Le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh, s’est réuni, dans la soirée de vendredi 5 juin 2020 avec des représentants des organisations de jeunesses de la société civile et des jeunes actifs dans divers domaines (l’administration, la médecine, l’ingénierie, développement d'applications, les jeux électroniques et les blogs sur les réseaux sociaux).
Elyes Fakhfakh vise, à travers cette réunion, à écouter et à interagir avec les propositions des jeunes dans plusieurs domaines, en particulier leur vision de la Tunisie postrévolutionnaire, selon un communiqué de la présidence du gouvernement. La rencontre a été l'occasion d'échanger les idées et les opinions pour voir comment bénéficier de leurs énergies et les solutions qu'ils proposent aux problèmes brûlants des jeunes, tels que l'abandon scolaire précoce et l’adaptation entre le marché du travail et la formation que ces jeunes reçoit.
Le chef du gouvernement a également souligné l'importance de cette rencontre avec les jeunes tunisiens pour soutenir les efforts fournis dans le domaine de la numérisation, s'appuyer sur les points positifs enregistrés durant la crise de Covid-19 et relever le défi de la maîtrise de l'épidémie à travers des initiatives numériques développées par des jeunes avec la contribution de l'administration.
Elyes Fakhfakh a, dans ce sens, souligné le rôle fondamental que joue cette catégorie dans la phase de l’après Covid-19 en enrichissant le débat et en proposant des perceptions sur des questions brûlantes telles que le plan de relance économique, la contribution à l'élaboration du plan quinquennal 2020-2025, la modification du processus de développement et l’instauration de la décentralisation et la bonne gouvernance.
Il convient de rappeler que cette réunion a suscité la polémique sur les réseaux sociaux. Les internautes tunisiens ont, en effet, tourné en dérision la rencontre du chef du gouvernement avec des « instagrameuses » ou « influenceuses » jugées souvent frivoles.
I.M
Et pourquoi pas jouer aux billes !
La crise tunisienne est une crise essentiellement morale. Le reste viendra après. Ceux qui se remplissent les poches emmerdent tout le monde. Essayons de s'approcher plutôt de la ménagère qui ne peut pas se permettre un kg de tomates à 2,5 d. Ou du cadre moyen qui n'arrive plus à épargner. Ce sont ces gens-là qui ont envie de retrouver l'espoir.
D'où une politique des revenus qui s'avère plus que jamais indispensable.
Les exportations des produits alimentaires devraient être limitées aux surplus. A quoi bon " affamer " les petites gens et engraisser les gros lards. D'où la réforme agraire qui s'attachera à satisfaire au maximum la demande locale.
Trouvons les moyens de limiter les effets pervers de ce " soft colonialisme" qui aggrave les inégalités et prépare à plus ou moins longue échéance, des turbulences chaotiques. Insidieusement
Une idée satanique.
Et c'est qui seront responsables par la combine ? c'est :
" le peuple veut".
Bien sûr le tout est basé sur une partie d'une région favorite de ghanouchi depuis 2011; dailleurs il a tenu compre de SON droit ( ou de son habituel véto) de gérer les relations libyennes pour son intérêt personnel et son populisme favorable aylux élections.
Pour lui son seul souci et son seul point de mire c'est les elections pour que nahdha mette main basse sur tout en tunisie;
c'est plus qu'un Etat parallèle il est l'Etat lui-même pour le grand bonheur de l'Etat islamique tant convoité par les traitres et les nouveaux colonisateurs.
Et les influences destinées au peuple tunisien émanent de partout surtout que l'ARP est sous son égide et sous son contrôle.
Billehi ya Raiesss Houkouma, inti Sraft Sraft, et comme cela concerne 'LES JEUNES', vous avez oublié quelques uns, à savoir :
-Les jeunes Battala diplômé (es) des régions défavorisées qui n'ont pas Internet.
-Les jeunes Battala sans aucun niveau, qui consomment chaque jour, tous types de drogues.
-Les jeunes sans avenir de : Cité Boumya, Ettadhamen, Guerrich, Jayara, cité Ennammous, cité Chitla, cité Ouled El Hifyana, cité Ezzogm, cité Bousalsla, cité des Frechich ... Il y a 79 cités juste sur le grand Tunis.
-Vous avez oublié aussi les blogueurs et les blogueuses de 2011, ceux de Youtube, qui ont pris le risque de faire la large diffusion des photos à la Photoshop, et de les envoyer à la chaine Aljazeera, par le biais de leurs cellulaires fournis par l'ambassade Qatari en Tunisie, leur avis est important en ces temps.
Youtub 2011, Facebook 2016, Instagram 2020... A quand le passage à Tweeter ?
Vous méritez AMPLEMENT le nom de Gouvernement Zuck-erberk (Et ilfom El Harek)
Soyez positifs svp
fallait rencontrer des hommes d'affaires et surtout ceux traversants de divers diffecultees ,cette réunion seras auxiliaire et stimulateur de notre économie..............
Il serait également judicieux de faire appel et d'écouter les personnes qui ont de l'expérience et du savoir-faire dans la vie économique et professionnelle en ayant exercé durant des années ( quand le chef du gouvernement était encore jeune) dans le pays. Eux aussi doivent être écoutés car ils peuvent contribuer et aider les dirigeants et les politiciens qui viennent de débarquer sur la scène économique surtout qui ne connaissent pas les forces et les faiblesses du pays et dont toutes les décisions sont politisées et non dans l'intérêt du peuple tunisien.
Un gouvernement vide de toute créativité et dénué d'une stratégie et d'un plan (*) de loignes de conduite qui tiennent compte des potentialités favorables ou des fléaux qui rongent ce pays tunisien, lequel pays est actiuellement ballotté, déboussolé et qui tongue par des roulis et des vagues monstres, et sans être équipé toutefois d'aucun instrument de naviguation, sauf d'attendre d'être stoppé net, du jour au lendemain, par un iceberg indétectable.
(*) A consulter les plans élaborés magistralement pendant les trois décennies qui ont suivi l'indépendance pour que les néophytes à la politique et à l'économie apprennent un peu ; comme Makhlouf ou Zoglami voire Mehrzia.