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À cause des 350 MD que leur doit l’État, les boulangeries classées risquent de fermer boutique
01/04/2024 | 13:30
1 min
À cause des 350 MD que leur doit l’État, les boulangeries classées risquent de fermer boutique

 

Des boulangeries classées risquent de fermer leurs portes et d’arrêter leurs activités, après le mois de ramadan. C’est ce qu’a indiqué, lundi 1er avril 2024, le trésorier de la Chambre syndicale nationale des boulangers, relevant de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (Utica), Sadok Haboubi.

 

 

M. Haboubi a affirmé, dans une intervention téléphonique dans l’émission Le 7-9 sur radio IFM, au micro de Khaled Laabidi, que l’État n’a toujours pas réglé ses dus auprès des boulangeries classées (qui vendent le pain compensé) pour quinze mois et une valeur de 350 millions de dinars (MD).

Ainsi, les professionnels ne sont plus aptes à faire face pour aux dus à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), aux recettes des finances et aux fournisseurs.

Il a rappelé, dans ce cadre que, le coût de la baguette est de 0,52 dinar alors qu’elle est vendue à 0,19 dinar et que l’État est supposé compenser cette différence de prix. Sauf, qu’il y a beaucoup de retard dans le paiement des dus des boulangers et cela malgré les promesses répétées qui n’ont pas été concrétisées.

 

Actuellement, les boulangers sont au bout du rouleau, ils ne peuvent plus continuer leurs activités. Une réunion de la Chambre syndicale nationale des boulangers est prévue après ramadan pour décider des mesures à prendre, a précisé Sadok Haboubi.

Il est à noter que les boulangeries non classées – dites modernes – sont à l’arrêt depuis des mois en raison de la restriction de vente de farine imposée par le ministère du Commerce, suivant les directives du président de la République.

 

I.N.

01/04/2024 | 13:30
1 min
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Commentaires
JOHN WAYNE
PAS FOLLE LA GUEPE EN HIJAB
a posté le 01-04-2024 à 14:24
Les Tunisiens sont au stade embarrassant ou ils se dévisagent quotidiennement devant une armoire à glace en se posant la question existentielle suivante : « miroir O miroir, suis-je vraiment un gueux ? »
Car il suffit de revoir en couleur le parcours de la décennie précédente pour comprendre ce qui les a mené à ce triste état de disette intellectuelle et matérielle.
Hélas, le Tunisien a la mémoire courte comme ne jamais se rappeler qu'au début des années 1990, ce fut le génie de notre Patron et frère Ben Ali qui leur évita une guerre civile sanglante au même moment ou le GIA se préparait à occuper la ville d'Alger. Peur sur la ville comme le célèbre film d'Henri Verneuil.
Des souvenirs loufoques flottent en mon esprit. Ou commencer ?
Oui, Il y avait bien Ibrahim Gassas homme préhistorique en turban menaçant du poing tout gueux de l'assemblée du peuple qui remettrait en question l'Islam. Ou encore Meherzia à califourchon sur sa moto derrière son mari afin de refléter une image moderne de l'Islam. Et Mabrouka Popom, le virtuose des beurres aux parents ayant vécu sur le SMIG depuis leur arrivée en France. Cette brune rachitique pour laquelle la vision de Tunisiens conduisant des voitures de luxe et dansant dans les boites de nuit de Hammamet au temps de Ben Ali était devenue insupportable.
J'oublie Moncef Marzouki en burnous prêtant serment en compagnie d'islamistes véreux dont le chef infame Rached qui se paya un accueil triomphal à l'aéroport de Carthage digne de celui du Prophète Mohamed.

« On peut fonder des empires glorieux sur le crime, et de nobles religions sur l'imposture. » disait Baudelaire.

Le clou du spectacle fut sans aucun doute Béji Caïd Essebsi l'ancien beldi-clown de Wassila Bourguiba qui non seulement fricotta avec les islamistes Tunisiens et l'OTAN afin de vendre Kadhafi, mais eut l'audace de se déguiser en Bourguiba a Ksar Hallal pour un discours qui n'avait ni queue ni tête.
Sans doute la devise de ce traitre suprême était-t-elle de toujours tenter de faire d'une pierre deux coups dans la vie. En effet, non content d'avoir autorisé l'entrée d'armes de l'OTAN pour les rebelles de Nefoussa par le port de Zarzis afin que DAECH prenne Syrte et y impose la Charia, il en profita pour charger son fils de moultes transactions corruptives et véreuses. Les escrocs et les imposteurs ne perdent jamais le Nord.
BCE aurait du non pas écrire comme mémoires « Le bon grain de l'Ivraie » mais « J'ai détruit la Tunisie et la Libye et je me farcie des funérailles nationales qui étaient le du de Ben Ali et de Kadhafi »
De quoi s'arracher les poils du bas ventre un a un.

« Je préfère un futur imprévisible à un futur imposteur.'?' Ecrivit un jour Maurice Schumann le célèbre ministre de George Pompidou.

Car imposture la révolution Tunisienne l'est.
Une horde de gueux se précipita à Stockholm pour un prix Nobel sioniste exonérant les islamistes Tunisiens et y chanta les pénuries de pain du temps de Ben Ali.
Les temps qui ont suivi la révolution Tunisienne étaient d'ailleurs surréalistes.
Comme cette gueuse en hijab Tunisienne parlant aux médias Européennes et y déclarant haut et fort que la Tunisie avait besoin d'un système politique de type Suédois.
Pas folle la guêpe en Hijab.

JOHN WAYNE