Le secrétaire général adjoint de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a estimé, jeudi 5 septembre 2024, que le pouvoir établi, surtout après le 25-Juillet, avait décidé « d'enterrer le dialogue social, chose que nous n'acceptons pas... », selon ses dires. Et d’ajouter : « Ce dialogue existe, même si ce n’est que partiellement, dans certains secteurs ».
M. Tahri a, en outre, spécifié, dans une déclaration à Jawhara FM, concernant les négociations sur les augmentations salariales dans le secteur public, que les négociations sociales ne peuvent pas être lancées avant le versement de la dernière tranche de l'augmentation précédente de janvier 2025.
Cela dit, le syndicaliste a indiqué que la centrale syndicale est en train de préparer les dossiers et de préparer les moyens et mécanismes de négociation, rappelant que l'UGTT a écrit aux gouvernements successifs, jusqu'au gouvernement actuel, pour renouer le dialogue avec les traditions bien connues.
Et de souligner qu'en cas de non-réponse, le conseil national exposera des formes de lutte régionales, sectorielles et nationales afin d'imposer le dialogue.
I.N.
"La plupart des responsables de l'UGTT sont pourris. Il suffit de jeter un oeil sur les états financiers des entreprises étatiques pour s'en convaincre. "
P.S. Je n'ai pas compris votre phrase :" Ma sA77 Ro93othoum Ya Khouya !". Pourriez-vous la préciser en français ?
ou bien
pour eux c´est l'impudence gagne toujours.
Ainsi, l'UGTT, sous l'égide de Taboubi, semble mener une politique autocratique, en son propre sein mais aussi en direction de ses adhérents et de l'opinion publique. Elle s'affiche autocratique et nullement autocritique. Tout comme Kaïs Saïed.... Habib Achour doit actuellement jubiler dans sa tombe... Mais dans quelle valse à deux taons s'est précipité Sami Tahri?