Ce n'est pas la première fois qu'il y a eu diminution des prix des carburants, mais ce quil n'y a jamais eu lors d'une diminution, c'est la révision des tarifs des propriétaires des taxis, à Tunis et seulement à Tunis, la massacrée ville énergivore par l'immensité de son parc autos et non seulement par le parc gigantesque de taxis, en l'absence, intentionnelle, de bus et ce pour laisser champ libre aux propriétaires de taxis, qui font la sourde oreille dautant plus qu'ils sont  protégés par nahdha, et dont cette dernière (prenant en mafia le rôle de l'Etat) leur accorde des autorisations au cas où ils la soutiennent lors d'éventuelles élections.

Leurs fortunes incommensurables, ces "taxistes" se reflètent facilement par leurs multiples propriétés foncières, et dont ils parviennent à mettre la plupart d'entre-elles en location ; sans compter leurs propriétés destinées aux vacances estivales à Hammamet.

Alors comment voulez-vous qu'ils inscrivent, ou suivent,  leurs enfants à poursuivre un enseignement ou une formation professionnelle ? d'autant plus que les programmes de formation n'ont jamais été l'intérêt de la ministre nommée par ghanouchi ni même lors troika 1, mais qu'au contraire ils incitent leurs enfants à quitter l'école pour se préparer au job de taxiste.

Dès lors ces enfants devenant agressifs et perturbateurs, s'adonnent à coeur joie aux diverses délinquances et nonchalances croyant un avenir radieux par cette leg illusoire.

Inutile de rappeler que ce secteur d8 e taxis (de la mafia nahdha) est protégé, depuis des décennies par un syndicat bandit, au point de devenir propriétaire privé d'un Etat parallèle et que l'Etat, le vrai, réponde illico-presto à toutes ses doléances (ou ordres ),  tout en arguant, comme tout autre protestataire gâté (et bandit) de la présumée révolution, qu'il va mourir de faim s'il ne reçoit pas l'autorisation d'un taxi ou tout autre commerce comme vendeur de cigarettes (dit de fruits secs), et ne peut vivre ailleurs qu'à Tunis.

Si on tenait compte de l'effondrement du cours du brut en cette période où plus de la moitié de l'humanité est confinée, cette baisse devrait être de 15% comme on le constate en France par rapport à l'année dernière.
Et donc les tunisiens devraient payer à la pompe:
- 1,70 DNT par litre au lieu de 2DNT pour l'essence sans plomb.
-1,32 DNT par litre pour le diesel le moins cher au lieu de 1,55DNT.
Et depuis un an le cours du dinar est resté plutôt stable par rapport au dollar.
C'est donc une baisse symbolique qui peut se comprendre vu les difficultés de l'Etat à boucler le budget aggravées par la crise économique actuelle.L'Etat encaisse la différence sous forme de taxes.

30 millièmes et 25 millièmes... Scandaleux. Il auraient dû laisser les prix antérieurs. Je vois ça comme insulte à l'intelligence. Du non respect. Et bien , ce n'est pas une blague. Vraiment bizarre.