Confinement jour 15. Les jours ne se ressemblent pas. Aucune commune mesure.
Aujourd’hui, 5 avril 2020, est la date d’anniversaire du décès de Kurt Cobain – ou plutôt de son suicide. Pour ceux qui ne le connaissent pas, le chanteur et guitariste du groupe de grunge Nirvana est mort en avril 1994. Celui qui a toujours dit en plaisantant « je deviendrai une rock star et je finirai par me tirer une balle » a été l’inspiration de toute une génération de jeunes adolescents désabusés, torturés et désorientés, connectés aux sentiments humains les plus profonds et en quête perpétuelle de sens.
Alors que ponctuée d’extrêmes en tout genre, d’abus de drogues et de tentatives de suicide, sa courte vie a été prolifique en création et en inventivité. Un artiste accompli parmi d’autres, controversé aussi, mais surtout incompris.
De la musique centrée sur la fragilité de l’âme humaine, sur le paradoxe de l’amour et de la haine mais aussi évoquant des thèmes dont le féminisme, le viol et le mal de vivre.
La célèbre phrase de Neil Young « plutôt brûler franchement que s’éteindre à petit feu », reprise par Cobain dans sa lettre de suicide en 1994 avait marqué toute une génération. Les générations de ceux qui sont devenus, comme moi, des trentenaires ou quadragénaires encore en quête d’un sens qu’ils désespèrent à trouver.
Qu’est devenue cette génération aujourd’hui ? Quels sont ses repères ?
Ceux qui en 2011 avaient hurlé à pleins poumons pour la liberté et la dignité espérant voir, enfin, leur monde changer. Ceux qui rêvaient d’un monde meilleur, fantasmaient sur un espace qui leur ressemblera enfin. Ceux qui pensaient, qu’au fil des ans, ils auront enfin leur place et que le monde leur ressemblera enfin. Ceux-là, et les plus jeunes encore, s’en retrouvent aujourd’hui désabusés et freinés dans leur élan. Ceux-là qui perdent espoir et qui baissent les bras. Ceux-là qui ont rêvé d’une classe politique différente et qui se retrouvent avec des gouvernants dont le seul pouvoir se limite à faire encore plus preuve de populisme.
Quels repères avons-nous laissé pour les générations à venir ? Est-ce ce président qui préfère braver des mesures qu’il a lui-même annoncées ? Est-ce ces animateurs tv qui jonglent entre les émissions de télé-poubelle et les reportages scientifiques ? Est-ce tous ces artistes qui se ressemblent ?
De ce confinement, nous sortirons dans quelques semaines ou quelques mois. Mais en sortirons-nous meilleurs et grandis ? Allons-nous enfin briller franchement ou finir par nous éteindre à petit feu ? En voilà une question sans réponse…
"un verbe au passé composé se conjugue avec l'auxiliaire avoir(ou être) plus le participe passé du verbe"
Relisez "lentement' cette phrase absurde et vous en saisirez toute l'absurdité. . .sinon faites-la lire à un "grammairien" et vous vous réveillerez en sursaut. . . sinon "sot" !
Ma phrase, incriminée par "messire à quat-pattes" (qui persiste à ne rien "entendre" malgré ses grandes zoreilles) n'avait pas vocation à être au "participe passé"(*) comme vous vous efforcez vainement de le faire croire mais au "passé composé" !
Toutefois, libre à vous d'aller éperdument à hue et à dia pour chercher à passer par le chas de l'aiguille. . . sans doute un peu trop piquante faute d'être aiguillonnante !
Je crois que même "bel felleqi" vous êtes et demeurez "bouché à l'émeri" !
Maxula.
(*) "C'est fait", ça c'est au participe passé !
A partir du moment où l'on conjugue au "passé composé" le verbe "faire" à la première personne du singulier, cela donne "J'AI fait" et non pas "fait" !
que vous avez écrit "fais"et non sur "j'ai fait" 1ère P du S du verbe faire au passé composé.
Vous êtes d'une mauvaise foi évidente et trouvez toujours des explications oiseuses à vos errements. Je ne vous répondrai plus. On ne peut forcer à boire un âne qui n'a pas soif.
Et Synda Tajine doit être réellement désenchantée de voir qu'on chipote sur quelques erreurs au lieu de commenter sa chronique.
"le verbe faire s'écrit "fait" au participe passé" dites vous !
Non, mon pov' monsieur, vous pêchez là par excès de vanité !
En voulant trop bien faire vous vous fourvoyez lamentablement !
Car à trop vouloir "donner des leçons"(*) vous vous êtes emmêlé(**) les ripatons !
Ma phrase n'était pas "au participe passé", mais (elle aurait dû être) au passé composé comme suit (et ainsi que vous me citez) : j'ai (élégamment) fait preuve. . .
J'avais(***) seulement "commis" une faute de frappe. . . tout comme vous l'aviez fait hier avec votre "oubli" du pluriel, n'est-il pas ?
Sauf qu'en l'occurrence, vous avez ajouté le suraccident à la cagade !
Je ne sais si vous méritez que je vous resserve "l'erreur est humaine, persévérer est diabolique" ? Qu'en dites-vous ?
Stop ou encore ?
Alors à la prochaine !
Maxula.
(*) A d'autres peut-être. . .
(**) Au passé composé et non pas au participe passé !
(***) A l'imparfait !
"Mes écrits et chochotements" :Ah! qu'en termes élégants ces choses là sont dites! Je vois que vous avez des lettres et des références littéraires et que vous les étalez complaisamment aux yeux des manants ignares que nous sommes. Et donc si mes écrits vous insupportent, faites-le moi savoir avec un peu d'humilité et de finesse d'esprit si vous en êtes capable
Alice voyait des lapins partout. . .
Tout comme les racistes indécrottables voient partout des "primates mâles et d'une culture qui [..] avilit et [..] nie"
En plus de "généraliser" les cas auxquels ils sont confrontés, le principal défaut chez "les êtres supérieurs" c'est qu'ils sont prompts à accuser les autres de leurs propres turpitudes !
Maxula.
Moi non plus. . .sinon prouvez-le ?
"J'ai eu l'élégance de ne pas les lui faire remarquer."
Je ne vous dis pas non plus combien de fois j'ai, aussi "élégamment", fais preuve de magnanimité à la lecture de vos "écrits et chochotements". . .
"Vu ses nombreuses interventions au sujet de mots mal employés ou mal orthographiés"
Je ne savais pas que vous étiez autant tourmenté sinon contrarié par mes "nombreuses interventions", autrement je me serais abstenu de remuer le couteau dans la plaie. . .
Mais si cela vous démange de "rompre des lances" à l'occasion, chiche !
"Sans rancune". . .mais qui parle de rancune ici ?
En tout cas, vous aurez remarqué que je me suis "élégamment" adressé à vous "directement" et non pas comme vous l'avez fait sur le mode "impersonnel" ?
Maxula.
Liberté de penser, de s'habiller, de sortir, de boire des cafés aux terrasses, égalité, respect, libre arbitre...
Vous seriez surpris de découvrir comme elles sont nombreuses dans son cas, à refuser d'être esclaves de primates mâles et d'une culture qui les avilit et les nie!
Mais je vous laisserai le dernier mot, je ne ne veux polluer davantage un sujet intéressant par une discussion dépourvue de tout intérêt!
Mais moi, je ne prétends pas être champion du monde d'orthographe comme un certain Maxula pour ne pas le nommer. Alors que j'ai pu constater que dans ses commentaires caustiques, voire sarcastiques, se glissaient parfois des erreurs. J'ai eu l'élégance de ne pas les lui faire remarquer.
Vu ses nombreuses interventions au sujet de mots mal employés ou mal orthographiés, je n'ai pu m'empêcher de lui faire cette remarque au sujet du verbe "se maquer". C'est comme l'histoire de l'arroseur arrosé. Sans rancune.
C'est toujours ainsi. . .
Quand on veut en remontrer à "monsieur je sais tout"(*). . .on devrait d'abord donner le bon exemple en veillant à respecter l'accord du pluriel !
Quand j'ajoute une lettre qui n'a pas lieu d'être. . .vous, vous en soustrayez. . .
Un compliment prêté pour un rendu !
Maxula.
(*) La graphie admise de l'expression est "Monsieur Je-sais-tout"
Pas du tout envie de finir comme vous !!!
Mdrrr
Attendez. . . laïque. . .laïque. . .
Zut ! ça me dit pourtant qqc. . .
Ce ne serait pas comme "le hic", par hasard ? C'est ça ?
Et puis ça se prononce presque pareil, hein ?
Allez ! va pour le hic, et qu'on n'en parle plus !
Mais "le hic" c'est que certains (et certaines) se font passer pour le hic, zut ! pour laïques voulais-je dire, rien que pour manger à leur faim confortablement assis à table, prendre un bain dans une vraie baignoire, dormir au chaud dans un vrai lit, avoir un passeport qui permet de voyager autant qu'on veut, etc.
Oui, pourquoi pas ?
C'est naturel de rechercher le confort. . .
Maxula.
Cet appelé tabac sous nimporte quel conditionnement, sera un jour ou l'autre interprété, par les générations futures, et à leur étonnement, comme un geste mimique en de signe de sous développement ou de vouloir essayer de comprendre davantage d'autres langages.
Toutefois, ils n'arrivaient pas à comprendre porquoi des hominidés puissent aspiraient la fumée d'un petit " bout de bois" et a des quantites dépassant les quatre paquets de cigarettes par jour; même si les informations à ce sujet seraient réduites .
Cependant, leur étonnement serait plus grand, voire risible, lorsquils sauront qu'à l'époque de Louis XIV ou de l'empire Ottoman qu'il figurait dans les protocoles d'accueil des notables.
N'est-ce pas en fin de compte le tabac qui est la cause de toutes les guerres civiles, tous les conflits humains ?
Mais, comme par hasard, jamais entre les animaux ; sauf celle propre à la nature divine à savoir la conformité de la chaine alimentaire.
Et pourtant, l'homme a appris que l'alimentation est sacrée que des règles et des médecines ont été instaurées , tel que la prière avant de manger (dans toutes les religions), des consignes de ne pas parler à table, ou assis en bouddha, de respecter l'hygiène avant de manger, pour se debarrasser des microbes exogènes, et même après les repas.
Lors de la course à pieds, et après un apprentissage approprié, un long dialogue s'engage entre le corps et l'esprit synonyme d'une leçon de vie, afin qu'ils se respectent mutuellement et que chacun de son côté se mette au service de l'autre par une compréhension et une entraide spontanée, instinctive et raisonnable, pour que ni l'un ni l'autre ne ressente une exagération ou un excès, sauf de l'existence d'une complémentarité capable de vaincre les influences psychiques.
En conclusion, et après la marche, ou la marche et course à pieds par intermittence, le bien-être est acquis d'office et arrêter de fumer devient un objectif sans que la nicotine ne dérange les neurones, et puis les améliorations progressives des performances deviennent le point de mire selon un planning respecté à la lettre.
«Gai, gai, marions-nous!
Mettons -nous donc en ménage.
Gai, gai marions-nous!
Mettons-nous la corde au cou».
Une jolie chanson pour les enfants petits et grands.
Nostalgie quand tu nous tiens, voilà à quoi me fait penser la belle chronique de Synda Tajine. Avant la guerre 1914-18, on parlait aussi de la Belle '?poque en France suite à 40 ans de paix relative.
On pensait que c'était la der des ders mais rebelote en 1939-45. Depuis, de nombreux conflits ont éclaté un peu partout mais pas de guerre mondiale qui serait un suicide collectif.
Oui, il y a cette pandémie du coronavirus mais ce n'est pas la première, ni certainement la dernière. La fameuse grippe espagnole a fait 50 millions de morts en 1918, pour ajouter aux malheurs de la guerre.
Alors regardons le verre à moitié plein comme les optimistes et non à moitié vide
avec ceux qui pensent que notre monde court à sa perte.
Car il y a des tas de raison d'espérer ne serait- ce que la réaction rapide, quoique un peu tardive, de tous les Etats face à cette épidémie.
Ma muse est profondément laïque et à l'aise dans un pays laïque.
Clairement, sa religion, je m'en fous! Et mon absence de religion, elle s'en fout.
Ca vous en bouche un coin, hein?
PS: Je vous laisse chercher le sens du mot "laïque", je suis certain que vous l'ignorez.
Une muz pour faire mumuse avec un athée ?
Qu'à dieu ne plaise !
L'athée préfère sa muse. . .
Maxula.
Bon confinement... :-)
Autrement rassurez vous, ma maquée et moi sommes très bien ensemble, 3 semaines de confinement et pas une engueulade! Mettez vous à sa place, ils ont failli la marier de force avec un comme vous...elle l'a échappé belle!
N'ont qu'à faire comme "leur fille", se macquer avec un(e) roumi(a) pour s'en sortir et "sortir" de la catégorie des "crève-la-faim". . .et profiter tant que "l'autre" aura l'oeil collé à la petite lorgnette, le nez toujours dans les étoiles !
Mais j'attends toujours de savoir ce qu'est ce "quart du pays" qui serait désenchanté. . .alors qu'on ne nous donne à voir que 3 catégories ?
Serait-ce l'effet du "nez dans les étoiles" ?
Maxula.
(*) "le désenchantement d'un quart d'un pays"
Ceux qui n'ont pas voté, ne se respectent pas, parce qu'ayant bafoué leur droit.
A ceux-là - les "sans conscience" - je les méprise plus que les "barbus" et autres "vêtues de chiffons", qui eux, au moins, ont eus la présence d'esprit d'aller voter et de ne pas être rester statiques et inertes comme des troncs d'arbres morts !
...
Pour ce qui est du second point et des "croyances" et tout le baratin qui s'en suit, il faut être sacrément bien naif pour croire en ces sornettes ; ces histoires séculaires à dormir debout.
Bref, qu'allah les protège du corona, remplisse leur frigos et leur donne la plus belle vie (qu'ils sont en train de vivre) tels que les protagonistes de "Germinal" d'Emile Zola ou ceux des "misérables" de Victor Hugo ; bref, ils se la coulent douce "dans leur bonheur".
Qu'ils y restent ..... tandis que d'autres avancent dans les sciences et les technologies, eux, restent coincés dans ces bobards d'un autre âge.
Mais au moins, eux, se sont bougés le "Q" pour aller exprimer leur droit de vote !
Les acculturés un peu paumés. . .
N'en faites-vous pas un peu partie ?
De ceux qui comme vous dites, à "force de singer leurs modèles ils sont devenus des êtres hors sol dans leur propre pays." ?
Car, on ne décrit bien les autres qu'à travers soi-même !
Maxula.
1. Ceux qui n'ont pas voté.
Ceux là, quoi qu'il arrive, n'ont que le droit de subir en silence.
2. Ceux qui ont voté pour les islamistes.
Ceux là, quoi qu'il arrive, doivent se rejouir: tout est la volonté de Dieu.
Je pense à cette partie de ma belle famille qui "vote pour dieu", et ne cesse de geindre qu'ils sont malades et sans soins, qu'ils ont faim et froid mais pas d'argent, qu'ils voudraient travailler (?!) mais ne cherchent pas de travail. Ils attendent, qu'Allah remplisse leur frigo en panne!
Silence, taisez vous, vous avez ce que vous méritez.
3. Les autres.
La petite minorité moderne, les désenchantés.
Comme ce fut de formidables années, les '60 / '80 ... nostalgie, oui, des (vraies) discothèque - à l'époque où l'on s'y rendait pour y danser disco rock ... et slows mémorables. De nos jours, on s'y shoote et sâoule !
...
Mais ces années '60 / '80 furent aussi la période où le Tunisien n'avait pas besoin de visa pour se rendre en Suisse, parce qu'ayant une très bonne image, réputation.
...
On nous réclamait pour de multiples travaux divers, des vendanges de raisins, à travaux manufacturiés ou privés, nous étions recherchés, demandés. Polis, disciplinés, francs et sincères, nous y aprîmes les sens des affaires, du commerce, du travail ardu et bien fait, sans râler, rechigner, se plaindre à ces ******** de syndicalistes de *****, parce que ce ne sont que des ****** de freins au rendement, à la productivité des entreprises, toutes !
...
Oui, les choses on beaucoup changé eu un demi siècle.
Mais, voyez-vous, Madame Synda, à votre place je ne m'en ferais pas autant de mauvais sang, d'impatience, pour ce qui est de la période post 2011 :
...
Dans toutes les Nations, madame, toutes ayant connu dans le passé des soulèvements populaires similaires, les choses ne se sont jamais arrangées, calmées, organisées, pris leur place, du jour au lendemain.
Le croire, serait utopique.
Je le disais dès 2011, à mes anciens camarades :
C'est une excellente chose, pour la liberté d'expression, la liberté de la presse, les libertés individuelles, cela mènera à un état de droit, mais le peuple devra savoir se montrer patient.
Cela prend des décennies pour entièrement réformer un système, le façonner, le modeler, l'affiner à la guise de nouvelles lois votées et d'autres supprimées ou remplacées.
Des essayages mutiples, recherches de combinaisons légales et / ou politiques se feront au fil des gouvernements qui suivront, jusqu'à ce qu'un système satisfaisant à peu près tout le monde, sera trouvé.
...
En France, par exemple, cela à pris 80 ans du moment de la révolution Française, à l'avènement d'un système accepté par la majorité de la population.
Je sais c'est beaucoup, mais il ne faut pas s'en faire, nous le faisons pour les générations de demain, pour la Tunisie, notre Nation et Mère Patrie.
...
Croyez-vous que ceux qui ont lutté avant nous pour l'indépendance en aient vu les fruits ?
Non.
La plupart sont tombés au combat ... pour nous !
Pour que nous autres, puissions naîtres, grandir et vivre dans une Nation LIBRE et non et tant que peuple opprimé et soumis
...
Ne nous montrons pas égoïstes ; sachons, nous aussi oeuvrer pour améliorer d'avantage la situation.
IL est par exemple urgent d'intruire correctement l'ensemble de notre population ; L'ENSEMBLE !
...
C'est la base de toute Nation civilisée :
L'éducation.
Lorsque vous voyez des personnes âgées - qui qu'elles soient - ne sachant même pas s'exprimer correctement dans leur langue natale, ne les ignorez pas ; ne les négligez pas ; ne les repoussez pas.
Dites vous juste que ce sont des défavorisés ; des oubliés des anciens systèmes et que s'ils sont ainsi aujourd'hui, ce n'est certe pas (forcément) de leur faute :
C'est parce que il y a eu des erreurs comises dans le passé.
...
Innutile, aujourd'hui, de recommencer ces interminables parties de ping pong, en se renvoyant sans cesse la responsabilité.
...
Vous pouvez tout ôter à un être humain ... sauf ...
sa dignité.
Pour cela, il est impératif que les structures d'accès aux soins - TOUTES - soint rénovées, équipées et que leur nombre augmenté.
...
Les faits sont là ... et il faut agir ... tous ensembles, unis !
Plutôt "prolifique" que "prolixe". . . qui signifie "bavard, verbeux, diffus"(sic).
"des trentenaires ou quarantenaires"
Plutôt "quadragénaires"(*)...car les quarantenaires sont ceux qui subissent la "quarantaine" sanitaire. . .si ce n'est un évènement quarantenaire (comme "centenaire").
Quant au supposé "désenchantement" des "trentenaires-quadragénaires". . .ceux-là en parleront "à bon escient" quand ils seront sexagénaires ou même septuagénaires et se retourneront sur le leur parcours pour en juger. . .
K. Cobain, qui n'a au fond réussi que son suicide. . .ne fut ni l'égal de Jimmy Hendrix ni celui de Jim Morrison, ni même de Janis Joplin, qui ne voulaient pas spécialement se suicider, eux !
Maxula.
(*) On dit même "un quadra", "des quadras" pour abréger !
Alors je voudrais au moins vous dire que si nous étions tous comme vous, le paradis serait sur Terre.
Nous sommes de bien étranges animaux, qui avons besoin de donner un sens à notre vie personnelle. La seule espèce à se poser de telles questions!
J'ai fini par me dire que j'étais bien prétentieux à vouloir que ma vie individuelle avait éventuellement un sens.
Je me suis débarrassé de ce fardeau par l'astronomie contemplative, les nuits sous les étoiles, la perception à la fois métaphysique et charnelle de faire partie d'un grand Tout VIVANT. La vie qui tombe des étoiles; au petit matin je suis éreinté mais lavé, heureux. C'est le sens que les Bouddhistes donnent à la vie: nous devons tout faire pour être heureux, afin de donner du bonheur autour de nous, et ceci dans le plus grand respect de la création.
D'autres ont besoin d'une religion, d'un livre à suivre sans se poser ce genre de question. C'est rassurant, respectable. Mais beaucoup usent de cette quête comme d'un moyen pour assouvir ce que vous fuyez.
D'autres cherchent une réponse personnelle dans un art...
Vous, vous faites de votre mieux, en être humain profondément responsable. Vous êtes sur votre chemin, et il est beau, parce que vous ne trichez pas avec vous-même... "Ce n'est pas le but qui compte, c'est le chemin".
Kurt Cobain n'avait pas compris qu'on avait besoin de lui. Cela l'aurait peut être sauvé du vide.
Je me permets de vous le redire: si nous étions tous comme vous, le paradis serait sur Terre. Nous avons besoin de vous...
Ecrit par A4 - Tunis, le 04 Avril 2020
Que vais-je faire de ce dimanche ?
C'est le septième de la semaine
Dois-je rester dans ma chambre étanche
Et prolonger ma quarantaine ?
Ou sortir, retrousser mes manches
Et profiter de cette aubaine ?
Profiter de ces places vides
De ces avenues sans voitures
De cette circulation fluide
Pour aller loin à l'aventure
Me balader, faire le caïd
Et m'évader dans la nature
C'est décidé, je vais sortir
Me promener dans les ruelles
Voir si les trains peuvent repartir
Après cette halte irréelle
Si les oiseaux des champs de tir
Savent encore déployer leurs ailes
Je vais sortir coûte que coûte
Voir si les rues sont accueillantes
Vérifier que le long des routes
Les images sont toujours fuyantes
Et que les eaux goutte après goutte
Ne peuvent pas remonter la pente
Je sors voir la voûte céleste
Vérifier le temps et l'espace
Voir après cette cure indigeste
S'il y a danger, s'il y a menace
Si le soleil se lève à l'Est
Si le ciel est encore en place
Mais je ne sais pour quelle raison
Dès que j'ai mis le nez dehors
Tous les voisins, de leurs maisons
Des sommets de leurs miradors
Ont crié à la trahison
En me traitant de vieux condor
Ils m'ont jeté des noms d'oiseaux
Me repoussant à l'intérieur
En hurlant derrière leurs museaux
"Rentre vite, fais pas de malheur !
Rentre, covid est à l'assaut
Il rode là depuis bien des heures !!!"
Me voilà perdu, comme parfois
Suis-je en Avril ou en Janvier ?
A me demander, l'air narquois
Pourquoi covid nous vient défier ?
Et à écrire n'importe quoi
En pianotant sur mon clavier ...