Le secrétaire général du mouvement Echaâb, Zouheir Maghzaoui, a estimé, lors de son intervention, mercredi 26 janvier 2022, sur Attessia, que l’élite politique du Parlement de 2019 n'a pas réussi à assurer la stabilité politique à la différence du chef de l'État, qui bénéficiait d’une légitimité plus large, ce qui a poussé le mouvement à soutenir le gouvernement du président pour assurer une sorte d'équilibre politique du pays.
Zouheir Maghzaoui a précisé que le gouvernement du président devrait être soutenu par un programme de réforme fort, appelant Kaïs Saïed à évaluer le travail du gouvernement de Najla Bouden cent jours après sa nomination en novembre dernier et notant que depuis le 25 juillet du temps a été perdu ce qui a eu un impact négatif la conjoncture économique.
« Le 25 juillet est une opportunité historique et le président ne peut l’achever seul. Il doit ouvrir le dialogue, assurer son rôle diplomatique, et donner aux enjeux économiques et sociaux une importance primordiale. Sans cela, nous risquons d'aller vers un échec cuisant », a-t-il poursuivi.
Zouheir Maghzaoui a indiqué que les partis démocrates qui ont l'intention d'organiser des consultations pour lancer un dialogue national n'ont pas contacté le mouvement Echaâb et a considéré qu'il n'est pas possible de coordonner avec ces partis car les points de vue sont complètement différents en ce qui concerne les mesures du 25 juillet, qu'ils qualifient de coup d'État, alors qu’Echaâb considère ces mesures comme la fin de la démocratie corrompue.
« Echaâb n’est pas complètement satisfait du parcours d’après 25 juillet, du gouvernement de Najla Bouden. Il devrait y avoir des messages positifs du président et de son gouvernement sur les revendications sociales car il devrait y avoir une voie de réforme… Le gouvernelent Bouden n’envoie que des messages négatifs dont le premier est la loi des Finances de 2022 et la hausse des prix. Notre position est susceptible d'évoluer et nous avons beaucoup de réserves. Le 25 juillet appartient à tout le monde, pas au président, et les forces démocratiques doivent faire pression pour que cette voie devienne une opportunité de réforme », a-t-il conclu.
M.B.Z
Aljazeera est connue par aller chercher l'avis contraire, même dans les Souks. Chose qu'on l'a constatée avec la défunte Lina Ben Mhenni. La pauvre n'a pas compris qu'elle fut sollicitée par Aljazeera, parce qu'il n'y avait aucun Tunisien qui pouvait prétendre être le symbole de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011.
Maintenant que la chaîne qatarie d'Al Jazeera trouve en ces comiques d'Echaâb, les seuls Tunisiens à trahir la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011 en public et en flagrant délit, qu'elle peut commercialiser dans un monde arabe qui ne connaît pas la Tunisie de l'intérieur, ça ne veut pas dire que les médias tunisiens devraient les suivre à l'intérieur du pays aussi, où les Tunisiens s'en mordent les doigts de devoir accepter la trahison des nullards, comme étant un avis à prendre en considération.
Cette manière du Chaouch, qui te dit qu'il va te régler ton affaire avec le PDG, alors qu'il n'a lui-même aucune possibilité de le rencontrer, nous a détruit toute notre mentalité.
Il ne faut pas aider les nullards, à faire davantage de mal au pays et au peuple. Les médias allemands ne donnent jamais la parole aux Communistes.
Que se passe-t-il donc en Tunisie!!!
Allah yostir Tounes.