L’ancien bâtonnier de l'Ordre national des avocats et président de la Ligue tunisienne de la citoyenneté, Chawki Tabib, ainsi que l’ancien président de la Ligue des droits de l’Homme Mokhtar Trifi auraient été proposés à nouveau au poste de chef du gouvernement par le Front populaire.
C’est ce qu’a affirmé M. Tabib, ce mercredi matin 20 novembre 2013, dans une déclaration à la TAP. Lui et M. Trifi répondent aux critères que doit remplir chaque candidat présenté à ce poste, selon les estimations du Front populaire.
Rappelant le rôle historique de l’Ordre des avocats et celui de la Ligue des droits de l’Homme dans la réconciliation des différents partis politiques, Chawki Tabib estime que le futur chef du gouvernement doit remplir certaines conditions notamment avoir la capacité à favoriser la réconciliation entre toutes les parties quelles que soient leurs différences et les regrouper autour de l’intérêt supérieur du pays et la nécessité de servir la Tunisie en ce moment critique.
Pour lui, la prochaine personne qui occupera ce poste devra avoir les capacités physiques et morales qui lui permettent d’assurer des heures pénibles et fatigantes de travail. Elle devra, aussi, répondre, à ce qu’il appelle un «critère de militantisme», à travers la participation de cette personne à la révolution et à la mise en place de la transition démocratique dans le pays.
I.N
Tunisie - Le Front populaire propose Chawki Tabib et Mokhtar Trifi au poste de chef du gouvernement
L’ancien bâtonnier de l'Ordre national des avocats et président de la Ligue tunisienne de la citoyenneté, Chawki Tabib, ainsi que l’ancien président de la Ligue des droits de l’Homme Mokhtar Trifi auraient été proposés à nouveau au poste de chef du gouvernement par le Front populaire.
C’est ce qu’a affirmé M. Tabib, ce mercredi matin 20 novembre 2013, dans une déclaration à la TAP. Lui et M. Trifi répondent aux critères que doit remplir chaque candidat présenté à ce poste, selon les estimations du Front populaire.
Rappelant le rôle historique de l’Ordre des avocats et celui de la Ligue des droits de l’Homme dans la réconciliation des différents partis politiques, Chawki Tabib estime que le futur chef du gouvernement doit remplir certaines conditions notamment avoir la capacité à favoriser la réconciliation entre toutes les parties quelles que soient leurs différences et les regrouper autour de l’intérêt supérieur du pays et la nécessité de servir la Tunisie en ce moment critique.
Pour lui, la prochaine personne qui occupera ce poste devra avoir les capacités physiques et morales qui lui permettent d’assurer des heures pénibles et fatigantes de travail. Elle devra, aussi, répondre, à ce qu’il appelle un «critère de militantisme», à travers la participation de cette personne à la révolution et à la mise en place de la transition démocratique dans le pays.
