L’ancien président de l’Assemblée nationale constituante (ANC) Mustapha Ben Jaâfar, a estimé, lors de son intervention ce jeudi 4 mars 2021, sur Shems FM, que la constitution de 2014 n’est pas à remettre en question mais que c’est son application qui laisse à désirer.
Il a souligné que la question du changement de système politique a été abordée à l’ANC et débattue pour être enfin admis à la quasi-unanimité sur le consensus qui a conduit au système actuel.
« L’idée aujourd’hui est d’appliquer la constitution et de mettre en place les institutions constitutionnelles, après on peut avoir recourir au référendum si l’on veut mais pas sur un coup de tête, commençons d’abord par appliquer la constitution. Il ne faut pas juger la constitution alors qu’on ne l’applique pas et qu’on se donne pas le temps de la comprendre » a poursuivi Mustapha Ben Jaâfar.
Il a enfin conclu que la crise politique actuelle nécessite que les deux têtes de l’exécutif prennent le temps de discuter et qu’un dialogue plus large, celui initié par l’UGTT notamment, soit engagé autour des sujets centraux.
M.B.Z
Bien sûr que non. Ils finiront par suffoquer jusqu'à la mort!!!
La Tunisie souffre d'un long passé macabre sous les deux défunts dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Rien ne pourra plus réparer l'ancienne ferraille. Il faut tenir bon, jusqu'à ce que nos nouvelles générations prennent la relève.
On me raconte que la corruption en Tunisie est devenue pire qu'avant la Révolution du 14 janvier 2011. On me dit que pour transporter une marchandise de Ben Guerdane à Tunis, les agents de la Garde nationale et de la douane, te prennent plus d'argent, que la somme prévue pour les gains.
Avant, chez les deux dictateurs déchus, les Forces de l'ordre n'avaient pas droit à un syndicat, de la même manière d'usage chez notre armée, parce qu'il ne pourra y avoir de droits syndicalistes dans les domaines hyérarchiquement armés. Les inspections générales de la police, de la Garde nationale et de la douane, se trouvent dans le dilemme d'être attaquées et menacées de grèves, par de soi-disant syndicalistes, qui prétendent défendre les corrompus, bien qu'ils soient eux-mêmes enfoncés dans la corruption jusqu'au cou.
II faut interdire par la loi constitutionnelle, tout mouvement syndicaliste au sein de toutes les Forces armées de la République tunisienne, afin de redonner son efficacité hyérarchiquement disciplinaire à la démarche démocratique de la Tunisie. Je n'ai jamais de ma vie rencontré un policier allemand, me demandant de l'argent pour sa poche. Qui pourrait me faire la moindre comparaison en Tunisie, pour qu'on leur permette de nous détruire notre transition démocratique!!!
Monsieur Mostepha Ben Djaafar peut diagnostiquer les raisons du blocages de la bonne marche
de l'état car au passé il donne pas de médicaments sans procéder le motif et la causé du maladie .
Il n'y a pas une solution à la tragédie politico-socio-economique autre que de tout balayer. Recommencer en prenant la constitution de 1959 comme base. Toute la classe politique actuelle et les 225+ partis politiques doivent disparaître.
Il y a actuellement au moins 5 types de pandémies en Tunisie. Dépêchez vous de partir. Sinon, l'alternative risque d'être la rue avec un nouveau Robespierre et les Jacobins. J'espère qu'on arrivera pas jusqu'à ce point.
Achever le processus institutionnel en mettant en place cette Cour Constitutionnelle ou commission d'arbitrage composée de 12 membres patriotes, choisis certes par la présidence de la république, le CSM et l'ARP mais devant prêter serment d'ingratitude envers ceux qui les ont choisis;
"Ehlou mèkkè èdra bicheâbihè".
C'est avec des types comme toi qui ne savent pas faire la différence entre le bon grain et l'ivraie que notre pays ira à la dérive.
Les ***sont solidaires !
Pour un" militant" pour la démocratie, Ennahdha ne représente aucun danger, il s'est bien servi en sa compagnie.
Le retour au dodo est le mieux conseillé, des momies il y'en a déjà sur la scène et pas des moindres.
L'alliance actuelle entre le CDG et le chef de l'ARP, lui-même à la tête d'une alliance des contraires - kalb tounis Ennahdha - qui ne tient que par de petits calculs et sans projet, ne dure que confortée par le désir de vaincre l'ennemi qu'ils ont trouvé, le Président.
Soudés par leur amour du pouvoir et la recherche de la puissance capable de freiner ce dernier, ils n'avancent que dans cette visée n'ayant pas souci de leur devoir envers le pays.
Même si leur constitution est le fruit d'une haute intelligence, elle offre davantage l'exemple d'une déroute institutionnelle.
Ce serait plus intelligent si l'on veut servir le pays de l'amender ou d'en changer. On le voit, de même, concernant la Cour constitutionnelle impossible à voir le jour en raison du même motif, les petits calculs à la petite semaine.
Donc, un Parlement en échec, un gouvernement en panne après d'autres, des querelles sans discontinuer dans un pays qui s'enfonce chaque jour un peu davantage.
On serait bien avisé de s'en retourner devant les électeurs pour lever l'hypothèque ARP, devenue une présidence bis, ou première, font le titulaire en chef se prétend le tout, dicte ses volontés et s'avise à se hisser au niveau d'une figure centrale pour négocier, rencontrer au nom du pays sans en avoir mandat ni titre.
Si l'on ajoute ces éléments à l'appropriation des institutions par les islamistes, personne ne devrait parier sur l'avenir d'un tel pays en de telles mains.
Et, pourtant, beaucoup croient voir qu'en bricolant on verrait un jour la lumière alors qu'ils vivent dans l'obscurité totale pour ne pas dire l'obscurantisme.
Alors, une constitution qui désunit, n'empêche pas le cirque auquel nous assistons au quotidien est nulle.
Toutefois, on comptait sur toi pour les raisonner. En fin de compte, tu endossas le rôle du traitre dans toute sa splendeur.
Tu t'es vengé de ton passé en ne pensant qu'à ta tronche de cake.
Pour cela tu n'avais pas hésité à mettre toute une nation en péril. Tu vois pourquoi à la belle époque, tu te faisais casser dès que tu bougeais un poil. Pareil pour les dirigeants de l'ugtt.
Je comprends mieux beaucoup de choses après coup.
Je comprends pourquoi le Zaiem BOURGUIBA et ZABA avaient été sans pitié à l'égard des faux-culs et des traitres de ton espèce (les marzougui, abbou, toi, ghannouch, jbéli, laarayidh et tout le reste de la cour des miracles).
Vous tous, représentiez la vermine, la racaille, le déclin, les rebuts d'une Tunisie qui commençait à s'épanouir, malgré la présence des mafieux trabelssi.
Regarde dans quelle merde ta complicité a fait de la NATION..
Allah héhlikome.
Allah là i bérekilkom
Famma Rabbi ya bennjaafar.
La patience est une vertu. Ton heure viendra, ya ssakite !!!!!!!!!!!
Les islamistes n'existeront pas dans le futur .
Il suffit d'un référendum présidentiel et le peuple souverain décide de son Avenir .la révolte est en marche le peuple ne peut plus depuis 10 ans tous les jours un scandale de corruption 10% de la population vivent de l'arnaque et 80% vivote
Ecrit par A4 - Tunis, le 29 Avril 2017
La première a vécu, a fait ce qu'elle pouvait
En partant de nulle part, en partant de zéro
Elle a été écrite dans un style pas mauvais
Par des battants, des guides et de vrais héros
La première a vécu, ça et là trimbalée
A coup de grossières retouches et de mises au pas
A coup de nouveaux décrets très mal ficelés
Fêtés à grandes pompes, à coups de tabla
La première a vécu avant de suffoquer
Avant de rendre l'âme, rejetée, piétinée
Elle a dû renoncer, tout lâcher, abdiquer
Ne supportant plus d'être à ce point malmenée
Puis vint la seconde ... de naissance déformée
Rédigée à la hâte par des handicapés
Aux neurones inexistants ou ... bien abîmés
Aux petites cervelles vides ou ... sous-équipées
Persistons ainsi avec ces textes archi-nuls
Ecrits par des bornés à la vue étroite
Ecrits par des gugusses aux idées ridicules
Qui vont nous découvrir que notre terre est plate
Moi, je la voyais belle, roulant comme un bolide ...
Me voilà dans un tacot sans volant ni frein
Me voilà emporté par des idées stupides
Où hélas personne ne peut décider de rien
Laissons la rouler, la descente est glissante
Elle finira pour sûr, sans illusion ni frime
A la fin de sa folle course harassante
Immobilisée et raide au fond de l'abîme
Il est temps de jeter cette seconde version
Version bancale qui ne tiendra jamais la route
Pour malfaçon et défaut de fabrication
Pour débilité menant à la banqueroute
Vivement la troisième, rédigée par des "chefs"
Loin de tous ces incompétents de populistes
Une constitution n'est pas une simple greffe
C'est une affaire de chevronnés et spécialistes !
Cette constitution débile n'est toujours pas appliquée pour une raison simple: elle est inapplicable ! Tellement débile qu'elle est inapplicable !!!