L’ancienne conseillère du président de la République, Rachida Ennaïfer, a douté de l’authenticité du communiqué publié par les doyens des facultés de droit indiquant leur refus de faire partie de la commission consultative créée par Kaïs Saïed.
« Si le communiqué des doyens sur le refus de faire partie de la commission de rédaction des réformes juridiques se révèle être vrai, puisqu’il ne porte pas jusqu’à ce moment de signatures, alors ceci reflète la rupture entre l'élite et le peuple dont elle est censée faire partie et qui cherche un changement et refuse un retour en arrière », a-t-elle écrit dans une publication Facebook du 25 mai 2022.
Rachida Ennaïfer a considéré que l'apport d’expertise et de conseil était le rôle de chaque professeur et donc celui des doyens. Elle a considéré que toute autre position était une mauvaise appréciation de la situation.
Pour rappel, le président a créé par décret à la date du 20 mai 2022 une commission dite commission consultative nationale pour une nouvelle République. Elle se compose de trois comités : un comité consultatif des affaires économiques et sociales, un comité consultatif des affaires juridiques et un comité du dialogue national. Cette démarche a suscité plusieurs critiques de la part des opposants à Kaïs Saïed mais aussi au sein des acteurs politiques ayant soutenu l'annonce les mesures exceptionnelles et le processus entamé depuis le 25 juillet 2021. On notera que l'UGTT a refusé de participer au dialogue national dans cette forme là.
S.G
Sans oublier bien sûr les autres militants à blouses blanches ou l'armée nationale'?'.
Pour le cas des doyens ( des omadas dixit'?'sans oublier la première lettre a), on est en pleine crise de Droit de Constitution, soit de leur métier de noblesse, et ce depuis des années, sans qu'il ne lèvent le doigt pour proposer, suggérer, donner un draft qui pourra illuminer la voie aux citoyens et aux politiciens même laissant le vide planer aux chroniqueurs '?'aux malades chroniques de bla..bla et aux « niqueurs » de ce pauvre pays!!!
Indépendamment de la manière de KS ou de toute autre considération qu'ils essaient d'inventer pour justifier leur « PH Neutre » vis à vis de '?'la politique en vue de se réserver à la recherche et au travail académique!!!
Ces omdas de droit ont bien failli à leur devoir et on trahi les tunisiens en leur droit de leur éclairer la route '?'ce sont des déserteurs de guerre'?'en fait , leur mission est à titre consultatif donc que peuvent ils craindre '?'Tout simplement ils sont aussi incompétents ou peut être des compétents mais laches ce qui revient à une incompétence dans tous les cas'?'Certains d'entre eux se limitent de donner des bribes d'idées et des soit-disant conseils à KS, sur antenne radio ou bien en montrant leurs tronches devant les caméras'?'mais lorsqu'il s'agit d'assumer sa responsabilité et rédiger « l'ordonnance constitutionnelle » en tant que médecins spécialistes en la matière, ils se dissimulent derrière une « fausse couche « de neutralité.
C'est une faction de l'armée élitiste qui manque à son devoir.
Dommage'?'
Il suffit d'observer comment sont traités les gens, partout et quels que soient les situations et les lieux, pour confirmer des fifferences de traitement qu'on peut qualifier de classiste.
Il semble même exister une sorte de consensus justifiant ces traitements différenciés.
Un jour, effectuant une démarche auprès du greffe d'un tribunal, je fis remarquer que des personnes âgées étaient debout depuis des heures dans la chaleur, la promiscuité, l'on me signala à un flic en civil qui vont m'apostropher sur un mode volontiers accusateur me menaçant du procureur sous un motif qu'il lui plut de m'opposer.
Bien sûr, je ne me suis pas laissé intimider, mais il s'en fallut de peu....
Donc, pas de rupture, car il faudrait qu'il y ait eu du commun, une égalité même feinte, se sentir du même monde, des citoyens.
Il s'agit d'une culture.
Des habitudes ancrées, qui autorisent des hiérarchies, des droits différents, en tout cas des traitements selon son style, son rang, son groupe d'appartenance.
Voilà pourquoi j'évoque assez souvent le mot Commun, Nation....
Et, de ce point de vue, il y a une dégradation et un retour très violent à ce qui pour certains était la norme avant 2011.
Sans doute, le motif de retour des pratiques ante 2011, était un fantasme puisqu'on peut témoigner que le climat était meilleur de ce point de vue, mais un retour du refoulé après 2 à 3 ans où chacun se tenait sur ses gardes face à ce populo qui croyait retrouver dignité.
L'inculture est un mal qu'on peut soigner, on peut rompre avec des habitudes, choisir de ne pas se ranger selon les modes ou suivre le plus fort ou le puissant, mais c'est toujours sous condition de choisir.
Choisir, et décider.
Un professeur critiquait la notion de Décision chez Carl Schmitt.
Il y faudrait des arguments.
L'Occident choisit et décide de Tout faire Contre la Russie.
Il appelle cela défendre, soutenir l'ukraine, les droits des gens, quel que serait le motif, il décide.
Poutine, ou la Russie, choisit et décide de refuser l'encerclement, agit et réagit.
Qui a tort ?
Qui a raison ?
Qui est dictateur, de Biden ou Poutine ?
Quel est l'empire du Mal, des USA ou de la Russie?
Beaucoup, avant de réfléchir, ont imputé à l'un toutes les charges, et se rangent du "bon côté" automatiquement.
Ils mentent, dissimulent, insultent, qualifient sans retenue, pour contenter leur propre monde.
Il faut toujours savoir décider.
Si le peuple tunisien, je dus bien le populo Décide de refuser d'être traité en surnuméraire, il peut lettre un terme à cette diarchie, Eux et Nous.
On pourrait soutenir que le déploiement de haine contre Kais Saied aurait sa source dans sa proximité avec le populo.
Cela relève de l'inimaginable pour certains. De l'inacceptable, pour toute cette "élite".
Je dirais pour cette oligarchie qui tourne autour du Pouvoir.
Ou qui en est la descendance et la base de soutien.
L 'emporte-piece, aux jugements generalisants et totalitaires, qui est l elite? Et Quelle élite (sociale, politique, intellectuelle) Et c quoi/qui le peuple? KS ne fait pas partie de l'elite? Si c oui, ce (long) commentaire est soit une niaiserie soit manipulation? Si c non, quel drame et quelle catastrophe pour la Tunisie, l'élite ayant tjrs ete la locomotive des pays et des peuples.
Outre que cela relève du caniveau, il convient que vous vous rangiez au principe inscrit dans la loi où il est dit qu'ils sont des citoyens.
Secundo, par leurs votes ils font la politique du pays.
Tout du moins dans un contexte démocratique.
Alors, qui a dit Hafterchs.
Lorsque je qualifie c'est en citant les actes, en les nommant ou en les rappelant.
Quant aux "élites" qui seraient l'avant-garde des peuples, cela dépend quand, comment et en quelles circonstances.
L'Histoire regorge de cas où l'élite se range au plus puissants, se vend et renie ses convictions.
Du moins, celles qu'elle proclame.
Alors, des généralités, vous en usez tout en dénonçant cela chez l'autre par facilité, car vous ne le démontrez pas.
Que cela vous agace que je garde des distances avec la ligne éditoriale, si on peut appeler cela ainsi, de ce forum, il va falloir vous y habituer si elle représente une découverte à vos yeux.
Argumentez.
Et, ne voyez pas hez autrui la poutre qui vous cache les faits.
peuple et l'élite (ca serait fastudieux) mais de clarifier les rapports, ce qui eviterait les raisonnements faciles et les jugements creux. D'abord le peuple et l'elite ne constituent pas des entités distinctes comme veut le faire croire le discours populistes pour des raisons électoralistes bien connues, ensuite l'elite n'est pas forcément avant-gardiste ou révolutionnaire, mais elle est forcement le pilier et la locomotive de tout progres dans n'importe quel domaine, et chaque domaine a son élite. Docteurs d'Etat, Professeurs des universités, agregees...(la où KS est assistant), les Doyens des facultes de droit representent l'elite en matiere de savoir juridique. Mme R. Ennaifar, se permet de les juger. Le ridicule ne tue pas. Helas!!!!
Répéter le discours convenu en recourant à la notion de populisme sans en faire l'archéologie est une niaiserie pour vous renvoyer le compliment.
Les gens qui y réfléchissent savent que c'est une notion agonistique dont la valeur d'usage consiste à de légitimer l'adversaire.
Quant peuple, il faut lire ceux qui pensent, et ne pas se contenter de redire les facilités pour rester poli des verbeux idéologues.
Et puis, c'est l'élite qui se promeut en se parant de qualités qui la rehausser-ait tout en la situant ailleurs.
Enfin, le fascisme dont vous parlez est la plus bête des assertions qui feint de prendre les couleurs de l'argument tout en étant une insulte infamante adressée en réplique.
Parce qu'à cette aune, fasciste pour fasciste, je sais par mes actes tout ce qui me situe contre tous les fascismes.
Y compris islamiste.
Je vous suggère de gagner quelques galons en culture sur ce sujet, et à défaut l'expérience des luttes politiques et syndicales pour vous édifier.
Quel est le fasciste ?
Qui définit l'autre ?
Vous êtes ce que vous voyez en moi.
Vous etes simplement naïve si vous croyez que les putschistes ont encore une chance d'éviter la prison pour le reste de leur vie !
Elle se prend maintenant pour plus lucide et pour plus intelligente que les soixante-dix professeurs universitaires spécialisés en droit, dont trois doyens Kalthoum Meziou, Yadh Ben Achour et Néji Bacchouche, ainsi que le constitutionnaliste Slim Laghmani, signataires qui ont condamné l'humiliation des institutions scientifiques et académiques tunisiennes. Ceux-là mêmes qui se sont prononcés contre l'implication des universitaires dans des projets politiques louches et malhonnêtes au bord de la criminalité, pour leur fournir une fausse et trompeuse légitimité à leur coup d'Etat du 25 juillet dernier, comme le fait cette Rachida Ennaïfer par toute sorte de bassesse humaine de lèche-bottes sans foi ni loi, toujours à rêver de revenir jouer à la «zaghrata» au palais de Carthage..
Comme les temps ont changé dans les bidonvilles des corrompus, transformés en de villas de haut standing sur la «Raggouba» de «Kerch El Ghaba». Maintenant, c'est la rivale de Nadia Akacha, qui donne des leçons à ses Maîtres Iyadh Ben Achour & Co.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Et il serait superflu qu'elle tente de retourner sur les bancs de la fac : elle n'aurait aucune chance de décrocher ne serait-ce qu'une note au-dessus de zéro à un devoir surveillé dans cette matière, ni aucune autre matière, du reste !!
Mais vous être très mal placée pour donner des leçons à ceux qui n'y adhèrent pas.