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Observatoire de la Fondation Chokri Belaid : La campagne présidentielle a été plus violente que la législative
La Fondation Chokri Belaid a présenté, samedi 22 novembre 2014, les résultats provisoires de l’observation de la violence politique pendant la campagne électorale. Ainsi, depuis le lancement de l’observatoire de la violence, jusqu’au 20 novembre 2014, soit au bout de 80 jours d’observation, l’organisation a recensé 2648 cas de violences politiques, durant la campagne législative et présidentielle.
On apprend que les actes de violence ont diminué de volume, mais augmentés en intensité au cours de la campagne présidentielle par rapport à celle des législatives, ceci s’explique par la multiplication des agressions verbales et l’entrave des activités politiques. Le rapport note que bien que les actes de violence soient essentiellement verbaux, les actes graves et très graves représentent ensemble plus de 54% des cas enregistrés.
Les antagonismes constatés entre les candidats, notamment ceux relevant de pôles idéo-politiques nettement opposés, expliquent l’intensité des actes de violence. Le résultat étant que la campagne présidentielle a été plus violente que la législative. La Fondation Chokri Belaid souligne que tout au long de cette campagne, les Tunisiens ont eu droit à un langage de haine et de vindicte, qui aurait pu être évité, si certains candidats avaient adopté une attitude plus responsable. Il est également indiqué que les auteurs des actes de violence sont essentiellement des membres de milices par-politiques (48,1%) et des partis politiques (42,2%). Ceux-ci demeurent en grande majorité dans l’impunité (80% des cas).
On apprend que les actes de violence ont diminué de volume, mais augmentés en intensité au cours de la campagne présidentielle par rapport à celle des législatives, ceci s’explique par la multiplication des agressions verbales et l’entrave des activités politiques. Le rapport note que bien que les actes de violence soient essentiellement verbaux, les actes graves et très graves représentent ensemble plus de 54% des cas enregistrés.
Les antagonismes constatés entre les candidats, notamment ceux relevant de pôles idéo-politiques nettement opposés, expliquent l’intensité des actes de violence. Le résultat étant que la campagne présidentielle a été plus violente que la législative. La Fondation Chokri Belaid souligne que tout au long de cette campagne, les Tunisiens ont eu droit à un langage de haine et de vindicte, qui aurait pu être évité, si certains candidats avaient adopté une attitude plus responsable. Il est également indiqué que les auteurs des actes de violence sont essentiellement des membres de milices par-politiques (48,1%) et des partis politiques (42,2%). Ceux-ci demeurent en grande majorité dans l’impunité (80% des cas).
Ikhlas Latif
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