Et, appliquant la formule "diviser pour mieux régner" il s'en prend à Abir Moussi et à son parti le PDL, les seuls à s'opposer clairement à ses magouilles politicardes. On sent la panique à bord vu la situation catastrophique du pays et aucune perspective d'amélioration à moyen terme.
Le chef du bloc parlementaire d’Ennahdha, Noureddine Bhiri a indiqué, ce mercredi 11 décembre 2019, lors de son passage sur le plateau d’Attessia que la présidente du PDL, Abir Moussi a été contrainte de lever le sit-in parce qu’elle a été lâchée par la majorité de ses députés.
« Au départ, les 17 députés du PDL ont observé le sit-in au parlement, vers la fin Abir Moussi n’était entourée que par six d’entre eux, les autres l’ont lâchée. Ils n’étaient pas en accord avec sa démarche », assure Noureddine Bhiri. Il a ajouté qu’un groupe du PDL bénéficie d’un financement étranger pour semer la panique et la zizanie au sein du parlement. « Je n’accuse pas le parti du PDL, mais je vais être direct en pointant le groupe qui a insisté à maintenir le sit-in ».
Le chef du bloc parlementaire a tenu, également, à féliciter le rôle joué par la présidence du parlement et sa sagesse dans la gestion de la crise parlementaire.
Revenant sur le Fonds pour la zakat, Noureddine Bhiri a indiqué que ceux qui n’ont pas voté pour le fonds, ont, finalement, voté pour Abir Moussi qui a été contre cette proposition. « C’était l’unique proposition destinée aux pauvres et aux démunis. Elle a été rejetée parce qu’elle a été initiée par le mouvement Ennahdha. Je suis prêt à leur offrir la possibilité de la proposer, puisque le plus important est de venir en aide aux gens qui en ont besoin », indique-t-il, précisant, toutefois, qu’il n’y a eu aucun deal avec Qalb Tounes pour qu’il vote le Fonds pour la zakat en contrepartie du retrait de la proposition portant création du Fonds Al Karama.
D’autre part, le chef du bloc Ennahdha a assuré que les concertations autour de la formation du prochain du gouvernement avancent bien soulignant que la majorité seront surpris puisque « Habib Jamli va annoncer la composition de son équipe dans les plus brefs délais et bénéficiera d’un large soutien ». Toutefois, le dirigeant nahdhaoui a esquivé la question concernant la participation de Qalb Tounes au prochain gouvernement si les partis Attayar et Echaâb refusent d’en faire partie, avançant que Habib Jamli est indépendant pour désigner les personnalités capables de conduire le gouvernement.
S.H
Commentaires (31)
CommenterMenteur un jour...
Et, appliquant la formule "diviser pour mieux régner" il s'en prend à Abir Moussi et à son parti le PDL, les seuls à s'opposer clairement à ses magouilles politicardes. On sent la panique à bord vu la situation catastrophique du pays et aucune perspective d'amélioration à moyen terme.
La guerre des vilains .
PIEGEE SANS QU'ELLE SERA AU COURANT .
Le radicalisme d'Abir Mouissy lui portera que les contraintes normalement elle n'a pas intérêt de trancher dans les sujets purement religieux il y a des spécialistes que Mouissy devra le respecter car la Tunisie est pays dont la majorité sont des Musulmans ( Djamaat Ezzetouna ).
Il me semble que Abir Mouissy avait oublié si elle continuera de gérer dans ce genre de ces sujets celui qu'elle sera le perdante et surtout les voix de ceux concernés par cette loi .
Elle a raison d'annoncer que l'Etat est républicain mais elle a oublié qu'ils y a des particularités .
Bhiri pêche par un optimisme exagéré
ELLE LUI EN BOUCHE UNE
le phacochère de la décadence
Appauvrir, zakat, division pour régner : Tactique nahdhoui qui ne marche plus.
Les wahhabites Frères musulmans d'Ennahdha, depuis qu'ils ont fait une razzia sur notre pays en 2011, ont FIXé leur stratégie depuis leur arrivée sur notre sol national : Jouer sur 3 tableaux ; cette TRYPTIQUE est une CONSTANTE chez la race des Frères musulmans, qui a d'ailleurs était EMISE par Hassan El Banna en 1926 et ensuite consolidée par leur idole Sayd Qutb :
-Appauvrir les gens/un pays/une économie nationale ensuite les affamer le plus possible
-Diviser la population et SI démocratie, diviser le ou les partis qui les menacent, les infilter, identifeir celui qui pourra le faire exploser de l'intérieur
-Enfin, créer des fonds et distribuer de la nourritures/objets/argents sous couvert de Islam tout en montrant que c'est bien eux qui le font, pas les autres.
Voilà. Ceci a marché pendant près de 9 ans. Ce qui leur a permis d'avoir 400.000 personnes qui leurs sont attachés.
Alors ils font quoi aujourd'hui : ils sentent un danger énorme. Après avoir mis Qalb Tounes et leur Karoui dans la poche, suite à des menaces et tractations, ils ont identifiés la MENACE SUPREME : Abir Moussi et son PDL. Alors ils font comme ils savent faire, et qui a super bien marché pour Nida Tounes, et HCE ; semer la zizanie...MAIS...mais cette fois, ça ne marchera pas.
Les islamistes paniquent ; sous leur pseudo-victoire, il y'a le feu dans la maison nahdhaouiste. Leur FIN est proche.
Aveux d'impuissance des Terroristes ; Abir Moussi est SURPRISE SURPRISE pour la Secte de malheur.
Bhiri, celui qui a mis la justice tunisienne dans sa poche et qui était absent pendant 5 ans des caméras est revenu. Grâce à la falsification des résultats et de 450.000 connards sur 12 millions de tunisiens ; ils se prend pour Dieu le Père.
Mais qui est venue pour les STOPPER ? ABIR MOUSSI ; ils n'en REVIENNENT PAS. Ils ont la rage et surtout...LA PEUR DANS LEUR SALE ESTOMAC puant ; elle va vous en faire baver pendant 5 ans Messeiurs les Terroristes ;-)
De la Politique.
La politique c'est choisir, décider et agir dans l'intérêt général. Ce à quoi nous assistons depuis des années relève du spectacle et offre aux islamistes tout l'espace et moyens pour diffuser leur propagande.
Ils ont contribué à organiser une régression générale: économique et sociale, sociétale contre les femmes, et réduit le champ des possibles à un vote pour ou contre eux.
La société s'invente tous les jours, tout change et se transforme selon les lois de la nature, ce qui commande aux hommes d'inventer leur futur, le construire, là où ils nous assènent des discours passéistes et réduisent l'humain à sa part dictée par la croyance en une temporalité déjà écrite et un avenir fixé d'avance.
Cela porte un nom: le conservatisme.
Doublé, ici, d'une vision qui privé l'humain de ce qui fait sa liberté et responsabilité.
Ce faisant, ils croient savoir ce qui est bon, juste, vrai. Pour nous.
Voilà sans doute ce qui explique leur assurance et la violence de leurs actes. Ils ont la certitude d'accomplir une mission.
Celle qui conduit à la misère et aux conflits opposant la population entre partisans et opposants.
C'est une forme politique.
Pas une politique bonne pour le pays.