A l’occasion du 39e anniversaire de son parti Ennahdha, Samir Dilou a appelé à l’ouverture.
« 6 juin 1981/ 6 juin 2020, pour être fidèle à ceux qui se sont sacrifiés, il faut construire ce qu’il se sont sacrifiés en consolidant la démocratie intérieure, la gouvernance et l’autonomisation des jeunes et de la femme. Que le rêve reste vivant chaque année », a-t-il écrit sur sa page Facebook le 6 juin 2020.
Ennahdha est officiellement né le 6 juin 1981 sous l’appellation Mouvement de la tendance islamique.
D’obédience islamique et très proche des Frères musulmans, le parti n’a été légalisé qu’après la chute du régime Ben Ali en 2011 et avec le retour de son leader Rached Ghannouchi de son exil au Royaume-Uni. Celui-ci est, rappelons-le, président du mouvement depuis 1991.
Le parti a remporté les élections de l’Assemblée nationale constituante (ANC) en 2011 avec 89 sièges.
Pour les législatives de 2014 et 2019, le parti a raflé respectivement, 69 et 52 sièges à l'Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Son chef, Rached Ghannouchi, est actuellement président du Parlement.
N.J.
Mon ami, dans les vraies démocraties, les partis politiques ne pourront travailler suivant la direction du doigt de leur président. Tous les partis politiques de la nouvelle Tunisie, où leurs présidents jouent aux propriétaires-dictateurs de «leur» parti, se trouvent maintenant en ruines. Il est inutile de te les nommer, parce qu'ils sont presque tous concernés. Tu vas voir comment Miss Piggy Abir Moussi, va se retrouver seule dans un cimetière politique, où il n'y aura plus de spectateurs pour son théâtre de malhonnêteté et d'intrigues contre notre démocratie. Elle va finir avec Mohsen Marzouk derrière les barreaux de la Justice militaire, et personne ne voudra plus prétendre lui appartenir. Pense au théâtre médiatique de Chafik Jarraya, et ce qui en est devenu de lui. Regarde dans mes écritures même dans ce forum de BN, ce que j'ai prédit pour le putschiste Hafter de Libye, et regarde qui en voudrait lui appartenir à présent. Donc, les mathématiques politiques sont simples à résoudre. L'honnêteté, de l'honnêteté et encore plus d'honnêteté, pour réussir dans la politique. Ce mensonge de devoir être malhonnête et malin comme les Talmudiques, pour réussir dans la politique, ne vaut plus un seul sou troué dans ce nouveau monde de l'informatique, de l'Internet, du Facebook et de cette incroyable rapidité de l'information, qui a transformé le globe terrestre en un petit village et toute la Tunisie, en une chambre d'amis dans le domicile de chacun d'entre nous.
Il n'y aura plus de place en Tunisie pour les dictateurs. Notre régime parlementaire le confirme à 100%. Le défunt président de la République Béji Caïd Essebsi, l'a essayé à la tête de la République, comme à la tête de son parti Nidaa Tounes. Il eut les trois présidences de notre régime parlementaire entre ses mains et entre ses décisions. Il a échoué de s'imposer dictatorialement, d'un côté comme de l'autre. Il n'a échappé à sa destitution, qu'en s'étant rétréci dans son volume réel, jusqu'à son départ pour l'Au-delà. Et c'est exactement ce qui se passe avec Rached Ghannouchi à la tête d'Ennahdha comme à la tête de l'ARP. Tant que Rached Ghannouchi jouit d'une honnêteté inébranlable, de l'intérieur comme de l'extérieur de son parti d'Ennahdha et de l'intérieur comme de l'extérieur de la Tunisie, il ne pourra y être écarté, parce que ça sera une grande perte pour le parti d'Ennahdha. On ne jette jamais un morceau d'or pur, même s'il est âgé de plus d'un siècle.
Je suis aussi de l'avis de ne jamais changer Rached Ghannouchi, ni à la tête du parti d'Ennahdha, ni à la tête de l'ARP, afin de sauvegarder des principes primordiaux et essentiels pour la survie de notre démocratie. Une vraie démocratie qui n'exige des changements, que par le biais des urnes d'élections démocratiques. Non pas par le sabotage, par l'encerclement du parlement, par des manifestations partiales et payées par les perdants des élections eux-mêmes et par les intrigues des ennemis de la démocratie, soutenus par les ennemis de notre Révolution tunisienne de l'étranger comme des Azlèms des anciens régimes déchus. Des ennemis de la démocratie qui perdent aux élections législatives, présidentielles et municipales, puis nous reviennent quelques mois après, pour imposer par des sit-in et par des manipulations médiatiques, ce qu'ils n'ont pas réussi par les élections légales et périodiques. Celui qui les aide à réaliser ce crime contre notre démocratie, ne pourra penser que les autres ne feront pas la même chose, une fois qu'ils perdent dans des élections imposées par les sabotages et les intrigues.
Il n'y a, ni qu'il n'y aura meilleure solution que de travailler pour convaincre le peuple tunisien par ses programmes et par son travail, à l'élire aux prochaines élections de 2024. Une autre solution n'existe pas et ne pourra jamais exister dans le cadre de la légalité constitutionnelle de la Tunisie.
Et je finis, par t'inviter à ne jamais oublier ma présente prédiction. Aux prochaines élections, jamais Miss Piggy Abir Moussi ne sera réélu aux législatives. Jamais, jamais et encore mille fois jamais. Ne te laisse pas manipuler par les médias et par les «allo, allo» de sigma ou de guedma conseil. La vérité se trouve parmi nous de bouche à oreille tunisiens.
Respectueusement et cordialement.
Bonne soirée.
Ennahdha - comme les autres partis - doit se renouveler, integrer des forces plus ouvertes et laisser la chance à la nouvelle génération de guider la Tunisie.
La Tunisie a besoin d'un renouvellement radical de la classe politique.
Leurs cerveaux sont en rouille.
Des vendeurs de kakis.
Ces lâches de mes ***.
Seule leur jalousie haineuse contre notre religion musulmane, les aveugle et les pousse à s'attaquer à ce parti d'Ennahdha, qui s'avère plus laïc que les Communistes de Mongi Rahoui et de Hamma Hammami, eux-mêmes.
Les politiciens d'Ennahdha travaillent, créent et innovent, sans jamais s'attaquer à leurs adversaires politiques, alors que de l'autre côté, leurs adversaires se transforment en ennemis qui ne travaillent pas, ni qu'ils ne créent ou qu'ils n'innovent. Ils ne font que lyncher le parti d'Ennahdha et son président Rached Ghannouchi, par toutes les bassesses talmudiques étrangères à la mentalité et à la culture des Tunisiens. Une débilité qui les a balayés tous ensemble de la scène démocratique de la Tunisie.
Ils sont encore nostalgiques à leurs vieux temps sous les deux régimes déchus de Bourguiba et de Ben Ali, au parti politique unique, aux élections truquées et aux applaudissements imposés. Mais néanmoins, nous leur disons un grand et un gigantesque DOUILLIOU !!!
Mais contrairement au doliprane qui enlève les maux de tête, le dilou-prane en donne !!!
Depuis hier matin, le pays avec ses têtes ont pris une tournure TELLEMENT BORDELIQUE : Chacun pour soi et dieu avec le gagnant.
Ce que vous verrai à partir de Lundi sur le plan du BORDELISME sera historique.
Un président qui découvre qu'il est dans la ligne de mire de plusieurs, or la 1ère chose qu'il fait : Une prière à la Mosquée HAMZA au Kram (Le message est clair, il n'a qu'à dire qui veut l'assassiner), un CDG qui fait de la Kasbah et filiales un labo d'expérimentations 21 crédits et 15 dons depuis son arrivée, au point qu'on a 141 jours de réserves (Issues du montant colossale des crédits et non de l'investissement), au gouvernement TOUT est FAUX, et un président d'ARP, qui n'accepte ni ses 80 ans, ni sa maladie de Parkinson, et veut être 'Président' par vengeance à sa tribu 'Beni Walid' (Beaucoup ne connaissent pas l'histoire, en 1968 Ghannouchi s'est opposé à Bourguiba à cause de sa tribu, l'slam c'était juste une 'Djallaba' et un 'Chech', pour avoir l'argent des britanniques ...)
Ajoutant à tout cela, 219 partis sans principes, des députés à la solde de l'étranger, des PDG et des DG employés par les partis, une UGTT et une UTICA qui font de la politique ... Une justice divisée entre croyants et mécréants, même chose pour la Police. Je n'exagère point, c'est une réalité amère que vous découvrirez encore la semaine prochaine.
Un pays devenu UN GRAND BORDEL et bientôt il y aura l'enfer que vous le veuille ou non.
Bien à vous.
Comment osez-vous parler d'ouverture quand la Turquie vous a transformé en simple outils pour lui permettre des prises dans le sud de la méditerranée à la recherche du pétrole et du gaz et des bases stratégiques pour dominer la zone.
Rendez-vous compte que vous n'êtes que des mercenaires pour l'expansionnisme d'Erdogan?
Comment osez-vous parler d'ouverture quand vous semez le chaos entre les institutions de votre propre pays.
Khriji, président du parlement, qui devrait se comporter de manière neutre et servir l'institution qu'il préside, s'est comporté comme un vulgaire Frère musulman qui a tout simplement mis à la poubelle une correspondance qui lui a été adressée par le président du parlement libyen ? Et pourquoi ? Parce que Khriji l'islamisme veut occulter la réalité et se comporte comme si le parlement était son domaine privé. C'est une raison de plus de redemander la DESTITUTION de Khriji qui sert l'islamisme international au lieu de servir l'institution parlementaire.
Bien à vous
Tu n'as pas honte Dilou de parler des soi-disant ceux qui « se sont sacrifiés en consolidant la démocratie intérieure, la gouvernance et l'autonomisation des jeunes et de la femme » !! Tu n'as pas honte de parler de démocratie intérieure alors que ton chef se comporte comme un dictateur au parlement !
N'as-tu pas honte de parler de « gouvernance » alors que toi et les autres Frères musulmans en Tunisie, vous avez pillé les richesses, vous vous êtes enrichis en réduisant le peuple à la misère ?
N'as-tu pas honte de parler de l'autonomie des femmes alors que l'islamisme rime avec asservissement des femmes ?
Décidément, tu es un grossier personnage. Et dire que tu as été ministre des droits de l'homme ? Quelle honte ? Les islamistes là où ils gouvernent ont bafoué les droits de l'homme. Regardez la dictature du Frère musulmans en Turquie Erdogan ?
Honte à toi Dilou.
1/Pourquoi ils ont dissimulés une correspondance OFFICIELLE, de la part du parlement Libyen de 'Tobrouk" en Janvier, pour une demande de réunion avec une commission parlementaire Tunisienne existante.
2/Pourquoi la commission n'a pas été informée ?
3/Pourquoi cette correspondance OFFICIELLE, n'a aucune trace, même au bureau d'ordre de l'ARP ?
Ils ont TOUS criés qu'ils ont des victimes de campagnes de dénigrements, de fausses informations...
Cette fois-ci, tu dois quitter l'ARP avec ton cabinet, avec des coups de pieds.
Est-ce que l'ARP est la maison de Jed Waldikom ?
@ Samir Diluant : Le mot que tu as utilisé "ATTAMKINE" est un propos purement "Fréros", pour que les gens comprennent voilà ce que veut dire ("ATTAMKINE" pour les jeunes ya avocat Elhena) :
https://www.tunisiefocus.com/politique/le-khouamji-dilou-sexhibe-en-criminel-de-guerre-233774/
Ecrit par A4 - Tunis, le 05 Novembre 2017
La pieuvre noire est moribonde
Elle n'en a plus du tout pour longtemps
Elle est gluante, nauséabonde
Comme l'eau fétide d'un étang
Elle est obligée pour survivre
De s'amputer quelques tentacules
De jeter au feu tous ses livres
Et mettre à l'heure ses vieilles pendules
Mais ses horloges usées sont rouillées
Bloquées dans des époques anciennes
Et rien ne sert de les chatouiller
Il n'y a plus d'aiguilles qui tiennent
Elle suffoque dans son marécage
Et ça fait longtemps qu'il n'a pas plu
Qu'il n'y a plus perles ni coquillages
Que les eaux du golfe n'arrivent plus
De temps à autre elle rejette un doigt
Le plus malade ou le plus pourri
Cela n'empêche qu'elle est aux abois
Les yeux tristes et la peau flétrie
Elle est même rejetée par les siens
Par ses amis et ses grands maîtres
Elle n'a plus presque aucun soutien
Pour la sortir de son mal-être
Vous la voyez étalée à terre
Répugnante comme un vieux torchon
Faisant en cachette des prières
Pour invoquer diables et démons
Son mal incurable la dévore
Va la jeter un jour dans le trou
Avec ses doigts assassins, ses cors
Et sa sale tête de gourou