
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé une intensification de la guerre à Gaza ces prochains jours pour « achever l'opération et vaincre le Hamas », a indiqué mardi 13 mai 2025, son bureau, après une courte pause enregistrée pour la libération de l'otage israélo-américain Edan Alexander.
Netanyahu a également affirmé que ses services s'employaient actuellement à trouver des pays prêts à accepter des Gazaouis, « dont nombre sont prêts » selon lui « à quitter le territoire », dévasté par plus de 18 mois de guerre.
Les services du Premier ministre ont rapporté ces propos - tenus lundi devant des réservistes - au premier jour d'une tournée au Moyen-Orient du président américain Donald Trump et au lendemain d'un court répit dans l'offensive israélienne à Gaza pour permettre la libération d'Edan Alexander, seul otage vivant ayant la nationalité américaine.
Dès la nuit, l'armée israélienne a repris ses bombardements sur le territoire palestinien, frappant l'hôpital Nasser de Khan Younès (sud) abritant selon elle « un centre de commandement et de contrôle » du Hamas, et tuant selon le mouvement islamiste palestinien plusieurs patients dont un journaliste.
La guerre "jusqu'au bout"
« Dans les prochains jours, nous entrerons avec toute notre force » à Gaza « pour achever l'opération et vaincre le Hamas », a déclaré M. Netanyahu, cité par son bureau. « Une trêve temporaire est possible (pour assurer la libération d'otages toujours retenus à Gaza, ndlr), mais nous irons jusqu'au bout », a-t-il insisté.
Israël avait précédemment annoncé l'envoi d'une délégation à Doha mardi pour des négociations sur les otages. Le Hamas a lui appelé l'administration Trump à « poursuivre ses efforts pour mettre fin à la guerre ».
Le 5 mai, Israël avait annoncé une nouvelle campagne militaire prévoyant la « conquête » de Gaza et nécessitant le déplacement interne de « la plupart » de ses 2,4 millions d'habitants. Le 18 mars, après une trêve de deux mois, l'armée israélienne avait repris son offensive dans le territoire palestinien, où elle bloque aussi depuis le 2 mars toute entrée d'aide humanitaire.
Les autorités du Hamas ont accusé Israël d'avoir « assassiné » dans l'hôpital Nasser Hassan Aslih, présenté comme le directeur de l'agence de presse palestinienne Alam24. Il avait été blessé le 7 avril par une frappe de l'armée israélienne, qui l'avait alors accusé d'avoir « participé au massacre du 7 octobre ».
L'envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient, Steve Witkoff, a pour sa part rencontré mardi des proches des Israéliens enlevés le 7-octobre rassemblés sur la « place des Otages » à Tel-Aviv. « Nous espérons ramener tout le monde à la maison », a-t-il déclaré.
Sur les 251 personnes enlevées le 7 octobre en Israël, 57 sont encore retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l'armée israélienne.
Enlevé alors qu'il servait sur une base du sud d'Israël, Edan Alexander, 21 ans, s'est lui entretenu mardi avec Netanyahu. « Je vais bien. Faible, mais petit à petit, je redeviendrai comme avant », lui a-t-il dit.
La faim comme arme de guerre
Totalement assiégée depuis plus de deux mois, la bande de Gaza atteint des niveaux de malnutrition « comparables à ceux observés dans les pays confrontés à des crises humanitaires prolongées s'étalant sur plusieurs décennies », a alerté mardi l'ONG Médecins du Monde (MDM), accusant Israël d'utiliser « la faim comme arme de guerre ».
L’offensive israélienne a fait au moins 52.862 morts à Gaza, en majorité des civils, selon des données publiées dimanche par le ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Un cessez-le-feu entre le 19 janvier et le 17 mars avait permis de sortir de Gaza 33 otages israéliens -- dont 8 morts -- en échange de la libération de quelque 1.800 prisonniers palestiniens.
© Agence France-Presse
Les Houthis yéménites, viennent en aide à nos frères les Palestiniens à plus de deux mille kilomètres de distance. Les Egyptiens du Saffah Sissi, leur bloquent l'entrée de Rafah et coopèrent avec les juifs génocidaires de Gaza dans le génocide de la population civile palestinienne à Gaza comme en Cisjordanie.
Les juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine, semblent encore ne pas avoir compris que les Arabes sont devenus encore plus forts que les Martiens. Les Martiens viennent du ciel et les Combattants arabes, viennent du fond profond du globe terrestre. C'en est fini avec leurs bluffs de supériorité aérienne. Maintenant, la supériorité souterraine l'emporte clairement.
La Palestine vivra. La Palestine vaincra.
Ecrit par A4 - Tunis, le 14 Octobre 2023
Adolf ... tu peux dormir tranquille
Tes horribles enfants ont grandi
Les voilà devenus habiles
Dans les crimes et les tragédies
Les voilà sur ta voie débile
Pleine de sang et d'incendie
Adolf ... tu dois être vexé
Au fond de ta tombe étroite
Quand tu sais que des désaxés
T'ont doublé très loin sur ta droite
Tu peux même te décomplexer
Tu n'es plus le roi des diktats
Adolf ... il faut te signaler
Il faut bien te le faire savoir
Que tes victimes étoilées
Sortant de tes fours crématoires
S'ingénient à nous dévoiler
Leur infâme culte des mouroirs
Adolf ... tu n'as pas eu la chance
De vivre cette "belle" époque
Où tout un monde sans conscience
Veut que la victime qui suffoque
Soit consentante, sans résistance
Face au bourreau et ses vieux schnocks
Mais Adolf ... la nouvelle victime
Si elle subit tous ces malheurs
C'est bien aussi à cause des crimes
Que lui infligent ces aboyeurs
Qui se veulent des amis intimes
Mais qui sont ses fossoyeurs
Notre pauvre victime qui erre
Dans une prison sans barreaux
Subit la traîtrise des faux frères
Leurs actes vils et immoraux
Subit leurs frappes meurtrières
En plus de celles de ses bourreaux
Le président américain qui court après un "prix Nobel de la paix" peut-être hypothetique à nos yeux, mais qu'il est persuadé d'obtenir, veut, à part le conflit entre la Russie et l'Ukraine, "régler" le dossier du Moyen-Orient sans trop contrecarrer les sensibilités arabes, surtout celles qui le pourvoient en ce moment en milliards de dollars d'achats ou d'investissement.
Alors, la récente "entente" directe avec le Hamas pour obtenir la libération d'un otage israelo-americain prouve que le président américain peut passer outre Netanyahu sans lui demander son avis et encore moins son accord sur tel ou tel sujet qui concerne les USA directement.
Ainsi, Trump ne supportera pas que le premier ministre israélien puisse lui dicter quoique ce soit sur la conduite à tenir dans les négociations sur le nucléaire iranien, où, là aussi, l'avis de l'israelien compte pour "peanuts", comme on dit aux States...
Alors, si l'américain décide qu'il y aura la paix totale en Cisjordanie et à Gaza, le Netanyahu, si il s'y oppose, risque de se retrouver, une main devant, une main derrière, sur une île déserte ne figurant sur aucune carte géographique.