Le maire de Sousse Taoufik Laâribi a publié un long statut, ce mardi 11 juin 2019, pour assurer qu’il tient à démissionner de ses fonctions.
Taoufik Laâribi a indiqué qu’il a appris que le conseil municipal a refusé sa démission : « Je remercie mes collègues. Je ne sais pas s’il s’agit d’un honneur pour moi ou d’un simple geste de complaisance pour dépasser la crise », affirme-t-il.
Le maire de Sousse a expliqué qu’il était possible de résoudre les difficultés dès le début, sauf que la crise s’est approfondie et les choses ont empiré. Il a, donc, réitéré sa position, assurant qu’il tient à démissionner de ses fonctions.
Le maire de Sousse Taoufik Laâribi a publié un long statut, ce mardi 11 juin 2019, pour assurer qu’il tient à démissionner de ses fonctions.
Taoufik Laâribi a indiqué qu’il a appris que le conseil municipal a refusé sa démission : « Je remercie mes collègues. Je ne sais pas s’il s’agit d’un honneur pour moi ou d’un simple geste de complaisance pour dépasser la crise », affirme-t-il.
Le maire de Sousse a expliqué qu’il était possible de résoudre les difficultés dès le début, sauf que la crise s’est approfondie et les choses ont empiré. Il a, donc, réitéré sa position, assurant qu’il tient à démissionner de ses fonctions.
L'exercice de fonctions d'un conseiller municipal ne doit se limiter à son choix par une élection libre , en effet,un code de déontologie municipal et plus que nécessaire pour tracer aux conseillers les limites qui doivent respecter pour honorer leur engagements vis à vis des citoyens . Un autre point capital est l'organisation des cycles de recyclages aux conseillers municipaux par le Centre d'Appui à la Décentralisation .
Les parasites de la Seconde République dans la région sont tombés sur un os dur.
Un os dur, de nos jours, est un patriote intègre, intelligent, clairvoyant, rôdé au dialogue et aux affaires comme au service (du) public, travailleur persévérant, modeste et ... immunisé contre la griserie tant du succès que du pouvoir. Bref, un citoyen équilibré, éclairé et "propre".
Tel est TL. Et ce ne sont pas ceux qui l'ont connu au défunt Conseil économique et social qui le démentiront.
Facile, dans ces conditions, de devenir rapidement une bête noire pour les équilibristes du cirque de la "transition" !
Et, comme l'homme n'est pas né de la dernière pluie, il a parfaitement capté le jeu de ce "rejet unanime" de sa démission: juste un repli tactique des magouilleurs qui, n'appréciant pas qu'on leur échappe la tête haute, calment le jeu dans l'espoir d'une occasion plus propice (qu'ils auraient, d'ailleurs, vainement attendue)
pour tendre leurs filets.
Bien fait, donc, pour eux __et pour tous leurs semblables à travers le territoire et les institutions__, qu'il ait opposé son rejet au leur et maintenu sa démission de la présidence du Conseil.
Nul n'est irremplaçable, certes. Mais certains sont parfois bien plus difficile à remplacer que d'autres !
