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Noureddine Bhiri porte plainte contre des pages qu'il estime affiliées à Kaïs Saïed
16/05/2022 | 21:57
1 min
Noureddine Bhiri porte plainte contre des pages qu'il estime affiliées à Kaïs Saïed

 

L’avocat et président du bloc parlementaire d'Ennahdha Noureddine Bhiri, a annoncé, dans un post publié ce lundi 16 mai 2022, avoir été entendu, ainsi que son épouse, dans le cadre de la plainte qu’il a déposée à l’encontre des comptes affiliés au président de la République, Kaïs Saïed, qui l’ont visé dans les réseaux sociaux.

 

Noureddine Bhiri a accusé ces pages et comptes de « diffamation, de diffusion de propos calomnieux, d’incitation à la haine et au meurtre ». Il a notamment nommé Nous sommes tous Kaïs Saïed, le Parti destourien libre, Sayeb Salah, Mefti News et Carthage FM.

 

Noureddine Bhiri a aussi porté plainte contre les comptes de : Najla Bouriel, Fatma Haj Hassine, Fethi Mahfoudh, Mohamed Moncef Chebil, Mohamed Habib, Najia Jerad, Karim Mesrati, Salah Raquam, Aymen Ben Chaïeb, Lotfi Ben Slama et Taoufik Aouni.

 

Le dirigeant d’Ennahdha, a assuré qu’il sera également entendu dans les prochains jours dans le cadre de la plainte déposée, par lui-même et son épouse, contre Wafa Chedli, Mohamed Hentati, Fayçal Tebbini, Asma Ayadi, Mahmoud Baroudi et le Journal Al Chourouk.

 

 

 

Le dirigeant nahdhaoui a, rappelons-le, été arrêté et assigné à résidence dans un endroit méconnu le 31 décembre 2021 pour ensuite être transféré après la détérioration de son état de santé à l’hôpital Habib Bougatfa à Bizerte où il a séjourné jusqu’à sa libération le 7 mars 2022. 

M.B.Z

16/05/2022 | 21:57
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Commentaires
nazou de la chameliere
Bravo !!!
a posté le 17-05-2022 à 19:00
Il fallait le faire depuis très longtemps !!!

Mohamed Obey
Pourquoi ne pas mobiliser ses 100.000 kamikazes
a posté le 16-05-2022 à 22:37
Au lieu de décider de porter plainte contre ces personnes dont les noms sont inscrits sur la liste noire ci-dessus, M. B'hiri ne s'est-t-il pas demandé pourquoi ces détracteurs qui continuent à le critiquer le détestent tant ?
A mon sens, puisqu'il était une personnalité publique, tout citoyen tunisien a le droit de le critiquer. Et étant responsable au sein du parti qui gouverna la Tunisie et causa les trots qu'on connait, il les commentaires même les plus sévères; car ses critiques expriment un malaise, une colère contre ceux qui ont porté atteinte à leur vie par le fait d'avoir mal gouverné, de faire une mauvaise constitution, d'avoir dilapidé de gros fonds publics, acte qui hypothèque aujourd'hui notre souveraineté nationale et fait que même la classe moyenne s'est affaissée au niveau de classe de déshéritée économique....
Ou encore, qu'il considère le principe "celui qui joue ne se fâche pas: c'est à dire que si M. B'hiri n'accepte pas qu'on le critique, pourquoi se permet-il d'adresser des critiques au vitriol au Président de la République? Pourquoi,? Conclusion: le deux poids-deux mesures ne passe pas....
Ahmed
Re - Mohamed Obey
a posté le à 10:32
"M. B'hiri ne s'est-t-il pas demandé pourquoi ces détracteurs qui continuent à le critiquer le détestent tant ?"

Déteste le comme tu veux, mais les diffamations, tu dois payer.
Celui qui crée les fabrication, forge le mensonge, diffament sans preuve comme le gros mensonge de "2700 milliards", tous doivent payer.
Ou bien tu publies suite à une preuve sinon tu viens défendre tes accusations devant le tribunal.
Pays de mensonge.