Malgré les campagnes médiatiques qui tentent de déstabiliser le pays, le peuple Tunisien demeure impassible.
Il y a en histoire un effet de vaccination des masses lorsque des évènements s'avèrent être factices ou cousus de mensonge. Les masses populaires des pays en général manquent de culture et sont affectés d'une grande naïveté, mais les effets du temps font que de telles masses deviennent méfiantes face aux tournures des évènements. En d'autres mots, les peuples ont tendance à devenir immunisés, parfois trop tard, face aux impostures de l'histoire.

La révolution Tunisienne est une des plus grandes fraudes et mascarades de l'histoire puisque ses origines débutent avec les Wikileaks en novembre 2010.
Ces fausses fuites de documents secrets du gouvernement Américain dénoncent les soi-disant abus du régime Ben Ali et surtout les avantages dont disposaient la famille de Leila Trabelsi dont un dégénéré congénital nommé Sakhr El Materi.
Ces documents créent un effet d'abus intolérables sans ne jamais mentionner le niveau de vie des Tunisiens et l'économie de la Tunisie qui avaient atteint des niveaux de croissance jamais vus auparavant dans un pays sans ressources pétrolières notables. A cette même époque, les media sionistes envieuses de France et de Navarre accusaient même la Tunisie d'être devenue la plaque tournante du blanchiment de drogue dans un pays aux hôtels complets.
La mort d'un repris de justice qui s'immole à la suite d'une altercation avec les forces de l'ordre Tunisiennes met le feu aux poudres car il est repris par des hommes et femmes politiques Tunisiens cultivant une haine régionaliste profonde pour Ben Ali et depuis des décennies corrompues par des forces étrangères dont les Etats Unis.
Les émeutes qui s'en suivent sont de près suivies par Washington et surtout le régime de Barack Obama qui seulement des mois auparavant avait déclaré au Caire que l'Islam était bel et bien compatible avec la démocratie. Un message qui ne tombera pas dans l'oreille des sourds des rues islamistes du monde arabe.

Nasser qui était un homme aussi visionnaire que Bourguiba avait déclaré un jour à la BBC que l'Amérique était une fausse démocratie au Présidents manipulés par des lobby et en l'occurrence les lobbys sionistes.
Barack Obama n'était qu'un gueux et un ancien toxicomane suivant les grandes lignes tracées par les lobbys sionistes de l'après 11 septembre, à savoir une destruction du monde Arabe qui inclurait la Libye de Kadhafi entre autres pays à rayer de la carte.
La révolte Tunisienne de janvier 2011 sera suivie de près par la CIA qui infiltrera rapidement certains officiers de l'armée Tunisienne.
Tout le monde se rappellera des inconnus qui en février 2011 distribuaient des liasses de dinars aux gueux qui saccageaient les rues de Tunis.
La révolution Tunisienne était un vulgaire coup d'?tat de la CIA comme à Téhéran au temps de Mossadeq.

Les pays qui s'effondrent sont en général rapidement récupérés par les lobbys financiers dont l'objectif est la destruction du monde arabe par des démocraties islamistes dysfonctionnelles.
BCE serrant la main de George Soros au Palais de Carthage est l'infame illustration de cette emprise sioniste de pays désormais gouvernés par des traitres et des mercenaires. Un George Soros jovial dans un monde Arabe détruit et dont les tentacules comprennent l'organisation anti-souveraineté Tunisienne El Bawsala.

Kais Saied peut être critiqué de toutes parts mais les procès qui viendront démontreront que de nombreux opposants politiques disposaient de financement illégaux et suspects.
Le Peuple Tunisien démuni et appauvri ne versera aucune larme dans un pays aux structures détruites par dix années de Troïka, lui qui ne mange plus à sa faim.

JOHN WAYNE