Si l’on en croit Safi Saïd, « l’oriental », Chafik Jarraya serait en fait un homme à plaindre. Il paraitrait que celui qui faisait la une des journaux et qui ressassait son parcours de self-made-man à l’envi, soit en fait criblé de dettes, atteignant 35 millions de dinars, que sa famille vit modestement et que son frère soit locataire. Encore faudrait-il croire Safi Saïd, partie la plus compliquée du processus. Un homme dont le fils se pavane en Ferrari à Paris est difficilement à plaindre.