Une pétition nationale signée par un grand nombre de partis politiques, de personnalités, de députés, d’organisations et d’associations a été adressée au président de la République Béji Caïd Essebsi l’appelant à soumettre les amendements du Code électoral au référendum.
Les signataires estiment qu’il est inconcevable de changer les règles de compétitions quelques semaines avant l’opération électorale, ajoutant que les amendements ont été soumis au vote au parlement sans les avoir préalablement discuté.
D’autres part, ils ont considéré que les amendements vident l’opération électorale de son sens, et comportent plusieurs termes vagues qui peuvent être interprétés afin d’exclure de nouveaux adversaires politiques.
Parmi les signataires, on note, entre autres, le parti 9alb Tounes, Afek Tounes Amel Tounes, et Beni Watani ainsi que des personnalités nationales à l’instar de Ahmed Nejib Chebbi, Fadhel Abdelkéfi, Mahmoud Ben Romdhane, Neji Jelloul, Ridha Belhaj, Olfa Youssef. Outre des députes, dont, Sofiène Toubel, Ons Hattab, Ridha Charfeddine et Rim Mahjoub.
S.H
Commentaires (15)
Commenter@Léon | 14-07-2019 13:15
@ Léon | 14-07-2019 15:52
Les imaginations virtuels sont par fois réels .
Que madame Soleille avait informé les ressortissants Algériens en France que le président H.Boumèdiene sera décédé un ans avant son disparition de la vie
@Ouafy y
Apparemment vous n'avez pas bien saisi ce que j'ai écris. QUe Ben Ali plaise ou pas aux américains, c'est le dernier de mes soucis. L'essentiel c'est qu'il me plaise à Moi.
Amitiés.
Léon.
@ Léon | 13-07-2019 21:28
Il faut considérer mon commentaire que virtuel .
On se demande ou été le président de ses retouches si nous sommes dans un Etat normalement un président est toujours informer .
@Mansour Lahyani
Le problème c'est que l'amour que lui fournit ce sein n'est ni Agapé comme l'amour désintéressé d'une maman; et sans en attendre de retour), ni même Philia (de solidarité fraternelle). C'est un Amour Eros qui, à son âge, coute très cher en doit être rendu en vendant quasiment tous les bijoux de famille, si je puis me permettre ce parallèle peu élégant.
Mais malheureusement ses bijoux de familles sont les notre.
Pour ainsi dire, on a été lésé avec un grand "B". Mais que voulez-vous mon cher Lahyani, le tunisien aime çà. Il en redemande. Et ses intellectuels sont les pires irresponsables, car vecteurs d'idéologies. Toute idéologie est un ennemi pernicieux pour les peuples (ici il s'agit de l'idéologie capitalisme véhiculée par les perroquets des universités occidentales qu'ils appellent "démocratie", et passée pernicieusement, même dans les cours de maths et de physique) .
Nos imbéciles-à-diplômes ont eu les dirigeants qu'ils ont choisi par le suffrage universel, c'est à dire les dirigeants qu'ils voulaient, par la règle démocratique occidentale qu'ils voulaient, et on en paye aujourd'hui le triste résultat. Car la démocratie n'est en réalité qu'un leurre destiné à mieux vendre sa culture et ses produits.
Pas grave! La Tunisie en a vu d'autres! Alors rectifiez le tir et votez pour Abir. Peut-être pourra-t-on sauver quelques bijoux restants. En appliquant la démocratie idoine, au profil du peuple tunisien.
Cordialement;
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Donnant donnant
Et si il ne signe pas?
Dissoudre l'assemblée
Refuser l'amendement et dissoudre l'assemblée pour que le conseil de la choura ne pourra plus promulguer des lois à sa guise ,le pays fonctionnera avec des arrêtés et des circulaires jusqu'à la tenu prochaine des élections,il est préférable de mettre l'amira Akroute a la tête de gouvernement à la place de Chahed pour la période restante.
BCE a fait la sourde oreille, le boss ne sait plus à quel saint se vouer
Quand les traitres nous traitent de populistes (1)
Chers destructeurs de la Tunisie souveraine et démocratique bâtie sur la constitution de 1959,
La bassesse de ceux qui ne seront épargné, ni par l'histoire, ni par la justice, a atteint en ce jour son apogée. Traitant le seul héritier légitime du parti Historique de l'indépendance, à savoir le PDL de Abir Moussi, de parti « populiste », nos élus se placent contre le peule, envisageant la mise à l'écart des favoris. Ces derniers représentent pas moins de 60% des intentions de vote.
Cette aberration montre que les élus de peuple ne représentent pas le peuple. Ceci était prévisible lorsque l'on se souvient de l'abstention de 80% des électeurs lors de leur triste élection. Et l'on ose aujourd'hui qualifier cette misérable assemblée de « représentants du peuple ».
Le fait de traiter le parti de l'indépendance de « populiste » est un crime envers la souveraineté de notre pays; souveraineté aujourd'hui bafouée par les traitres qui ont fait de la Tunisie un « protectorat » du FMI, de la BM, et de la CEE.
Mais cela ne m'étonne guère, quand on a tous entendu, les chefs politiques post-révolutionnaires (peut-être à l'exception de BCE) qualifier le 14 janvier maudit de « vraie indépendance du pays », urinant de la sorte sur le sang pur des résistants et martyrs de l'indépendance; sang qui abreuva les sillons de nos anciens colons.
Il faut dire que dans dans un peuple qui pullule de traitres et de manipulés (il suffit de voir que 90% du peuple avait crié « dégage »), tout devient possible; et surtout l'ingratitude envers l'Histoire de son propre pays.
La mise à l'écart des trois candidats en tête des sondages à quelques semaines du début des élections explique bien des choses. Mis à part la non représentativité du peuple au sein de cette triste assemblée, cela prouve aussi que l'on est en train de vivre une nouvelle forme de "démocratie": Celle qui élimine par des lois idoines, faites sur mesure, les partis qui risquent de faire de l'ombre aux protégés des atlantistes, à l'instar de nos frères sionislamistes, et autres émanations fécales, représentées par le ramassis de hauts diplômés, mais aux bas principes patriotiques.
Le peuple de naïfs et de crédules; ignorant mes appels incessants, avait cru en 2011 que les pays qui ont placé tous les dictateurs du monde, se souciaient de leurs libertés et de leur dignité. Bien au contraire, s'ils ont viré Ben Ali, c'est pour mieux installer leurs dictatures sous couvert d'une démocratie qui empêche les premiers de se présenter. Avec une telle loi, Trump ne serait pas élu, et les partis historiques européens auraient été effacés d'un revers de main, sous le prétexte de « populisme ».