Le chargé du contentieux de l’Etat a annoncé, vendredi 5 juin, se saisir de l’affaire de la vente aux enchères de pièces archéologiques tunisienne à Paris.
Au total, 114 pièces historiques de l’époque beylicale, exposées par l’hôtel des ventes Couteau-Bégarie-Drouot à Paris, ont été programmés pour une vente aux enchères le 11 juin sous le nom : Noblesse & Royauté Art de l’Islam – Orientalisme.
Le chargé du contentieux de l’Etat s’est entretenu avec Ghazi Ghrairi, ambassadeur représentant permanent de la Tunisie auprès de l’Unesco, le directeur général de l’Institut national du patrimoine (INP) et un représentant du ministère des Affaires étrangères afin de suspendre la vente et récupérer ces pièces, selon un communiqué du ministèr des Domaines de l'Etat.
Ghazi Ghariani a, rappelons-le, annoncé, jeudi 4 juin sur Twitter, le retrait des pièces majeures de la collection initialement exposée.
Selon l’Institut national du patrimoine (INP) la majorité des pièces appartenait à une collection privée de Ahmed Jallouli, un descendant d’un dignitaire de la Cour beylicale
L’ensemble inclut, selon la TAP, « documents, ouvrages, souvenirs historiques et garde-robe ayant appartenu à Sidi Lahbib Djellouli (1879-1957), Caïd-Gouverneur de Kairouan, de Nabeul, et de Béja, puis Ministre de la Plume et Ministre de la Justice du Bey, conservée par son fils Ahmed Djellouli (1930-2011), puis par descendance et à divers ».
N.J.
c'est vrai que Sid Ahmed , Allah y rhamou possédait de très belles collections héritées de ses ancêtres ! et -sans relation de cause à effet- prononcer ainsi son prénom ne me donne pas l'impression tout républicain que je sois , de me conduire en vil esclave passible du "chat à sept ou neuf (je ne sais plus) queues" ou de la "chicote" des colonialistes belges au Congo car c'est juste une forme de respect due (je présume) à coup sûr à un grand monsieur (royaliste je présume) d'une parfaite courtoisie affable et qui suscitait en général l'intérêt de ses interlocuteurs par ses connaissances et ses témoignages sur les péripéties qu'avait vécues ;quant à son ancêtre dont il est question le fait de lui donner du "SIDI" constituerait-il vraiment une marque ou une "persistance" de servilité (comme cela se fait couramment -je dirais automatiquement et bien banalement sans y prendre garde même) pour des personnalités même disparues) ou dottore ou su emitenza ou onorabole ou altesse pour un prince déchu comme c'est le cas dans certaines républiques pas forcément bananières° ?
C'est étrange, mais cette marque d'obséquiosité et d'humilité surfaite, qui est plus qu'une simple marque de déférence, a donc (trop) bien franchi les décennies... On s'attendrait presque à voir ce vil bonhomme plié en deux pour pouvoir se saisir de la main de la main nonchalamment tendue par cet auguste personnage pour que son fidèle sujet puisse y appliquer son baise-main obdéquieux et empressé...
Zayed fi zayed : un esclave se conduira toujours en esclave... tant qu'on ne lui aura pas administré une bonne giclée de coups de fouet sur le dos... juste pour le ramener à la conscience, et à la dignité !
Par des collectionneurs et dealers d'art tunisiens.... On ferait mieux de se la boucler au lieu de nous faire du chauvinisme sur notre patrimoine...
Retournons d'abord aux autres ce qui est chez nous !.... Sinon fermez là !....
Ils n'ont rien à faire nos fonctionnaires ? Surtout que la faillite guette le Pays.
Ce patrimoine est l'héritage de la famille Jallouli, et ils en font comme bon leur semble, si l'état désire acquérir ces objets, elle n'a qu'à participer à la vente,
La Tunisie est un état voyou qui a dépouillé les familles tunisoises, en confisquant leur héritage composé principalement de bien immobilier et de terre agricole, attribués par la suite aux mafieux à des prix dérisoires, pour satisfaire leurs désirs illimités..
La Tunisie est pillée de son histoire devant les yeux de tout le monde. C'est un crime et un scandal
Des pièces sorties pendant le confinement, quel malheur. Va savoir quoi d'autres qui sont sortis de ce bled.
Pendant que ces pourris sont occupés à se chamailler.