inconnus parce que ce système est UNE IMPOSTURE

Il n'y a JAMAIS eu de programme politique propre a Mr Kaes Saed

C'est une chaîne de Ponzi appliquée à la "politique"

Un piège à gogo qui a berné et continue de berner une majorité de Tunisiens incapables de maturité de lucidité de responsabilité

Des enfants irresponsables

Le géomètre appelé au château est aussi bien le citoyen cultivé qui a adhéré au soi-disant mouvement du 25 juillet que les responsables politiques qui par.opportunisme ou par sincère engagement ont accepté des postes de responsabilité

Ils se heurtent a l'absurde a l'impossibilité d'assumer leur responsabilité

Le château est une oeuvre inachevée et on ne connait pas le sort final du géomètre

On devine toutefois que ce château est devenu un système fou qui n'est en fait contrôlé par personne mais qui est volontairement laissé dans cet état de folie systémique

Le roman ne dit pas par qui
Fares
Autres rapprochements
a posté le à 21:12
@Nephentes

Votre commentaire m'a fait penser à deux autres rapprochements entre la palais de Carthage et le château de Kafka.

Le premier concerne la famille de Barnabas qui souffre d'une très mauvaise réputation au village. Le lecteur pourrait penser que cette famille a des moeurs légères. Mais après on apprend que cette réputation est dûe au fait que la soeur de Barnabas a résisté aux avances d'un des officiers du châteaux, d'où le déshonneur qui a frappé toute la famille (paradoxe kafkaien). Comme en Tunisie, les résistants et d'autres citoyens honnêtes deviennent les criminels qu'on juge.

Le deuxième rapprochement concerne le personnage de Frieda, la copine éphémère de K. Je sentais que Frieda était un symbole, mais je n'arrivait pas à déchiffrer ce symbole. Finalement, j'ai demandé à ChatGPT et j'ai eu quelques suggestions. La première est que Frieda symbolise un rapprochement illusoire du pouvoirs. Etant donné qu'elle était la maîtresse de l'un des officiers du château, le géomètre pensait s'approcher du château en liant une relation avec elle, mais elle l'a plaqué au bout de quatre jours. Comme tous ces chroniqueurs, explicateurs et mêmes certains commentateurs qui ont l'illusion d'être proche du palais.

Bref, il y a plusieurs couches dans ce livres.
Fares
@Nephentes
a posté le à 20:48
Merci à vous de m'avoir donné l'idée et l'envie de lire Kafka en faisant allusion à cet auteur, il y a quelques semaines, pendant le procès de la honte. J'ai acheté son oeuvre complète, version kindle pour l'équivalent de 2 DT. J'ai lu le procès, le château et maintenant je suis entrain de lire Amerika, qui est un peu mois sombre que les deux autres romans.
Nephentes
Tout n'est pas désespéré dans l'oeuvre de Kafka
a posté le à 22:43
Der Prozess est l'oeuvre qui m'a le plus marqué,avec La Métamorphose

Toutefois l'oeuvre de Kafka laissé transparaître plusieurs lueurs d'espoir

Le geolier de K. dans Der Prozess a souligné un élément particulièrement - et paradoxalement - porteur d'espoir
"Les autorités sont toujours attirées par la faute, telle qu'elle est représentée dans la Loi"

Cet attrait pour la faute est aussi et avant tout aveuglement
Dans tout système totalitaire et ubuesque comme le notre le mécanisme d'analyse pour prise de décision est initialement défaillant inadéquat incapable d'apporter les solutions

Cet aveuglement porte donc en lui les germes de l'autodestruction de son absurdité

Rappelez vous ce qu'a dit Franz Kafka
"Détruis toi pour te connaître
Construis toi pour te surprendre
L'important n'est d'être mais de devenir"
Fares
Le silence des palais et le château de Kafka
a posté le 23-03-2025 à 17:30
D'abord, aucun communiqué de la part du palais de l'Elyseé sur cet entretien hypothétique entre le putschiste et le président Emmanuel Macron. Ceci nous montre la nouvelle place de ks sur l'échiquier international (chercher Tunisie sur le site de l'Elyseé, vous trouverez les dates de tous les entretiens entre EM et ks, la fréquence des entretiens en dit beaucoup sur les relations entre le président français
et ks). Franchement, comment peut-on respecter quelqu'un qui a fait de son pays un camps pour immigrés illégaux et qui a usé de toutes les bas** pour se maintenir au pouvoir? Je suis sûr que ks a initié cet entretien, mais pourquoi appeler le président Macron et pas Poutine son "bienfaiteur" octobriste ?

Le palais du régime putschiste partage quelques pointscommuns avec le château décrit par Franz Kafka dans son livre Le château. Un château construit par des morceaux des maisons du village. Un château innaccessible et opaque. Une bureaucratie étouffante et un cirque qui tourne en rond. Des officiers qui traitent des affaires courantes au milieu de la nuit dans les chambres fermées d'une auberge du village le Herrenhoff. Mais, ces officiers ne font que dormir à l'auberge. Des officiers qui abusent de leurs pouvoirs...que des frustrations à la pelle. Des officiers qui consultent de grands livres à longueur de journée avant de prendre des décisions.



EL OUAFI
L'insatisfaction du président KAIS SAIED
a posté le 23-03-2025 à 15:28
Oui (Mr le Président est donc convaincu, sur la base d'analyses, de rapports juges crédibles, que la série de suicides par le feu enregistrés notamment depuis le début de l'année sont le fait du travail mal fait par le pouvoir exécutif, du laxisme patent).
Personnes ne croient à une machination politique. Certes, ce que le président Kaïs Saïed voulait exprimer, c'est semer la zizanie et provoquer des manifestations à grande échelle pour paralyser les appareils de l'état.
Il faut regarder ces immolations de ces gens (top nombreuses en si peu de temps) analyser les causes et s'interroger sur les motifs pris pour s'immoler ?
Il ne faut pas occulter les problèmes psychiques de ces personnes, le d'espoir, la consommation des drogues durs, les problèmes de familles, etc . . . .
KAÏS SAÏED voulait attirer l'attention de ces ministres que le travail n'est pas satisfaisant, beaucoup de problèmes non résolus par l'inaction, du pouvoir exécutif !
une lenteur préméditée, créer l'insatisfaction généralisée, n'est-est-se le prélude d'une insurrection envers le pouvoir ?
Une société gangrenée par un fléau ravageur, destructeur, cette vague de trafiquants de ce poison, (cocaïne et toute la panoplie de stupéfiants, propager un mal incurable, la multitude des dealeurs à travers les grandes agglomérations, l'inefficacité à juguler ce phénomène oblige le président de sortir de ses gongs) !
Nephentes
Votre raisonnement ne tient pas debout
a posté le à 18:28
Comment faire un lien meme indirect entre des dizaines d'actes désespérés de gens qui se sont otes la vie

QUI SE SONT OTES LA VIE

Et une quelconque volonté organisée de nuire à Kaes Saed

Et quel serait le degré d'humanité et meme de lucidité d'un dirigeant qui fait le lien entre les actes de ces désespérés et une volonté de le nuire

Ce n'est plus le Palais de Carthage c'est la cour de Néron
Dr. Jamel Tazarki
La Protection des libertés à travers le droit, les constitutions politiques et les institutions!
a posté le 22-03-2025 à 22:43
1ère Partie
La vie est un cocktail de guerres injustes et inutiles, de dictatures, d'abus du pouvoir et d'emprisonnements injustes et abusifs, de pandémies, de catastrophes naturelles, de malheurs et de dommages qu'elle nous impose. La vie, ce n'est pas le repos. La vie, c'est le mouvement par delà le bien et le mal. La vie est comme ça, elle est constituée ainsi qu'on le veuille ou non, et le nier ne changera pas le fait que la vie est comme ça. Il faudrait voir la vie dans toute ses formes, la vie dans le spectre infini de ses variations, la vie qui fait que l'on rit ou que l'on pleure, qu'on aime ou qu'on hait'?'

--> Le Bien ne pourrait exister qu'en opposition et qu'en luttant contre le mal, le Bonheur ne pourrait exister qu'en opposition et qu'en luttant contre le malheur --> et cette lutte qui pourrait être intérieure et extérieure de nous même est la seule qui pourrait donner un sens à notre vie. La vie en pente douce (c.à.d sans cette lutte vitale) est ennuyante jusqu'à vouloir mourir d'ennui...
-->
Dans cette vie souvent très souvent difficile à vivre, notre système judiciaire devrait plutôt nous protéger de la violence des autres et de ses propres dépassements par des contrôles comme ceux du CSM, de la cour de cassation, et de la cour constitutionnelle --> alors que la dictature de KS a affaibli toutes ces institutions'?'. . --> de ce fait notre lutte contre le mal et la violence des autres n'a plus de vitalité, puisque entre autres les institutions comme le CSM, la cour constitutionnelle, l'existence de partis politiques, une constitution et une loi électorale objectives non écrites en solo et sur mesure, les masses média audio-visuelles et la liberté d'expression sont tous anéantis par la dictature de KS.
-->
Il faut comprendre que l'ambition de KS de vouloir faire disparaître à sa façon le mal, la violence, la corruption, etc. de la planète terre est absurde, ceci en bricolant des lois en solo qui vont dans le sens contraire de l'histoire (du développement historique) . Non il faudrait plutôt donner les moyens judiciaires aux Tunisiens afin de pouvoir se défendre/protéger contre le mal, la violence, la corruption, etc. Et ceci n'est possible qu'à travers nos institutions comme le CSM, la cour de cassation, la cour constitutionnelle, l'existence de partis politiques, une constitution et une loi électorale intelligentes, objectives, sans erreurs de pensée, sans contradiction, non écrites en solo et sur mesure --> tout cela a été aboli par KS. -> Il faut enfin comprendre que rien ne pourrait faire disparaître le mal, la violence, la corruption, etc. de la planète terre et de notre Tunisie. Il faut seulement que notre système judiciaire donne les moyens aux Tunisiens de se défendre contre ces derniers. Exemple: En Allemagne, il y a une page Internet du CSM afin de dénoncer les injustices et les dépassements des juges et du système judiciaire même. --> ceci ne fait un sens que si les membres du CSM sont votés et non pas nommés par la dictature.

Le sens de l'histoire (le chemin que prend l'histoire) est celui de l'acquis de la liberté par tous les êtres humains. En effet, de générations en générations et de civilisations en civilisations s'est opérée une lente prise de conscience de l'idée de la liberté et du refus de la servitude, du colonialisme et des dictatures. La liberté et le refus de la servitude ne sont pas une idée individuelle mais une idée collective (de l'humanité entière) et qui s'est manifestée partout sur notre planète terre d'une façon universelle. --> Et ainsi avec l'arrivée de l'Internet, l'aspiration de l'humanité pour la liberté se fait à l'échelle mondiale --> l'histoire de l'humanité se fait d'une façon universelle. Les répercussions des événements s'étendent ainsi à l'échelle de notre planète terre dans tous les pays et pour tous les peuples. Emmanuel Kant avait déjà en 1784 la vision d'une histoire universelle (mondiale) dans son livre "Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique"

- La liberté est rationnelle (cognitive et se définit par la raison) et ainsi elle pourrait se définir en tant qu'idée à l'échelle planétaire à travers les constitutions et les institutions nationales et internationales --> c'est le plus grand mérite de Napoléon Bonaparte d'une justice par le droit et les institutions que KS a affaiblis par l'introduction de ses idées / lois qui sont en contradiction avec le sens de l'histoire'?'

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Dr. Jamel Tazarki
La Protection des libertés à travers le droit, les constitutions politiques et les institutions!
a posté le 22-03-2025 à 22:41
2ème Partie
--> Malgré la dictature qui nous ai imposés progressivement de génération en génération, les Tunisiens ont pris conscience de plus en plus de l'idée de la liberté, qui n'est pas seulement une idée individuelle mais aussi collective: le Tunisien refuse un Président de la République ayant le pouvoir absolu et qui décide de tout au nom d'une pseudo démocratie. La liberté est une puissance qui agit et qui se manifeste non seulement en Tunisie mais aussi partout dans le monde. Le fondement de la liberté est rationnel et sa forme est celle du droit. --> du fait que la liberté est rationnelle, nous pouvons la planifier à travers le droit qui n'est rien d'autre que l'organisation rationnelle des rapports entres les êtres humains libres à l'intérieur d'un pays /Etat à travers les constitutions politiques et les institutions qui garantissent les libertés, --> ceci est valide aussi même entre les Etats eux-mêmes (droit international)
-->
Le droit est la manifestation de la raison universelle (partout sur notre planète terre). Les peuples partout dans le monde refusent le despotisme au profit d'une seule personne ou mêmes de quelques-uns. L'idée de la liberté est ainsi universelle et elle ne supporte pas le despotisme qu'elle essaye de vaincre en prenant conscience peu à peu d'elle-même --> savoir que l'on est (né) libre, ceci nous pousse à proclamer cette liberté par l'acte, la revendication et l'opposition à la dictature --> ce qui pourrait aboutir à un soulèvement de la masse à travers lequel la liberté prend son chemin --> sans opposition, la liberté ne pourrait pas tracer son chemin et ne pourrait pas ainsi s'affirmer. L'opposition à la dictature de toute sorte est nécessaire pour que la liberté puisse apparaître et s'imposer --> ce qui va permettre aux citoyens de vivre dans un milieu organisé rationnellement par le droit à travers des constitutions et des institutions non monopolisés par un dictateur --> la formation d'un NOUS conscient de sa liberté que nous protégeons par notre participation à la vie politique entre autres à travers des élections législatives et présidentielles justes mais aussi par le droit dont la base sont les institutions et la constitution. --> il n'y a plus de retour en arrière d'avant 2011 car le Tunisien a pris conscience que la liberté collective (qui est une forme de conciliation entre le subjectif et l'objectif) à travers des institutions démocratiques et une constitution intelligente sans erreurs de pensée, sans contradictions et non écrite en solo est un droit que personne ne pourrait lui confisquer. --> On s'attendait que KS allait consolider le bon fonctionnement de nos instituions, il les a plutôt ruinées


--> "Le sens de l'histoire" signifie que le monde évolue dans une certaine direction qui est imposé à l'humanité par entre autres les développements scientifiques, technologiques, sociopolitiques, économiques, et logico-mathématiques (le développement de la raison --> la pensée rationnelle, l'idéalisme, etc.). --> De ce fait, la trajectoire suivit par l'humanité n'est pas hasardeuse. Exemple: la mondialisation est la conséquence directe des progrès technologiques des moyens de transport (fabrication de bateaux, d'avion et de moyens de communication à très bon prix) --> L'humanité n'avait pas d'autres choix que de suivre le "sens de l'histoire" et d'accepter la mondialisation qui est entrain de prendre une autre forme grâce à l'Internet.
--> de ces faits, ce ne sont pas les hommes qui font l'histoire, c'est plutôt l'histoire qui fait des hommes. Et ainsi, chaque époque est déterminé par un certain esprit (Zeitgeist) qui structure et influence l'esprit universel de l'humanité'?'

- D'après Hegel les [quelques] grands hommes qui font l'histoire sont en particulier l'incarnation (manifestation) de l'esprit de leur époque. Hegel cite Napoléon comme un exemple d'incarnation de son époque/temps avec son esprit révolutionnaire qui a donné naissance à l'Etat moderne. --> L'histoire est un processus qui s'accomplit par-dessus la volonté des hommes (malgré eux).

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Dr. Jamel Tazarki
La Protection des libertés à travers le droit, les constitutions politiques et les institutions!
a posté le 22-03-2025 à 22:40
3ème Partie
Par contre, Il y a entre-temps une transition vers des liens sociaux à l'échelle nationale et internationale en réseaux avec moins de modèle pyramidal. Cette approche repose sur la liberté des individus et des pays liés les uns aux autres étroitement par l'interdépendance. Dans une société et un monde en réseau, les êtres humains restent beaucoup plus connectés les uns aux autres que dans d'autres. Dans une société et un monde en réseau, on ne dépend pas d'une seule personne mais nous sommes massivement interdépendants. Si un lien lâche, d'autres doivent prendre le relais.

La pire chose qui peut arriver dans une relation entre êtres humains (entre pays) est que l'on soit à la merci de la volonté d'une seule autre personne (d'un seul autre pasy). --> Une société (un monde) en réseaux devrait nous éviter cette situation. Plutôt qu'un seul maître, cas de l'esclavage, nous dépendront de façons réciproque d'une multitude de personnes/pays. Ces interdépendances croisées devraient faire le bonheur de l'humanité.

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger

Dr. Jamel Tazarki
Ce dont la Tunisie a urgemment besoin!
a posté le à 12:43
Ce dont la Tunisie a urgemment besoin:
- 1. d'une justice indépendante,
- 2. d'une Cour Constitutionnelle, --> avant la promulgation d'une loi, elle devrait être soumise à un contrôle de constitutionnalité exercé par la Cour constitutionnelle) --> ce qui nécessite une constitution sans erreurs de pensée, sans contradiction, sans dilemme et non écrite en solo sur mesure'?'

-3. d'un Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) dont la majorité des membres serait élue et non pas nommée par le Président de la République
--> La fonction première du CSM est d'assurer l'égale application de la loi et de protéger les droits et libertés des personnes, notamment contre l'éventuel arbitraire du pouvoir.
--> Par ses prérogatives le CSM contribue à la gestion des ressources humaines du corps de la magistrature. Par son rôle disciplinaire, il vise à garantir l'exemplarité des juges et procureurs. Enfin, par ses travaux, il est une instance de réflexion sur le fonctionnement de la justice, sa déontologie et les valeurs de l'Etat de droit doivent guider son action.

- 4. d'une Cour de cassation dont la majorité des membres serait élue et non pas nommée par le Président de la République --> la Cour de cassation est le juge du droit. Elle a pour mission de contrôler et d'unifier l'interprétation de la loi afin que les règles de droit soient appliquées de manière identique par l'ensemble des tribunaux et des cours d'appel de l'ordre judiciaire. Elle ne réexamine pas les faits qui sont à l'origine du litige, mais vérifie que la loi a été correctement appliquée et que les règles de procédure ont été respectées. La Cour de cassation ne se prononce donc pas sur le conflit qui oppose les parties, mais sur la qualité de la décision de justice qui a été rendue.

- 5. d'une loi électorale intelligente, sans erreurs de pensée, sans contradictions, sans dilemme et non écrite en solo...

- 6. d'une Constitution intelligente, sans erreurs de pensée, sans contradictions, sans dilemme et non écrite en solo...

- 7. des débats socio-économiques et -Politiques de haut niveau,

- 8. d'élections législatives, présidentielles et communales (municipales) justes et fairs,

- 9. la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire
-->
Sans tout cela, la Tunisie n'a pas d'avenir et tombera encore plus dans la misère --> Mr. Kais Saied est conscient de tout cela et il nous le refuse. Pourquoi, Mr. Kais Saied?

Bonne journée

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger

PS: Peut-on toujours faire appel d'un jugement?
Non, certaines décisions de justice ne sont pas appelables. En effet, certains jugements sont rendus en premier et dernier ressort, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas être contestés devant une cour d'appel. C'est notamment le cas des décisions prises pour des litiges dont le montant est négligeable. --> Dans ces situations, le seul recours possible est un pourvoi en cassation, qui ne rejugera pas l'affaire sur le fond mais vérifiera le respect des règles de droit.
Dr. Jamel Tazarki
Postskript au commentaire ci-dessus
a posté le à 18:10
Introduction: Revoir les lois qui définissent le fonctionnement des partis politiques en Tunisie.

- A l'intérieur de nos différents partis politiques, la démocratie est/était compromise par des facteurs tels que d'accaparer le pouvoir par une minorité qui s'était auto-proclamée leader du parti et qui domine les affaires sans considération pour la grande masse des membres. Une telle situation empêche l'inclusion et limite l'opportunité pour les membres de façonner la politique d'un parti.
-->
On se demande, comment un parti politique peut gérer les affaires du pays, s'il est incapable de créer des organes chargés de l'organisation d'élections internes, tels que l'Assemblé Générale ou un Congrès National. La structure de nos partis politiques est en contradiction avec les lois qui définissent le fonctionnement des partis politiques en Tunisie. Combien de temps faudra à nos partis politiques afin de définir un statut interne? Il est inimaginable qu'un parti politique comme celui de Nidaa Tounes qui était au pouvoir et avait la majorité relative aux élections législatives n'avait pas de Statut et sans constitution interne. Qu'elle était l'idéologie, les principes et les objectifs du parti Nidaa Tounes? On ne le sait pas encore! Comment se fait l'élection des leaders? Rien n'est encore défini ou annoncé!

Fazit: Il faut revoir les lois qui définissent le fonctionnement des partis politiques en Tunisie, et obliger ces derniers à les prendre en considération.

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Dr. Jamel Tazarki
Préparer dès maintenant l'après Kais Saied en optimisant la loi électorale et notre constitution. Il est hors question d'utiliser l'actuelle loi électorale à la prochaine élection!
a posté le à 18:09
B) Si j'étais à la place de Mr. Kais Saied, je n'aurais pas opté par honnêteté pour un régime Présidentiel, j'aurais gardé un régime parlementaire tout en améliorant notre loi électorale et notre constitution d'avant le putsch. En effet, il ne manquait à notre loi électorale d'avant le 25 juillet 2021 (avant le putsch) que quelques retouches, que je résume comme suit:
- b1) redonner aux parti-politiques le poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022:
----------b1.1) tout en gardant les emprisonnements sévères pour les parti-politiques qui achètent les voix des électeurs ou qui font la bagarre au sein du parlement.
----------b1.2) tout en interdisant le passage des députés d'un parti-politique à un autre (non au tourisme parlementaire). Exemple: Les députés de Nidaa Tounes que l'on a votés à l'élection législative sont passés à la concurrence Ennahdha afin de lui garantir la majorité absolue:))
----------b1.3) Revoir les lois qui définissent le fonctionnement des partis politiques en Tunisie --> voir le Postskript ci-dessous.
----------b1.4) pas besoin de parrainages à l'élection législative, il faut redonner aux parti-politiques leur poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022


- b2) les parti-politiques qui ont des sièges à notre parlement devraient avoir le droit de proposer un candidat à l'élection présidentielle qui devrait être membre de leur parti politique sans cette histoire de parrainage.

-b3) Le Président de la République sortant ne devrait pas collecter des parrainages à l'élection présidentielle puisqu'il pourrait en avoir des millions par sa position à la tête de l'Etat tunisien.

- b4) Les parrainages à l'élection présidentielle sont réservés aux indépendants sans appartenance à un parti-politique et aux parti-politiques sans sièges au parlement. --> le filtre des candidats possibles à l'élection présidentielle se fait déjà lors de l'élection législative.


Malheureusement, Mr. Kais Saied n'est pas conscient de l'impossibilité de collecter 10000 parrainages lorsqu'on n'est pas Président de la République dans une Tunisie où les Tunisiens par leur culture refusent de signer quoi que ce soit, s'ils ne sont pas dans l'obligation de le faire: ceci par mesure de prudence... --> En effet, nos députés, et les soi-disant présidents élus de collectivités locales, et les soi-disant représentants du Conseil national des régions et des districts et les Tunisiens en général se mettent à l'abri de tout risque de faute judiciaire en refusant majoritairement de signer les parrainages, avec quelques exceptions.
--> les Tunisiens par leur culture et éducation refusent de signer à la légère à quelqu'un qui frappe à leur porte pour quoi que ce soit.
--> Les 10000 parrainages sont une mission impossible qu'aucun candidat n'a pu passer sain et sauf à l'exception de Mr. Kais Said par sa position du Président de la République. En effet, qui oserait ne pas signer un parrainage à l'homme le plus puissant de la Tunisie qui dispose encore d'un pourvoir absolu?
-->
-- l'actuelle loi électorale aurait dû partir du contexte et de la mentalité du Tunisien. Franchement, moi-même je refuse de signer un formulaire de parrainage. En effet, je suis extrêmement avare avec ma signature (c'est mon éducation).
- encore un point négatif de l'actuelle loi électorale --> dans une dictature sont rares ceux qui ont le courage afin de signer un parrainage pour un candidat adversaire du dictateur en place tout en donnant ses cordonnées (son adresse) et le numéro de sa carte d'identité.
- Encore un point négatif de l'actuelle loi électorale, je cite: "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à posteriori [. . .] chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné"
-->
L'emprisonnement de Mr. Zammel et Madame Bargaoui est extrêmement injuste.

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Dr. Jamel Tazarki
Ne pas renoncer au régime politique parlementaire!
a posté le à 21:58
Introduction: optimiser le vote des Tunisiens résidents à l'étranger, à l'exemple de l'élection législative de 2019 --> Ceci sans renoncer au régime politique parlementaire

Je m'explique:
1) sur un million de Tunisiens résidents en France seulement 50000 ont voté et bien sûr les partis politiques Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 95% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents. --> en tout 10 sièges étaient réservés pour la France
2) En Italie seulement 5800 votants et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 97% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents. --> en tout 3 sièges étaient réservés pour l'Italie --
3) Dans les pays arabes le nombre des votants étaient de 6800, et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 98% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
4) Au continent d'Amérique du nord le nombre des votants étaient de 4000 et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 99% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
5) En Allemagne le nombre des votants étaient de 4000 sur 100000 Tunisiens et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 96% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.

Fazit des points 1 à 5:
-->
- Ennahdha a gagné autour de 17 sièges et Ettayar autour de 12 sièges grâce aux Tunisiens résidents à l'étranger avec un taux de participation inférieur en moyenne à 5% . Pourquoi? Réponse: parce que les partis politiques Ennahdha et Ettayar étaient les seuls à avoir les moyens et les privilèges (sans entrer dans les détails) afin d'avoir des candidats partout sur notre planète terre là où l'on trouve des Tunisiens.
- La même analyse est aussi valide pour l'élection législative de 2014. --> En 2014 le député représentant des Tunisiens résidents en Allemagne a gagné son siège avec 207 voix:)), alors que le nombre de Tunisiens résidents en Allemagne est de 100000.

- Nos élections législatives de 2019 et 2014 n'étaient pas fairs (justes) envers les Tunisiens, envers la Tunisie mais aussi envers 97% des partis politiques qui avaient très peu de financement et pas de privilèges comme ceux d'Ennahdha et Ettayar (sans entrer dans les détails) afin de présenter des candidats dans toutes les circonscriptions électorales en Tunisie et à l'étranger. Puis le taux de participation des Tunisiens résidents à l'étranger était trop faible et non représentatif.
--> Par contre ceci n'est pas une raison afin de jeter à la hâte le régime Parlementaire par-dessus bord, Il fallait le corriger et l'optimiser.
-->
Je propose d'avoir au maximum 3 ou 4 représentants pour tous les Tunisiens résidents à l'étranger.

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger

PS :
Notre constitution contient des erreurs de pensée et des contradictions --> Je cite Mr. Mohamed Abbou,: "Selon la Constitution actuelle, en cas de vacance du poste présidentiel, le pouvoir revient provisoirement au président de la Cour constitutionnelle. Mais en l'absence de cette institution, un flou juridique plane sur la gestion de toute crise majeure. Ce flou pourrait engendrer des conflits de pouvoir ou un chaos institutionnel, des risques inacceptables pour un pays aux institutions déjà fragiles", d'après Business News TN du 19/01/2025 "L'absence de Cour constitutionnelle, une bombe à retardement selon Mohamed Abbou"
-->
c'est-à-dire qu' "en cas de vacance du poste présidentiel, le pouvoir revient provisoirement au président de la Cour constitutionnelle" --> mais nous n'avons pas de Cour constitutionnelle et ainsi pas de président de la Cour constitutionnelle --> voilà une constitution qui ne veut pas le bien de la Tunisie et des Tunisiens, en supposant que l'actuel Pr'?dident de la République est immortel:))

De même notre loi électorale contient des erreurs de pensée et des contradictions. Je cite: "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à postériori [. . .] de ces faits, chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné"
-->
Fazit: il serait injuste de garder Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar Bargaoui emprisonnés encore pour des années. En effet, il n'y a aucune preuve convaincante que Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar Bargaoui ont triché. D'ailleurs une juge tunisienne intelligente a libéré Mr. Zammel que d'autres juges l'ont contredite avec des conséquences fatales pour la juge même...
-->
- - Il n'y a pas de justice sans l'instauration de la Cour Constitutionnelle et du Conseil Supérieur de la Magistrature dont la majorité des membres serait élue et non pas nommée par le Président de la République...

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Larry
Encore 4 années à tenir !...
a posté le 22-03-2025 à 16:21
A moins que notre peuple de gueux ne se réveille avant ?...
Riadh
Monsieur Larry
a posté le à 10:14
Mais, lui il va tenir à cette pression sans cesse croissante?
A4
Histoire de ... clou !
a posté le à 11:03
LE CLOU
Ecrit par A4 - Tunis, le 03 Février 2023

Ce n'était rien qu'une belle planche
Qui avait besoin d'un coup de rabot
Avait des taches brunes et blanches
Des petites bavures et des copeaux

Elle n'était pas en bois d'ébène
Ni dans un bois tendre de poirier
Elle a été, mais non sans peine
Découpée dans un tronc d'olivier

Elle sentait bien la terre fraîche
Reflétait un ciel bas, nuageux
N'était pas lisse mais plutôt rêche
Avec un caractère orageux

Mais je ne sais pourquoi ni comment
Un vieux clou entièrement rouillé
Vint soudain s'y planter bêtement
Avec son air de poule mouillée

Il était complètement tordu
Avec une tête bosselée
Venait du rayon des invendus
Mais ne sachant hélas où aller

Il tenait bon et il s'accrochait
Ne sachant où et comment partir
Comme un rescapé sur un rocher
Il ne voulait jamais déguerpir

Il s'arc-boutait, l'air très menaçant
Pointant vers le haut sa sale tête
Il sortait des cris assourdissants
Et se tortillait comme une mauviette

Il voulait prendre toute la place
Chassant les boulons et les rondelles
C'est certain qu'avec son c'?ur de glace
Il n'avait que la haine pour modèle

Devant toute cette stupidité
Moi je suis certain que pour bientôt
Une grosse main pleine d'agilité
L'assommera à coups de marteau

Il aura la tête au fond du trou
Plus jamais de paroles hystériques
Quitte à ensuite camoufler le tout
D'une bonne couche de mastic !
Tounsi
Un Kollab?
a posté le à 16:50
Pour arracher ce clou rouillé, sinon tous les tunisiens vont attraper le tétanos très prochainement.
elfribo
Il est comme ...
a posté le 22-03-2025 à 14:58
Tous ces Ministres , premiers ou seconds ont dù le regarder dans les yeux, comme de Caprio, il n'aime pas ça.
Rationnel
Le pays sauvé par les échecs des premiers ministres
a posté le 22-03-2025 à 11:43
L'échec de nos Premiers ministres est préférable à leur réussite dans ce contexte. Je suis reconnaissant à tous les hommes et femmes qui ont occupé ce poste et qui ont su freiner les ambitions dévastatrices de KS. C'était leur devoir patriotique de garantir la continuité du pays et sa survie durant cette période passagère de chaos. Leur résistance silencieuse, bien que souvent critiquée, a permis de préserver les fondements de notre nation.
Le grand projet de KS est la généralisation des sociétés communautaires, une étape vers le communisme et le servage. '?tendre ce mode d'organisation à l'économie entière entraînerait des dommages plus graves que la généralisation accélérée des coopératives par Bourguiba et Ben Saleh dans les années 60. La Tunisie et son peuple sont très mal adaptés à ce mode d'organisation. Nous sommes une société de commerçants et d'agriculteurs indépendants ; notre inconscient collectif refuse la perte d'autonomie et l'effacement de l'individualité. Notre histoire millénaire témoigne de cet esprit d'initiative et d'indépendance qui a toujours caractérisé les Tunisiens.
Après KS, ce sera l'âge d'or de la Tunisie, cet âge d'or ne dépend ni de KS, ni de la bureaucratie, ni des gouvernements. Il est relativement facile pour la Tunisie de recréer un nouvel âge d'or comme ce fut le cas durant les empires phénicien et romain (soit presque deux millénaires) et redevenir prospère, car le pays dispose de nombreux atouts. Notre position géographique stratégique, nos ressources naturelles et notre capital humain constituent des fondements solides pour un avenir brillant. Les Tunisiens (du moins ceux que je connais) sont des travailleurs intelligents, assidus et ambitieux qui trouveront leur chemin malgré toutes les difficultés et obstacles. L'histoire nous a appris que nous savons nous relever des périodes les plus sombres. KS n'est pas éternel, mais le pays, lui, l'est.
J'espère que Sarra Zaâfrani Zanzri va réussir à sauver le pays encore une fois et trouvera le courage de résister et retarder le projet dévastateur de KS. Les projets de développement peuvent attendre, d'ailleurs plus on attend et plus le coût de ces projets descend. La patience stratégique est aujourd'hui notre meilleure alliée. Le temps joue en notre faveur, et les générations futures nous remercieront d'avoir su préserver l'essence même de notre nation pendant cette épreuve temporaire.
Léon
Un état aux abois. Le plan sioniste de 2011 applaudi par les imbéciles a atteint, et même dépassé, ses objectifs
a posté le 22-03-2025 à 10:36
Trahison collective de 2011: Les atlantistes ont tendu un piège à un peuple mû de sales pulsions. Résultat: Une n-ième révolution colorée émanant de la Sorosphère dans le but de garder un pays arabe, devenu gênant, sous contrôle. Et le peuple de sots s'est fait prendre, peuple d'ingrats! vous n'avez pas fini de sombrer.

Léon, min joundi Tounis Al Awfiya,

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Morjane
CDD
a posté le 22-03-2025 à 04:56
Effectivement cette personne a interdit les CDD mais lui le pratique. Il est fidèle à personne, il n'a confiance à personne, il est d'un égo démesuré et ne fait confiance à personne. Le cas relève de spécialistes. En plus il a un plaisir sadique à mettre les gens en prison . Ce type n'a pas de c'?ur, c'est un méchant personnage
Nephentes
Qu'est ce qui a motivé les accusations portées par Mr Saed
a posté le 22-03-2025 à 04:53
L'épisode du limogeage de Mr Maddouri ne doit pas être perçu comme une simple anecdote sans importance
Il doit marquer l'esprit des gens les amener à se questionner radicalement car il ne s'agit pas d'un feuilleton ramadanesque

En particulier Mr Saed a évoqué avant hier un complot contre la sûreté de l'Etat sur la base bien sur de données crédibles fournis par des structures sécuritaires

Parmi ces données corroborées fournies nos services de renseignement figurent en bonne place une série d'incidents visant à déstabiliser l'?tat et orchestrées par des tierces parties étrangères voulant nuire à la Tunisie

Exemples ,:
Organisation de pénuries
Blocage de route
Pics de délinquances
Immolations mal intentionnées

Immolations mal intentionnées......

Voilà qui amène à se questionner radicalement

N'importe quel idiot arriéré d'esprit ne peut concevoir une série d'immolations par le feu comme une machination politique destinée à déstabiliser le régime de Mr Saed

Pourtant c'est bien ce qui a été longuement affirmé et détaillé par le Président lors du Conseil de Sécurité d'avant hier

Mr le Président est donc convaincu sur la base d'analyses de rapports juges crédibles que la série de suicides par le feu enregistrés notamment depuis le début de l'année sont le fait d'un complot contre la Sûreté de l'Etat Tunisien

Ce seul fait; rapporté par le plus haut responsable du pays, doit légitimement poser question sur la capacité actuelle des structures de pouvoir à gérer le pays

On peut se demander si un pont de rupture radical n'a pas été franchi a l'occasion de ce limogeage
le financier
a supposer que ce soit vrai
a posté le à 21:49
A supposer que ce soit vrai , pourquoi détruit il le pays economiquement parlant je ne vais citer les lois qu il a fait on arrete pas de les répéter
Vermine
Mascarade
a posté le 21-03-2025 à 23:40
Un abus de pouvoir, une irresponsabilité et un applatissement devant certains pays étrangers. Du jamais vu. Mais la tournera très bientôt car ceci devient insupportable pour le peuple tunisien.
Salem
'?lections présidentielles anticipées
a posté le 21-03-2025 à 22:52
Il faut arrêter ce délire et ce beau monde et organiser des élections présidentielles anticipées sinon les conséquences vont être désastreuses. La rue chauffe.
Nephentes
@Chelbi ; il faut comprendre ce qui se passe réellement
a posté le 21-03-2025 à 20:05
Vous suggérer si j'ai bien compris qu'on induit régulièrement Mr Saed exploitant possiblement un caractère soupçonneux et exalté

Cela s'appelle de la manipulation

Les faits sur vous rappelez sont effectivement étonnants improbables même dans le cadre des responsabilités de Mr Saed

De pose alors la question centrale : y a t il dans le cercle de ce pouvoir une partie un groupe spécifique qui manipule a escient Mr le Président pour tirer profit de ses faiblesses supposées en particulier une paranoïa éventuelle et une incapacité à analyser objectivement les faits ?

Et quels seraient les pouvoirs de cette partie et attributions accordées par Mr Saed dans le cadre d'une éventuelle alliance ?

Je vous rappelle que les accusations portées contre Mr Maddouri sont graves ; elles doivent impérativement se baser sur des preuves documentées voire sur des écoutes téléphoniques ou du piratage informatique

Si ces suppositions pourraient correspondre a tout ou partie de la réalité

Cela pourrait signifier que Mr Saed est manipule

PAR QUI
A.
Je ne le pense pas
a posté le à 22:22
Je ne pense pas qu'il est manipulé mais je pense que les ministres ont peur lorsqu'ils découvrent l'ampleur de la mafia et la corruption. Que le président essaye de trouver les ministres qui peuvent briser ce système mais c'est difficile even trouver. La corruption est tellement généralisée qu'il faut un gouvernement extrêmement réduit pour gérer ceci. La privatisation pourrait peut être aider mais si elle est bien gérée et que ça reste national. Le gouvernement ne peut pas réduire l'effectif de l'administration publique sinon il va créer une crise sociale et on se retrouve avec un sureffectif d administration qui ne fait rien. La conjoncture mondiale est chaotique. On n'est plus dans la 3ème guerre mondiale mas dans le 1er chaos mondiale. Disant qu'en Tunisie on s'en sort un peu mieux que le reste du monde . Les populations ailleurs vivent dans la peur d'être envoyé à des fronts de guerre dont ils n'ont rien à faire. Je pense que nous vivons une nouvelle ère dans laquelle les usa, la Chine et la Russie sont en train de définir leur zone d'influence et ils sont en train de se partager le monde. Aucune partie du monde ne va y échapper alors espérons que la Tunisie s en tirera avec le moins de dégâts. ( j'espère tout sincèrement que je me trompe dans cette vision et que ce n'est assez chaotique que ce que je pense ) . Pour conclure est ce que c'est facile de trouver un ministre qui aide le président à traverser la tempête? Je n'en vois pas '?' on va continuer ce cycle et c'est normal. Kaïs saed ne vient pas du monde politique et il n'a pas un réseau d'influence solide. Il se base surtout sur une assise populaire. Ce qui explique ces changements qui vont continuer à mon avis
Nephentes
Comment le Président est il informé
a posté le 21-03-2025 à 17:02
Il convient a ce stade de s'interroger sur les informations dont dispose le Président pour évaluer et limoger ses collaborateurs
En l'espèce lors du Conseil de Sécurité d'hier Mr Saed a affirmé l'existence d'infiltrations de certains lobbys et cartels au sein du Premier Ministère

Et si pour une fois on prenait ces affirmations au sérieux vu leur gravité

Les données parvenues au Président suggèrent que non seulement Mr Maddouri aurait outrepassé ses attributions mais qu'il aurait comploté contre l'intérêt général et contre les fondements du mouvement du 25 juillet

Cela peut s'appeler un complot contre la sûreté de l'Etat

Quel seraient donc les indices qui auraient convaincu le Président et ses services de renseignement de tels dépassements de Mr Maddouri

Est ce que Mr Saed a recoupé ces informations avec d'autres sources ou bien fait une confiance aveugle aux structures qui lui font parvenir les données prouvant la gravité des faits reprochés a Mr Maddouri si l'on s'en tient aux déclarations présidentielles d'hier

Parce que la fiabilité des sources de recueil et de recoupement de l'information sont cruciales dans un régime présidentiel

Et que les risques de manipulation existent bel et bien avec des conséquences majeures
Chelbi
Et ou sont parties ses facultés mentales?
a posté le à 19:37
Il est informé de la meme façon que la baguette empoisonnée, ou l'enveloppe empoisonnée, ou encore le trou pres de la residence de l'ambassade français, ou même les députés qui perçoivent 150 mille dinars par article, ou les 4 millions descendus dans la rue pour le soutenir, etc. etc.

Je pense que poser cette question est un blanchiment de cette mascarade qu'on vit depuis 2020. Comme s'il n'en était pas conscient lui même!
Chafik
Qui est son médecin traitant ?
a posté le 21-03-2025 à 16:44
Ou est ce qu'il en a un?
A4
Instabilité...
a posté le 21-03-2025 à 15:50
... gouverne MENTALE !!!
Chelbi
Absolutely
a posté le à 19:38
Absolument!
Larry
@A4
a posté le à 19:19
EXCELLENT !...
Nephentes
La cohésion et la paix civile du pays menacés
a posté le 21-03-2025 à 15:10
L'administration est traumatisée un climat de démotivation voire de terreur gagne tous les organismes publics
On fait attention à ce que l'on dit on cherche a se faire couvrir par son supérieur pour n'importe quelle initiative
Désormais tout projet de coopération tuniso-europeen fait peur
On voit des espions des délateurs partout
Le blocage des mécanismes administratifs ne fait que se renforcer
'?.
Oui et non
a posté le 21-03-2025 à 14:53
Accordons à kaisoun le bénéfice du doute. On est dans un pays avec une corruption systémique à tous les niveaux. Briser ce système nécessite un DOGE à la musk très fort . Même les USA trouvent ceci difficile. Lutter contre la corruption ça veut dire lutter contre des mafias très puissantes qui possèdent des hommes de mains partout et contrôlent les médias. Quel politicien va pouvoir leur tenir tête ? Kaisoun essaye de faire de son mieux mais il est clair qu'il n'a pas trouvé encore son musk .
A1
Colères ramadanesques...
a posté le 21-03-2025 à 14:42
Tout le monde attend que la pomme tombe d'elle même et elle finira par tomber mais... à quel prix pour notre avenir, nos institutions, nos enfants, notre image... Il faudrait une génération entière pour remettre le pays sur le droit chemin et encore...
le financier
tres bonne article il manque juste
a posté le 21-03-2025 à 13:23
j ai bien ris avec ces deux paragraphes

" D'autant plus irréaliste que le ministère technique le plus sensible du gouvernement, celui des Finances, a aussi une bleue à sa tête. Comment deux néophytes vont-elles assurer le budget et le fonctionnement normal de l'?tat ?

Depuis son nuage, Kaïs Saïed ne s'est même pas posé la question. Sachant que ses communiqués ont été publiés à 5 heures du matin, il est fort à parier qu'il est en train de dormir en ce moment. '"

Le il dort en ce moment est un delice .

Sinon il manquait que la loi sur les cheques qui va flinguer le peu de croissance que le pays faisait si on est a zero ca sera deja un miracle ( pour un pays qui tire sa croissance non pas par le travail mais la consommation par dette )
cavaliero
oui la stabilité dans l'instabilité
a posté le 21-03-2025 à 12:25
effctivement il y a de l'instabilité non seulement au niveau du chef de gouvernement aussi au niveau des ministres du gouverneme où on a vu une multitude de ministres flous où leurs cv ne reflette pas leur compétence ou il sont en dehors de leurs compétences
espérant cette fois qu'il a trouvé l'oiseau rare
effectivement cette femme selon so CV est une femme qu'il faut à la place qu'il faut