Alors que le président Kaïs Saïed se félicitait d’avoir mis fin à une prétendue forme d’esclavage moderne, un élu vient de dévoiler le revers du décor.
C’est une opération très simple : vous prenez un homme libre, une femme qui parle, un avocat qui pense, un politicien un peu trop indépendant. Vous les mettez en prison.
La semaine dernière, l’administration pénitentiaire tunisienne a eu une idée lumineuse : disperser les prisonniers politiques aux quatre coins du pays. Pourquoi ? Mystère.
Il avait tout pour finir discrètement sa peine. Un verdict est tombé, une amende a été payée, les jours en prison étaient comptés. Mais pour Mehdi Ben Gharbia, la justice n’est pas un cycle, c’est un piège sans sortie.
La Chine se projette dans 2050. Nous, on ressasse les années 80. À ce rythme, dans cinquante ans, on découvrira peut-être l’hoverboard. À condition que le syndicat des taxis y consente.