
Le niveau de l’eau de l’oued Medjerda, dans la délégation de Medjaz El Bab au gouvernorat de Béja a atteint, ce dimanche 1er mars 2015, près de 8,8m. L’eau a envahi près de 500 ha de terres agricoles limitrophes de l’oued.
Le directeur régional de l’agriculture de Béja, Ali Mekni a affirmé dans une déclaration à l’Agence TAP, que la gestion du flux d’eau en provenance du gouvernorat de Jendouba, notamment de la délégation de Boussalem, se déroule convenablement, en assurant un taux de remplissage de 170m3 par seconde dans le barrage de Sidi Salem.
Le barrage de Sidi Salem compte actuellement 670 millions m3 d’eau alors que sa capacité maximale est estimée à 643 millions m3, a précisé la même source. Le gouverneur de Béja Kamel Salmani, a indiqué, pour sa part, que la région aurait surmonté la phase de danger si on n’enregistre plus une précipitation abondante.
Les différentes mesures ont été prises pour assurer les secours nécessaires aux habitants dans les zones limitrophes de l’oued de Medjerda à Béja, a souligné le gouverneur.
La situation est stable dans les localités de Shili et Sidi Ismail à Béja sud grâce à une diminution remarquable du niveau de l’eau et l’évacuation d’une vingtaine de familles habitant la zone avoisinante l’oued Medjerda.
S.H (Avec TAP)
Un gros risque pour la stabilité du barrage en poids, des cas d'effondrement se sont produits à travers le monde et le désastre est PLUS GROS que la cervelle du crétin!
Le débordement du barrage s'est le désastre ...
Ce qui manque dans ce texte c'est la hauteur de la retenue d'eau, la hauteur d'évacuateur des crues, la hauteur de l'évacuateur de surface sachant que la hauteur du barrage est de 57 m!!!
Non le pays se porte bien et nous n'avons que des bonnes nouvelles depuis le 14 janvier maudit.
A moins que tu prennes les choses du bon côté...bon je vais m'arrêter là pour ne pas dire de conneries.
Mais je ne puis me délecter si j'oublie de te rappeler le
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Tous les tunisiens le connaîtront par coeur d'ici bientôt.
Léon.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Ce guide qui ne cesse de pleurer sur son sort, à tel point que je commence à m'inquiéter à son sujet... le pauvre, il me fait de la peine.