
A l’occasion de l’inauguration du bureau de l’UGTT à Douze, jeudi 17 mars 2022, le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi a prononcé un discours, dans lequel il s’est adressé au président de la République, lui demandant de donner sa position par rapport au retrait des subventions, demandée par le Fonds monétaire international (FMI).
Pour Noureddine Taboubi, « les jours qui viennent seront difficiles alors qu’aucun effort n’est fait pour anticiper cela. Tous fuient les responsabilités ».
Dans son intervention, le dirigeant syndical, a expliqué que ce sont les partis qui font la politique d’un pays, tout en déplorant le fait que l’actuel pouvoir en place, oeuvre pour créer une opposition et un pouvoir politique docile et « sur- mesure ».
« Nous ne resterons pas les bras croisés », a martelé Noureddine Taboubi ajoutant qu’il est incompréhensible de retirer les subventions à des citoyens qui touchent 400 dinars, le salaire moyen en Tunisie.
M. Taboubi a finalement demandé à ce que le pouvoir fasse son autocritique. « Il faut se réveiller de ce coma », a-t-il dit. Et d’ajouter : « Les tiraillements politiques sont profonds et c’est le citoyen qui en paye le prix ».
S.A
Trouver la vraie alternative réformiste.
Ou bien on oublie vite!
Sahha lih,rkéb âl wakt ou âl zmèn elli jèb ellou fi tbak,profitant de ces khadhara elli sébkou lél souk et qui se prétendent politiciens et politiciennes ,même pas foutus depuis 2015 d'instaurer la seule instance ,Cour Constitutionnelle,qui en vertu de la dite Constitution ,est la seule à sévir ,comme c'est le cas,contre la dérive d'un pouvoir.......
Et là,en l'occurrence,c'est la plus grave,puisqu'elle provient de la part de celui qui est à la tête des forces armées,barra yè hamma,tu n'as plus qu'à attendre le prochain soulèvement populaire,qui n'est pas pour demain,vue la côte de popularité de mèwlènè el èmir yhéb yohkom wahdou.

