
Le professeur d'éducation physique, Zoubeir Gmati a été agressé après avoir surveillé le déroulement des épreuves du baccalauréat. L’agression a eu lieu le 9 juin 2025, à la délégation de Foussana du gouvernorat de Kasserine.
Selon une publication Facebook de son frère Lotfi Ben Ali Gmati à la même date, la victime aurait été agressée par un élève et son père, à coups de bâton après avoir surveillé l’une des épreuves du bac. En effet, le surveillant aurait attrapé l'élève en question en pleine triche, avant l'incident.
Son frère a exprimé son désarroi et sa tristesse. « Tu pars surveiller les épreuves du baccalauréat… Tu fais ton travail… Tu te fais intercepter par tes voisins avec des bâtons… Tu te fais tabasser », a-t-il déploré.
Nombreux sont ceux qui ont dénoncé cette agression et partagé des photos de la victime alitée à l'hôpital.
M.S.
EN France (et ailleurs) on enregistré un terrible drame aujourd'hui. Lors d'une fouille des sacs des élèves devant l'entrée d'un collège 'secondaire) de Nogent, Haute-Marne. Une assistante d'éducation (surveillante) a été poignardée et gravement blessée. dépêchée aux urgences, elle n'a pas pu être sauvée malheureusement.
Les manières douces ne pourront jamais dissuader les indisciplinés...
Histoire de faire comprendre à tous ceux qui seraient tentés de "tabasser" les profs de la region que l'éducation nationale est prête à rayer l'usage des bâtiments publics réservés à l'enseignement dans la région de Foussana et d'assurer ce même enseignement au sein des locaux de la caserne militaire la plus proche dans le futur et bien sûr sous surveillance militaire...
Si le laxisme en matière de sécurité dans l'éducation implique d'adopter des méthodes autoritaires à la Kim Jun Un de la Corée du Nord, alors appliquons les sans tarder, parce que les conséquences dans la vie courante se font de plus en plus ressentir.
Bien sûr, il s'agissait du peuple des forêts, et de ceux qui ne sont pas encore descendus de l'arbre.
Avons-nous assisté à ce genre de spectacle déplorable, sous l'ère de l'irremplaçable BOURGUIBA et de celle du magnanime ZABA
Essayez un peu, de deviner pourquoi ?
Des peines exemplaires doivent être prononcées à l'égard des barbares qui passèrent à tabac, cet honnête citoyen qui ne faisait qu'exercer son devoir.
Le zolatte doit être réactivé, sans ménagement, sinon les consanguins post-2011, adeptes invétérés des pingouins de la maudite terka, finiront par disloquer la NATION.
Continuez à dormir !!!