Le leader de Machroû Tounes, Mohsen Marzouk, est intervenu ce jeudi 16 janvier 2020 au micro de Zouheir Eljiss sur Jawhara FM.
Mohsen Marzouk a estimé que la situation actuelle de la Tunisie et les difficultés financières que rencontre le pays, pourraient mener l’Etat à ne plus être capable de verser les salaires.
« Si les choses se poursuivent ainsi, d’ici mars ou avril l’Etat ne pourra plus verser les salaires. Les salaires sont versés grâce principalement aux emprunts et c’est une catastrophe. Il faut que le nouveau gouvernement rompe avec cet esprit de jeux d’enfants et que les politiciens assument leur responsabilité en cessant de ne voir que leurs propres intérêts et qui ils veulent placer et où. Ce système politique doit changer car il ne peut mener qu’à la confusion. La situation doit impérativement changer et j’imagine que si elle se maintient ainsi c’est la rue qui va parler. Il n’y a qu’à voir ce qui s’est passé au Liban » a-t-il expliqué.
M.B.Z
Relancer l'investissement
Supporter la depense publique
Je trouve donc votre affirmation bien peremptoire
Le pays marche bien depuis 6 mois avec cinq ministre, donc on n'a pas besoin de 40 ministres.
On peut réduire le nombre de bureaucrates de moitie ou plus. On n'aura plus besoin d'emprunter en devises pour payer des salaires en dinars a des gens qui travaille une moyenne de 8 minutes par jour.
L'affirmation que les traitements et salaires sont payés par les emprunts est fausse et archi fausse car les emprunts sont destinés exclusivement au financement des investissements et aussi au service de la dette publique.
A préciser que les traitements et salaires sont financés par les ressources fiscales.
Monsieur Marzouk ferait bien d'apprendre à lire ce qui est écrit dans la loi de finances.
Pour 2020, les impôts rapporteraient à l'Etat 32 milliards de dinars alors que les charges des rémunérations publiques devraient s'établir à 19 milliards.
Pauvre pays dont le nombre d'ignorants est vraiment considérables.
Il ne donne pas de solutions, il fait le constat comme pourrait le faire n'importe quel journaliste. On a pas besoin de chroniqueur radio à la tête des partis politiques
D'une maniere generale la continuite du service public tunisien depend en majeure partie des lignes de credit consenties et ce depuis 2015
Plus grave encore des secteurs nevralgiques tels l'armee les structures securitaires la CPG la SNCFT la Transtu Tunis Air la STEG pourraient etre asphyxsies dans moins d 'un an
Hallucinant cette bande de clochards se pretendant responsables de l'interet general
On est dans la situation des annees 1860