Que Rahoui ne FAIT pas partie !
Merci d'avoir corrigé.
Maxula.
« En 2012 et 2013, la Tunisie était dans une situation insoutenable. Il y avait la menace de la Ligue de protection de la révolution, les assassinats politiques et les attaques terroristes, nos jeunes avaient été envoyés dans les zones de conflit et des prédicateurs religieux étaient venus. En 2014, il y avait le vote utile. Mais en 2019, il n’y en aura pas ! », a lancé le député du Front populaire et candidat du Parti des patriotes démocrates unifié (Al Watad) à la présidentielle, Mongi Rahoui.
Le parlementaire a également indiqué, lors de son passage à Express FM ce jeudi 22 août 2019 qu’une fois élu à la tête de l’institution de la présidence de la République, il présidera les réunions ministérielles et présentera à chaque occasion sa vision des choses avant toute prise de décisions.
« Malheureusement, le président de la République a une présence de façade. Ses prérogatives consistent à représenter la Tunisie à l’étranger, consulte le chef du gouvernement concernant la nomination d’un ministère des Affaires étrangères ou celui de la Défense », a-t-il aussi déclaré laissant croire à demi-mot que les prérogatives du président de la République sont assez limitées contrairement au chef du gouvernement.
Interrogé sur la question « Etes-vous favorable à l’idée d’un changement du régime politique ? », Mongi Rahoui a tout bonnement esquivé cette question et s’est contenté de dire que le réel problème se résume en fin de compte sur la nature des partis politiques.
E.B.A.
« En 2012 et 2013, la Tunisie était dans une situation insoutenable. Il y avait la menace de la Ligue de protection de la révolution, les assassinats politiques et les attaques terroristes, nos jeunes avaient été envoyés dans les zones de conflit et des prédicateurs religieux étaient venus. En 2014, il y avait le vote utile. Mais en 2019, il n’y en aura pas ! », a lancé le député du Front populaire et candidat du Parti des patriotes démocrates unifié (Al Watad) à la présidentielle, Mongi Rahoui.
Le parlementaire a également indiqué, lors de son passage à Express FM ce jeudi 22 août 2019 qu’une fois élu à la tête de l’institution de la présidence de la République, il présidera les réunions ministérielles et présentera à chaque occasion sa vision des choses avant toute prise de décisions.
« Malheureusement, le président de la République a une présence de façade. Ses prérogatives consistent à représenter la Tunisie à l’étranger, consulte le chef du gouvernement concernant la nomination d’un ministère des Affaires étrangères ou celui de la Défense », a-t-il aussi déclaré laissant croire à demi-mot que les prérogatives du président de la République sont assez limitées contrairement au chef du gouvernement.
Interrogé sur la question « Etes-vous favorable à l’idée d’un changement du régime politique ? », Mongi Rahoui a tout bonnement esquivé cette question et s’est contenté de dire que le réel problème se résume en fin de compte sur la nature des partis politiques.
E.B.A.