Le député radical Rached Khiari a comparu, ce jeudi 25 août 2022, devant la chambre correctionnelle près le Tribunal de première instance de Ben Arous en état d'arrestation, pour s’opposer à un jugement prononcé par contumace à son encontre lui infligeant deux ans de prison ferme avec exécution immédiate pour violation de données personnelles de mineurs et outrage à autrui à travers les réseaux sociaux.
Le jugement a été prononcé contre le député dans le cadre d’une plainte déposée par le représentant légal du ministère de l’Education pour avoir filmé, en février 2020, des témoignages de maltraitance à l'Institut Al Nour pour malvoyants à Bir El Kassâa et les avoir mis en ligne sur les réseaux sociaux.
Les avocats de Rached Khiari ont demandé le report de l’audience et sa libération. Le Tribunal a décidé de saisir le dossier de l’affaire pour fixer la date de la prochaine audience et d’examiner la demande de libération, confirme Mokhtar Jemaï, avocat de Rached Khiari, dans une déclaration accordée à Business News.
Le député islamiste radical Rached Khiari, a été arrêté le 3 août 2022. En fuite durant plusieurs mois, il fait l’objet d’un mandat d’amener émis par le tribunal militaire le 22 avril 2021 suite à une plainte déposée contre lui par le président de la République Kaïs Saïed. Il avait avoué dans une vidéo postée sur la toile qu’il se trouvait à l’étranger.
S.H
Un de ces énergumènes qui trouveraient bonne compagnie auprès de certains baveux au lexique limité et la prétention sans bornes.
Il faut partie de ceux qui ont gouverné le pays durant une bonne décennie, qui l'ont appauvri, massacré, volé, défiguré, et continuent prétendre faire partie de la société.
Ils prétendent même revenir au Parlement, gouverner, et du lieu de leur bilan qui se mesure en déroute économique, en sang d'innocents versé, et en assassinats politiques, sans compter l'image à jamais ternie du pays par l'ouvrage de forts en gueule, mais inapte à conduire les affaires du pays comme ce Bouchlaka qui eut les honneurs d'occuper la fonction de ministre des affaires étrangères ce qui explique sans doute puursuoi arrivent des choses comme à l'ambassade en Suède.
J'imagine l'hilarité des fonctionnaires d'autres pays, des diplomates à se trouver face un personnage sans talent et sans éducation.
Le déshonneur, et la terreur.
Alors, les petits suppôts peuvent chanter la ritournelle, insulter même le Chef d'Etat, croire en leur "savoir" pour juger et juger de l'ouvrage d'autrui.
Nous y sommes habitués.
Mais, nous n'accepterons jamais de les suivre dans cet avilissement.
Nous leur rendons, en revanche, les coups.
Avec le fer et le feu, on ne fait que créer des icônes.
Ce qui se passe en Tunisie est un cauchemar.
Allah yostir Tounes.
