Le candidat à l’élection présidentielle, Zouhair Maghzaoui a entamé, samedi 14 septembre 2024, sa campagne électorale. Il a choisi le Kef pour point de départ de la campagne.
Dans une publication sur les réseaux sociaux, il a précisé qu’il a effectué une visite dans plusieurs localités de la région, où il est allé à la rencontre des citoyens pour s’enquérir de leurs préoccupations et leur présenter son programme.
Son équipe assure que le candidat compte visiter les autres gouvernorats tout au long de sa campagne.
Cette campagne pour le scrutin du 6 octobre commence dans un climat tendu. L’instance électorale a retenu deux candidats en plus de M. Maghzaoui, le président en exercice, Kaïs Saïed et Ayachi Zammel, qui se trouve actuellement en prison, poursuivi dans plusieurs affaires liées à des soupçons de falsification de parrainages.
Par ailleurs, trois candidats réhabilités par le tribunal administratif ont été rejetés par l’Isie. Deux d’entre eux, Abdellatif El Mekki et Mondher Zenadi, ont déposé un recours et ont reçu un deuxième jugement en leur faveur.
Pour ce qui est de Zouhair Maghzaoui, il avait évoqué des pressions exercées sur les candidats et dénoncé l’incarcération de Ayachi Zammel. Il a aussi appelé le président-candidat à un débat.
C'est la même ruse des Azlèms déchus, qui ont encouragé le parti d'Ennahdha à coopérer avec eux et avec leur "Zmime" Béji Caïd Essebsi en 2014, afin de leur coller toutes les fautes qu'ils ont commises, comme si Rached Ghannouchi et son parti de chèvres et de brebis d'Ennahdha, avaient eux-mêmes gouverné le pays de 2014 à 2019.
Les ruses politiques se préparent par avance de quelques années et ce serpent Zouhair Maghzaoui, l'a compris et l'a mis en exécution à la lettre. C'est le président Kaïs Saïed, qui n'a pas pu le comprendre à temps et qui continue sa guerre contre les moulins à vent, sans pouvoir prévoir les conséquences qui l'attendent avec ces arrivistes, qui l'encouragent davantage à plus de fautes et à s'enfoncer de plus en plus dans un sable mouvant, d'où il lui sera impossible de s'en sortir, sans qu'il ne redresse la barre de son avidité de pouvoir dans les prochains jours qui viennent.
Ceux qui l'applaudissent maintenant, sont de la même famille de ceux qui ont applaudi Bourguiba et Ben Ali, avant de les avoir laissés tomber à leur misérable sort. Même les Forces armées de la Tunisie, toutes catégories comprises, ne sont en fin de compte, que des Tunisiens appartenant à ce même peuple tunisien. Un peuple unique en la constitution de la structure et de la composition de sa population, selon des caractéristiques démographiques uniques de par le monde entier. Tous les Tunisiens sont à 100% musulmans sunnites, leur dialecte est presque unique. Leur langue maternelle est l'arabe littéraire. Ils ont les mêmes us et coutumes de par leur mode de vie, de par leur mentalité et même de par leur physique. Personne ne réussira jamais à monter les citoyens tunisiens, les uns contre les autres. Des lèche-bottes, des profiteurs, des corrompus, des menteurs, des saboteurs et des sans foi ni loi, oui, oui et oui. Mais jusqu'à s'entretuer ou jusqu'à se haïr réciproquement, non, non et mille fois non, preuve à l'appui.
Mes preuves sont visibles autour de Tunis la Capitale. Des millions de citoyens tunisiens venus de tous coins de la république qui cohabitent, se fraternisent et s'épousent entre eux et le restant de la république. Ils occupent les gigantesques cités d'Ettadhamen, des Mourouj, des Ezzouhour, des El-Mènèzih, des Al-Manar jusqu'à l'Ariana, la Manouba, la Banlieue nord et la Banlieue sud. La même catégorie de la population tunisienne, avec une différence sociale minime.
Une fois j'ai assisté à un mariage d'un membre de ma famille au Bardo. J'étais assis à côté de mon oncle Mohamed El-Kefi, un ancien surveillant pénitentiaire avec habitation luxueuse à l'ancienne prison "Habs el-jédid"(Allah yèrhamou wè innaâmou). Comme je venais d'Allemagne, je le bombardais par mes questions, "qui est celui-là" et "qui est celle-là"?
Il m'a répondu avec patience, puis il m'a dit:"crois-moi, tous les Tunisiens sont apparentés de l'extrême nord à l'extrême sud, tellement ils s'épousent entre eux sans la moindre restriction. Partout où on va en Tunisie, il suffit de discuter et de demander, pour qu'on trouve un proche n'importe où on va sur le territoire tunisien. Une sorte de toile d'araignée, dont l'ensemble est détruit ou lésé, si on touche à un seul de ses coins.
Vive la Tunisie.
Allah yostir Tounes.
Honte à vous
les promesses sont même devenues un exercice à part entière.
Il faut dire que les politiques en usent et en abusent.
Ainsi fonctionne la politique que des mensonges et manipulations