Le président de l'Observatoire tunisien pour les droits de l'Homme, Mostafa Abdelkebir est intervenu mardi 1er octobre 2024 sur les ondes de Jawhara FM au sujet du naufrage d’une embarcation de migration irrégulière au large de l’île de Djerba.
L’invité de Hatem Ben Amara a déclaré que l'embarcation transportait entre 57 et 60 personnes, dont la plupart sont de nationalité tunisienne et deux sont marocains. Il a souligné qu'il n'y avait aucune personne de nationalité subsaharienne. Le voyage fatal a débuté quelques heures après minuit, dans la nuit du 29 au 30 octobre.
M. Abdelkebir a indiqué que le nombre de passagers dépassait largement la capacité de l'embarcation. Peu de temps après le départ, le bateau a chaviré, provoquant ainsi un drame. Selon M. Abdelkebir, les organisateurs, qui n'ont pas été retrouvés jusqu'à présent, semblent être des amateurs.
L'invité de l'émission "Sbeh El Ward" a fourni le bilan de ce naufrage : entre treize et seize personnes sont portées disparues, 32 personnes ont été sauvées, et quinze cadavres ont été retrouvés, dont un bébé de neuf mois, trois enfants de moins de cinq ans, trois mineurs et deux femmes. Ce drame a un bilan extrêmement douloureux, et il est à noter qu'une famille originaire de Sidi Bouzid a perdu la vie suite à ce naufrage.
Mostafa Abdelkebir a exprimé sa préoccupation concernant l'augmentation significative du nombre de personnes qui risquent leur vie dans ces embarcations mortelles. Le pourcentage d'enfants tentant la traversée de la Méditerranée est passé de 1% à 12%, celui des mineurs a été multiplié par trois, passant de 15% à 35%, et ce sont les jeunes qui représentent la part la plus importante, dépassant largement 60%.
Le président de l'Observatoire tunisien pour les droits de l'Homme a confirmé l'ouverture d'une enquête judiciaire par le procureur de la République près le Tribunal de première instance de Médenine, Fathi Baccouche. Le point de départ de ce voyage cauchemardesque est la plage El Hachani à Houmt Souk, plus précisément l'île de Ras R'mal. Cette île est une zone touristique ultra-sécurisée, ce qui explique l'absence de ressortissants subsahariens selon M. Abdelkebir, qui sont interdits d'accéder à cette zone. Les passagers du navire en question se sont fait passer pour des touristes venant découvrir cette île paradisiaque.
Après le naufrage, un passager a réussi à atteindre la terre ferme et s'est immédiatement dirigé vers une patrouille de police pour les informer du drame qui s'est produit, a déclaré Mostafa Abdelkebir, permettant ainsi de sauver 32 vies.
M. Abdelkebir a exprimé sa désapprobation quant à l'approche tunisienne de ce phénomène, la qualifiant d'approche axée sur la sécurité qui ne tient pas compte de l'aspect humain. Il a également rappelé que les forces de l'ordre ont arrêté 27.000 migrants irréguliers et non pas 61.000, comme l'avait indiqué le ministre de l'Intérieur italien Matteo Piantedosi, un chiffre exagéré selon l'invité de Jawhara FM, tout en révélant que le nombre d'arrivées clandestines en Europe a diminué de 60% cette année.
H.K
Une révolution ou des hordes hirsutes ou incinéré 80 banques leur appartenant et pillé des centaines de supermarchés au point de se retrouver sans victuailles.
Face à ces drames d'immigration clandestine qui sont devenus quotidiens, une étude anthropologique s'impose.
Celle-ci doit étudier les femmes en hijab d'un point de vue évolutif au sens Darwinien et établir un âge en millions d'années et situer ces êtres à l'échelle des âges préhistoriques
Depuis le Collège Sadiki nous savons que le bronze a été introduit 2200 années avant Jésus Christ et le fer environ 800 années avant Jésus Christ.
Ou les femmes en hijab se situent-t-elles sur ces échelles mesurant l'âge du monde ?
Probablement à l'âge de la pierre.
Il faut également procéder à des interviews des gueuses comme Siheme BS dont la tête évoque un artichaud bouilli et tenter de suivre leur raisonnement quand a recherche désespérée d'une démocratie dans un pays vieux de trois milles années moyennent des fonds aux origines obscures.
Il faut aussi ramener sur les plateaux Neila CH, fille d'un ancien ministre de Bourguiba, qui préconisait un bombardement du Palais de Ben Ali et de la Tunisie similaire à celui de George Bush en Irak afin de libérer le pays et créer une démocratie.
Il faut également ramener les beurres mal dans leur peau en France parce qu'ils souffrent d'une négritude légère (terme emprunté a Léopold Sédar Senghor) et leur demander pourquoi ils ont persisté à vouloir détruire la Tunisie.
Etaient-t-ils jaloux du train de vie des Tunisiens au temps de Ben Ali ?
Comment Mabrouka popom la virtuose de la révolution a-t-elle composé son hymne du sous-développement intitulé popom popom popom ?
Il est temps pour les Tunisiens de se comporter comme des scientifiques et de procéder à de telles études nécessaires à la compréhension des choses.
Le peuple VEUT la vérité a propos de sa pseudo élite !
JOHN WAYNE