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Tunisie – Cette douceur hivernale qui devrait nous effrayer !
06/01/2023 | 13:42
5 min
Tunisie – Cette douceur hivernale qui devrait nous effrayer !

 

28 degrés en décembre, aucune goutte de pluie depuis des mois et les plages prises d’assaut pour les vacances de fin d’année. Le tableau peut sembler idyllique et la douceur une vraie aubaine si ce n’est qu’en réalité ce qui se passe cet hiver est une vraie catastrophe qui annonce les pires des scénarios…   

 

En Tunisie, l'été 2022 a été marqué par une hausse remarquable et exceptionnelle de la température et première exception, cette hausse a été particulièrement ressentie au cours du mois de juin, qui s’est classé au premier rang des mois de juin les plus chauds, a noté l'institut national de météorologie (INM) dans son bulletin du mois d’octobre 2022.

D’autres records de températures maximales ont été enregistrés faisant de l’été dernier le deuxième été le plus chaud en Tunisie depuis 1950. La température moyenne générale a dépassé la moyenne de référence (1991-2020) d'un écart de +2,0°C. Première conséquence de ces températures exceptionnelles, un manque d’eau qui a imposé des mesures drastiques dans certaines villes du pays. À Mahdia et Sousse par exemple où par souci de rationnaliser cette ressource désormais rare, des coupures quotidiennes ont été appliquées, parfois à partir de 19 heures et jusque très tôt le matin suivant, en pleine canicule.

Durant le mois d’octobre 2022, la moyenne de la température générale a été de 23.3°C dépassant aussi la normale (1991-2020) de 1.4°C ce qui classe octobre dernier comme huitième mois d’octobre le plus chaud depuis 1950.

Donnée plus grave, le cumul du mois d’octobre, en termes de pluviométrie, était de 92.8mm représentant uniquement 9 % de la normale du mois qui est de 835 mm, et donc un déficit de 90%, ce qui classe le mois d’octobre de cette année comme le deuxième le plus sec après octobre 1960.

Ces changements ne sont toutefois pas propres à la Tunisie et sont observés partout ailleurs depuis des années. Les experts et les lanceurs d’alerte ne cessent de tirer la sonnette d’alarme, rien n’y fait. Les considérations économiques l’emportent toujours sur la question des enjeux climatiques et le réchauffement de la planète s’accélère inéluctablement.

Le réchauffement climatique est dû, principalement, à l’émission de Gaz à effet de serre. Les activités humaines rejettent, en effet, d’importantes quantités de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Selon le Centre national de la rechercher scientifique français (CNRS), ces gaz d’origine anthropique, et donc directement liés à l’activité humaine, sont très probablement responsables des tendances climatiques observées.

Il s’agit principalement du gaz carbonique (CO2) qui provient en majorité de la combustion des énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz naturel) utilisées pour les transports et le chauffage et, d’une façon moindre, de la déforestation ainsi que le méthane (CH4), abondant dans les zones humides naturelles ou anthropiques telles les rizières, également issu de la digestion des ruminants, des décharges et des pertes lors de l’extraction, du transport et de l’utilisation du gaz naturel.

En Tunisie, les émanations nettes des gaz responsables du réchauffement ont atteint en 2000 l’équivalent de 32,1 millions de tonnes de CO², ce qui représente l’équivalent de 3,4 tonnes de CO² par habitant. La Tunisie, comme d’autres pays, connaît une situation de vulnérabilité et l’impact du réchauffement climatique s’y font déjà fortement ressentir.

Entre septembre 2022 et la mi-décembre 2022, les réserves d’eau dans les barrages de la Tunisie ont reculé de 318,78 millions mètres cubes par rapport à la moyenne de la période (420,98 millions de mètres cubes) et de 330,57 millions de mètres cubes par rapport à la moyenne de la période correspondante l’année dernière. Les réserves d’eau actuelles étaient estimées à 102,11 millions de mètres cubes. 

 

Les gouvernorats du nord disposent de 88,63 millions de mètres cubes alors que leurs réserves d’eau l’année dernière étaient de 418,31 millions de mètres cubes. 

 

Les barrages du Cap Bon sont eux presque vides. Les réserves d’eau ont été estimées à 1,27 million de mètres cubes alors que l’année écoulée elles étaient de 8,56 millions de mètre cubes. 

 

Les gouvernorats du centre se portent mieux avec des réserves d’eau qui ont augmenté de 5,80 millions de mètres cubes en 2021 à 12,20 millions de mètres cubes au terme de l’année en cours. 

Le taux de remplissage des barrages n’est que de 29% et le total des réserves d’eau enregistré cette année est de 677,72 millions de mètres cubes, contre 952,30 millions de mètres cubes, l’année écoulée. 

Le réchauffement climatique est un phénomène mondial qui affecte tous les pays. Selon les données du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), la Tunisie a connu une augmentation de la température moyenne de 0,7 °C au cours des 50 dernières années, ce qui est supérieur à la moyenne mondiale de 0,6 °C. On prévoit que cette tendance se poursuivra, avec une augmentation de la température moyenne de 1,5 à 3,5 °C d'ici la fin du siècle.

Le réchauffement climatique a des impacts sur l'environnement et sur les activités humaines en Tunisie, notamment en ce qui concerne les ressources en eau et l'agriculture. Les périodes de sécheresse et de fortes chaleurs seront de plus en plus fréquentes, ce qui va entraîner des pertes de récoltes et des problèmes d'approvisionnement en eau.

 

Dans l’indifférence quasi générale et une inconscience sidérante, la terre poursuit sa transformation pour devenir un lieu de vie hostile aux hommes. Aujourd’hui encore on râle quand l’eau est coupée sans penser que ces mesures finiront fatalement par être plus récurrentes et, à terme, généralisées. Personne ne veut entendre les discours alarmistes et le sursaut de lucidité ne dure malheureusement jamais longtemps. Peu de gens réalisent que l’eau qui coule de leur robinet est une chance et que c’est à tout un chacun de faire l’effort nécessaire pour que cette ressource si précieuse ne vienne pas à manquer. Peu de gens aussi semblent comprendre que ce n’est pas la terre qui en pâtira car la terre survivra sûrement aux hommes. Entre temps, on continue de vivre comme si tout était acquis, jusqu’au réveil qui sera sans nul doute très douloureux…

 

Myriam Ben Zineb

06/01/2023 | 13:42
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Commentaires
kouki
oui,mais
a posté le 08-01-2023 à 21:57
je vois qu'il y aura une immigration massive vers les pays équatoriaux dans qlq decennies...
l'humanité retrouvera les jungles comme refuge...
leur bonne place
A4
La prière de la pluie s'impose !!!
a posté le 08-01-2023 à 20:08
PLUIE
Ecrit par A4 - Tunis, le21 Juillet 2022

Moi je dis à ces idiots
Qui passent leur temps à bûcher
A creuser, chercher de l'eau
Dans des oueds asséchés
Que pour faire boire leurs troupeaux
Ils doivent cesser de piocher

Je dis à ces ingénieurs
Qui s'acharnent à bâtir
Des barrages, lacs supérieurs
Et ouvrages pour retenir
Toutes les eaux venant d'ailleurs
Qu'ils doivent cesser et partir

Je dis aussi, car moi j'ose
Nommer les choses par leurs noms
Qu'il faut détruire toutes ces choses
Qui pompent les eaux des poissons
En nous faisant par osmose
Des eaux au goût de poison

Car aujourd'hui comme hier
Et c'est sûr à cent pour cent
La plus belle des manières
D'avoir l'eau en jet puissant
C'est de faire une prière . . .
C'est beaucoup plus reposant !
Besbes
une catastrophe derrière une autre
a posté le 08-01-2023 à 14:52
Un gouvernement qui anticipe pas, il gère comme un épicier du quartier. A-t-on prévu une stratégie pour la gestion de l'eau ? a-t-on anticipé des solutions en cas de crise, c'est pour bientôt cette crise de l'eau. Dans les années 50, il n'y a pas à Sfax une maison sans Méjel, en ville arabe, des maisons qui disposent même de 2 Méjels, notre maison a 2 méjels et un puit profond sans parler de l'eau de la SONEDE. Le Ministère de l'équipement octroyait à ceux qui ont construit dans leur villa Mejel une subvention annuelle de 80 dinars à percevoir à la fin de chaque année, cette subvention a encouragé les habitants à Sfax et je suppose qu'elle est destinée à tous les habitants des autres gouvernorats qui la demandent et qui ont construit Méjel. Dans certains Marakes, les personnes riches construisent ce qu'on appelle festkia, 2 à 3 unités pour les pauvres qui n'ont pas les moyens pour construire des mejels ou de l'eau de la SONEDE., ces majels sont construits à côté des mosquées (lissabil). Aujourd'hui, la loi de finances 2023 prévoit des crédits sans intérêt destinés aux personnes qui construisent mejel, ces crédits sont plafonnés à 20 000 DT. On aurait du prévoir ce mécanisme il y a longtemps, mais hélas! Pour les piscines, c'est un faux problème si on fait les choses dans les règles car une piscine une fois remplie avec moteur et avec les produits d'entretien, elle ne se vide qu'après 5 ans pour renouveler l'eau si non, on conserve la quantité d'eau du remplissage avec quelque rajout annuel du à l'évaporation.
Soussi
Le Bon Dieu
a posté le 08-01-2023 à 14:36
Ya Politiciens Tunisiens le bon Dieu avec cette secheresse est entrain de vous dire ayez pitie de votre pays
Vous avez depasse toutes les limites
'Gardons un minimum d'honnêteté!
La croissance démographique excessive
a posté le 08-01-2023 à 11:40
Introduction: La croissance démographique excessive en Tunisie a causé beaucoup de problème dans les domaines de l'emploi, de l'éducation, des transports, du logement, des soins médicaux et de la protection de l'environnement.

Je donne d'abord une explication non mathématique simple et très approximative de la poussée démographique. Comme nous le savons, chaque couple peut avoir zéro ou plusieurs enfants. Quand ce nombre d'enfants par couple est égal à 2, la population tend vers un état final stable (elle n'augmente pas et elle ne diminue pas). Ce qui fait que les parents (un couple) vont mourir un jour et vont laisser exactement deux descendants. On a donc un système en équilibre permanent. Quand le nombre d'enfants par couple est inférieur à 2, alors la population va diminuer. C'est-à-dire deux personnes (un couple) vont disparaître un jour et vont laisser un seul ou zéro descendant. Mais à partir de 2.1 enfants en moyenne par couple, cela se complique: le nombre d'individus par génération se met à augmenter sans fin. Et cette croissance qui peut paraître lente, est en fait véritablement explosive puisqu'elle a entraîné un quadruplement de la population tunisienne en 60 ans (entre les années 1956 et 2017). Or, un demi-siècle est très vite passé! On ne peut pas continuer à ce rythme.

Ce qui aggrave encore la situation, ce sont les mariages à 16 ans ou même à 15 ans: dans ce cas particulier même une fécondité de 1,6 enfants par couple ne peut pas freiner la croissance explosive de la population tunisienne.

Ignorer la poussée démographique en Tunisie c'est reporter les problèmes à plus tard, à la période où il faudra trouver les moyens à la fois d'arrêter cette croissance et de résoudre autrement cette difficulté restée un temps camouflée

La récolte céréalière tunisienne n'a pas cessé d'augmenter, mais la quantité de grain par tunisien n'a pas cessé de se réduire à cause de la poussée démographique. Un grand pourcentage de l'accroissement annuel du revenu national est absorbé par l'accroissement de la population, ce qui absorbe une grande partie de nos fonds et freine le développement économique et social.

En 1956 la Tunisie comptait 3,3 Millions d'habitants, en 2017 elle compte 11à 13 millions d'habitant et d'après mes calculs statistiques la Tunisie aura 28 millions d'habitants en 2045. Où allons-nous et qu'elles seront les conséquences pour l'environnement?

L'équilibre à long terme entre croissance démographique et approvisionnement alimentaire est indispensable, Il faut s'attendre à ce que le taux annuel de croissance de la production alimentaire par habitant en Tunisie continue de baisser.

Fazit: La croissance démographique doit diminuer afin de stabiliser la population tunisienne autour de 10 Millions d'habitants. En effet, à un état stationnaire de la productivité il nous faut aussi un état stationnaire de la croissance démographique.

Puis, je rappelle que la fermeture de plusieurs écoles primaires ou la baisse du nombre d'élève en Tunisie n'est pas un signe de la baisse des naissances comme nous le racontent certains pseudo-scientifiques, mais elle est plutôt la conséquence du fait que le nombre d'enfants âgés de 6 à 15 ans n'ayant jamais été à l'école ou l'ayant quittée avant la fin de la scolarité obligatoire s'élève à plus d'un million en Tunisie. L'écart est plus accentué selon le genre, l'âge, le milieu de résidence, ou l'activité des enfants. 67.6% des enfants non scolarisés ou déscolarisés, sont des filles. 60% des enfants concernés habitent les zones rurales et 40% sont en situation de travail.

Nous avons le choix de laisser la nature ajuster la poussée démographique en Tunisie par les catastrophes et les épidémies ou de prendre notre destin en main pour ajuster le nombre des naissances afin de garantir un équilibre entre la poussée démographique et nos ressources

Bonne journée

PS: Bourguiba (Allah Yerhamo) était un visionnaire et a encouragé le planning familial alors que la Tunisie ne comptait que 3,3 Millions d'habitant. --> Il faut comprendre enfin que la Tunisie n'a pas les moyens/ressources afin de nourrir et de satisfaire les besoins de 12 ou 13 millions d'habitants. Nous avons dépassé de loin nos limites.
Saleslafistes
Bourguiba
a posté le à 17:23
Pour rappel à ceux qui crachent sur la France, Bourguiba a fait ses études en France et avait une épouse Française qui le conseillait en matière de famille. C'est grâce à eux que les tunisiennes ne partagent leur mari avec une autre, peuvent avorter et demander le divorce.
Oscar
Pauvres arabes.
a posté le 07-01-2023 à 17:12
Dans un reportage passé sur la chaîne Arté : 85 % de la consommation d'eau des habitants d'Israël , est de l'eau désalanisée provenant de la méditerranée.
Le progrés paye .
Juan
la France votre malheur
a posté le à 11:41
israel n'a pas été colonisé par la France. on y forme de VRAIS ingénieurs pas des techno burocrates à la française.
vos problèmes datent de 1881.
A4
On récolte ce qu'on a semé !
a posté le 07-01-2023 à 15:12
DAME NATURE
Ecrit par A4 - Tunis, le 07 Septembre 2021

Gaspillez encore et encore
Faites ce qui vous passe par la tête
Ne pensez qu'à votre confort
Brûlez tout sur cette planète

Moi je ne peux me laisser faire
Subir vos folies et caprices
Vous voir transformer en enfer
Montagnes, pleines et oasis

Pour un degré ou même moins
J'irai assécher vos rivières
Je n'oublierai aucun recoin
Et vaines seront vos prières

Pour un seul degré, pas des masses
Je laisserai exploser ma rage
Je ferai fondre neige et glace
Pour dévaster toutes vos plages

Pour un petit degré encore
Et tout sera détérioré
Je battrai tous mes records
Pour incendier bois et forêts

Un degré de plus dans mes mers
Et il n'y aura plus d'accalmie
Mes vagues envahiront vos terres
Mes marées seront tsunamis

Un degré dans mes océans
Et odieuse sera ma réplique
Faune et flore deviendront néant
Vous ne pêcherez que du plastique

Un degré et c'est déjà trop
Trop de dégâts, de désespoirs
Vos barrages seront des flaques d'eau
Et votre ciel enduit de noir

Pour un petit degré de plus
Je ne ferai plus qu'à ma tête
Je déchaînerai mes virus
Pour envahir toute la planète
takilas
Des saboteurs sans dignité.
a posté le 07-01-2023 à 14:29
Des qu'un nahdhaoui n'apprécie pas un commentaire sur ce journal , qu'il emet un simple coup de téléphone pour que l'écrit soit retiré.
Donc tant quil ya ce chauvinisme, ce parti pris et cette hypocrisie, il est inutile de parler de démocratie, d'équité et le seul perroquet ou disquette à activer comme celle dans les innombrables commerces illicites à la sauvette dans la massacrée capitale Tunis, c'est de répéter le mot coup d'état à la manière débilepar exemple de Ben mbarek ou de chaouachi qui cherchent à garantir une nomination, illusoire, par nahdha si jamais la débandade des dix ans des massacres socio-économiques de la Tunisie soit renouvelée.
Sait-on jamais se disaient-ils qu'ils deviendraient des milliardaires comme nahdha avec l'argent du peuple tunisien.
L'arnaque est dans les veines chez ces gens là, d'autant plus qu'ils trouvent des souteneurs corrompus qui leur envoi de l'argent sale par toutes sortes de moyens de corruptions devenues autorisées depuis 2011 en Tunisie.
Jean claude
Eau
a posté le 07-01-2023 à 09:52
La solution ? D'autres pays chaud l'ont trouvée.
Construire des centrale de désarmement de l'eau de mer .
Irrigation . Et autres usages de l'eau . La solution est pourtant facile à réaliser
Juan
désarmement colonial
a posté le à 11:41
l'armée de l'eau de mer ...
utilisez votre langue au lieu de celle de la colonisation
Imed
Ce n'est pas aussi simple
a posté le à 11:40
Les centrales de dessalement d'eau de mer coûtent extrêmement cher, et consomment énormément d'énergie ( sauf si on les raccorde a des centrales solaire de photovoltaïque)
Chanchan
C'était le bon vieux temps de l'enseignement et de la culture en Tunisie.
a posté le à 14:35
Seuls les pays exportateurs de pétrole sont capables de supporter ces énormes dépenses provisoires de surcroît.
Ce que certains tunisiens (ayant l'esprit naïf de "winou pétrole") refusent par chauvinisme et ignorance, de comprendre.
Ce fut les compétents des années soixante et soixante-dix qui savaient comment se comporter.
Un citoyen
Tout le monde regarde ailleurs
a posté le 07-01-2023 à 09:19
Comme d'ailleurs le démontre l'absence de réactions dans ce forum aussi aride que le pays en ce moment '?'
Blu
plus de piscine
a posté le 07-01-2023 à 07:39
qu'on interdisse déjà la construction de piscine. Dans mon quartier il n'est pas rare de voir l'eau de piscines mal entretenues finir dans le chemin. Quand on habite à 15 minutes de la plage à pied il n'est pas nécessaire d'avoir une piscine dans son jardin.
Juan
signe extérieur de richesse
a posté le à 11:42
que faire de son argent, qd on est riche, et on paie pas d'impots ?
Carthage Libre
Dieu n'aime pas Kaies Saied : HISTORIQUE. Pas une goute depuis plus d'un mois en plein hiver. Cela n'est JAMAIS arrivé de notre histoire, JAMAIS .
a posté le 07-01-2023 à 00:10
Et puis, puisque Kaies Saied a augmenté le budget du ministère des Affaires wahhabites (le seul avec la Présidence, même pas le budget de la Culture ou Tourisme ou Affaires étrangères!!!!!)...WINE la PRIERE DE LA PLUIE?

On vous paye pour ne pas nous faire la PRIERE DE LA PLUIE!!!!

Aya, bougez vous le cul le ministre wahhabite/iranien/chiite pro-Saied ainsi que le Mufti extrémiste, payé 7.000 dinars/mois : tu fais quoi pour la Tunisie RIEN? Fais nous au moins une "prière de la Pluie" et on retransmet ça en mondovision.

Dégueulasse toute cette smalla Ennahdha/Kaies saied/Wahhabite/Chiite/hyper conservatiste...à dégueuler...

NB : Il est minuit. On dit que vers 5 heure du matin on aura une averse sur Tunis (mais après, nada, jusqu'au 16 janvier)...Donc, pas besoin de la "prière", non? Oui?
Juan
insulte à islam
a posté le à 11:44
respecte les musulmans, tu seras respecté
Sami
Hallucinant !!!
a posté le 06-01-2023 à 15:26
Qu'attend le Ministère de l'agriculture et des ressources hydriques pour décréter l'tat de catastrophe naturelle comme c'est le cas en Europe durant l'été et procéder aux restrictions générales de l'eau ?!!! qu'est ce qu'on attend pour ordonner une batteries de mesures comme l'interdiction de lavage des voitures, d'arrosage....pour limiter la consommation d'eau !!!!! mais c'est pas croyable cette absence de mobilisation générale !!!!! les gens continuent à gaspiller l'eau comme si de rien n'était !!!