
Une conférence de presse a été organisée lundi 17 mars 2025, en marge de la signature d'un accord au siège du ministère de l'Équipement et de l'Habitat pour la construction de quatre hôpitaux régionaux dans les villes de Hafouz, Jelma, Makthar et Ghardimaou. Le projet sera financé conjointement par la Tunisie et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe et représente un investissement de plus de 98 millions de dollars hors taxes. Les travaux commencent en avril 2025, avec une durée d’exécution estimée à 26 mois
Selon la ministre de l'Équipement et de l'Habitat, Sarra Zaâfrani Zenzri, chaque établissement disposera d'une capacité de 105 lits et offrira plusieurs spécialités médicales, notamment la médecine interne, la pédiatrie, la gynécologie obstétrique, ainsi que des services de radiologie, d’analyses médicales, de banque de sang, des urgences, de réanimation et d’unités chirurgicales, en plus d’hôpitaux de jour et de services d’anesthésie-réanimation.
Selon les informations présentées lors de la conférence de presse, le coût de construction de l’hôpital de Jelma dépassera 22 millions de dollars, tandis que celui de Ghardimaou s'élèvera à plus de 26 millions de dollars, Hafouz à plus de 25 millions de dollars et Makthar à plus de 23 millions de dollars.
R.A.
Les hopitaux des regions interieurs sont deja sous employ2 en manque de medecins .
George Soros représente pour certains le machiavélisme personnifié mais pour d'autres une source de revenu a travers des ONG qui disséminent une contestation perpétuelle dans le monde entier.
L'homme en question est même arrivé à pénétrer au Palais de Carthage ou jadis dormait notre Père Bourguiba. Mais cela n'est guère un exploit. Les Tunisiens ont tous un prix sauf Kais Saied et BCE et son fils étaient profondément corrompus et aux activités loyales à l'OTAN et au Qatar plutôt qu'à l'état Tunisien.
L'histoire a cette façon fourbe et maligne de changer les données du monde. Personne n'est irremplaçable et ceux qui semblent éternels finissent aux cachots ou à la potence.
Et la donnée modifiée par l'histoire est que l'Amérique est un pays au bord du précipice. Figurez-vous une puissance mondiale qui s'avère tout d'un coup être la plus corrompue au monde, elle qui donnait des leçons de démocratie au reste de la planète. Prenons le ton des Wikileaks par exemple, ces fausses fuites qui ont influencé les Tunisiens à saccager et à vendre leur pays. Ces documents soi-disant confidentiels décrivent les activités de Sakhr El Matri et celles des Trabelsi comme étant la corruption même.
Oui, ces jours-ci, les Etats Unis ont perdu toute crédibilité en pays donneur de leçon et le plus grand danger pour George Soros s'appelle Donald Trump mais pas n'importe lequel.
Celui qui a décidé que sa survie suite a un attentat dont les ficelles sont obscures était simplement une décision divine.
Le même raisonnement affectait Nasser au lendemain de sa tentative d'assassinat par Sayed Qutb, ou encore Fidel Castro que la CIA a eu dans son collimateur pendant des décennies. S'ajoute à cela la scène étrange ou une colombe blanche se pose sur le dos du Commandante peu près son entrée à la Havane.
Les hommes qui se sentent protégés de Dieu dans leur mission n'ont en général peur de rien.
Les Européens ont toujours été faibles intellectuellement et physiquement même si leur histoire est riche culturellement.
La guerre Russie-Ukraine ne finira jamais, elle qui a été créée par les fourberies des gouvernements américains précédents et leurs marionnettes européennes.
Mais Trump s'en fiche comme de l'an quarante. Sa mission est de sauver l'Amérique car comme il le dit si bien, je dois repayer ce que le pays m'a donné. Et l'idée que son pays va bientôt tomber aux mains des cartels mexicains et n'être peuplé que par des sans abri lui est désagréable.
Et à propos de sans-abris, les dernières enquêtes d'Elon Musk démontrent que des sommes faramineuses de l'USAID ont fini indirectement dans des ONG de George Soros, l'homme des « BLACK LIVES MATTER » mais surtout l'homme dont les machines à compter les votes made in Venezuela ont fait perdre à Trump les élections précédentes.
C'est dans ce contexte de guerre civile potentielle et d'effondrement financier que Donald Trump pourrait devenir un Bourguiba face aux manigances de Salah Ben Youssef et adopter une attitude radicale et définitive.
Car pour Donald Trump, George Soros a suffisamment poussé le bouchon, et dans un contexte de guerre nucléaire possible et d'effondrement de l'Amérique, la fin de la recréation doit être sonnée une fois la CIA purgée de ses traitres démocrates.
JOHN WAYNE