Le ministre des Affaires sociales, Malek Zahi, a vivement critiqué, vendredi 14 octobre 2022, la polémique ayant suivi l’annonce de l’aide de soixante millions de dollars accordée par les Etats-Unis à la Tunisie via l'Unicef.
Au micro de Jihène Miled dans son émission Sbeh Ennes sur Mosaïque FM, M. Zahi a estimé que cette polémique a été orchestrée par « des parties pêchent en eaux troubles et œuvrent au profit d’agendas politiques connus ».
Et d’ajouter : « J’ai voulu éclairer notre peuple : nous sommes là pour la dignité, nous sommes attachés à nos principes, nous ne participerons pas à quelque chose qui pourrait porter atteinte ni à la dignité du peuple tunisien ni à notre souveraineté. L’aide internationale n’est pas une nouveauté, ni en Tunisie, ni dans le monde. Mais, cette aide américaine est fournie avec nos conditions, nos idées et nos programmes ».
Le ministre a, outre, martelé : « La Tunisie n’accepte la charité d’aucun pays et aucun pays ne peut occulter le rôle de la Tunisie ou donner des aides directes sans passer par les institutions de l’Etat. Les aides seront toujours accordées par les institutions de l’Etat et dans ce cas, le ministère des Affaires sociales et l’Instance générale du développement social ».
« Les vendus à l’étranger n'ont pas le droit de nous donner des leçons sur la dignité », a-t-il souligné. Et de poursuivre : « Toutes ces tentatives ne nous feront pas dévier de la voie du succès ».
Malek Zahi a, ainsi, expliqué que dans le cadre du soutien aux familles défavorisées et à revenu limité, le gouvernement a œuvré sur un programme national en coopération avec des Etats amis, comme l’Allemagne, les Etats-Unis d’Amériques ainsi que des organisations internationales de renom comme les Nations Unies et l’Unicef.
Le programme démarrera par le financement américain sur onze mois puis poursuivi par les propres ressources de l’Etat, a-t-il confié. Il visait, auparavant, les enfants de moins de six ans. Avec ce nouveau financement, la base d’enfants concernés a été élargie à ceux âgés entre six et 18 ans. En outre, l’allocation a été doublée de cinquante à cent dinars, sans être plafonnée.
330.000 enfants ont bénéficié de cette allocation, jusqu’à cette heure, a soutenu le ministre.
I.N
nos CONDITIONS !!!
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Les BouHilèl savent toujours ce qu'ils disent, Tbarkallah 3lih , je suis sans voix !
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Le patron prend congé de son employé : "C'est vraiment dommage que vous nous quittiez, Monsieur AMMAR. Vous étiez comme un fils pour moi : insubordonné, ingrat et jamais à court d'excuses".
ton gouvernement de machallah l'incapable est entrain de foutre la merde au pays....vous êtes des incapables et incompétents.....
Sans l'aide généreuse et les prêts étrangers l'état tunisien déposera les clés à la vitesse du vent.
Arrêtez démentir au peuple.
Depuis des décennies l'état tunisien croule sous la dette astronomique chiffrée en milliards de dollars.
Aujourd'hui, dans le pays, nous avons des milliers de familles dont les membres mangent un seul repas par jour.
La misère, pa pauvreté et la faim sont la première cause de mortalité.
Il appartient à un gouvernement qui ne parle que de dignité et de souveraineté mais qui court derrière l'aumône pour palier aux défaillances des finances publiques, la vérité c'est que la Tunisie fait partie des pays où les risques de famine et de chaos social sont parmi les plus importants au monde pour l'année à venir.
Ce qui va relancer l'économie tunisienne et sortir les tunisiens de la misère c'est le sérieux, la rigueur, le travail et le respect mais sûrement pas un peu plus de populisme.
C'est le prix du vote de la Tunisie au NU en faveur de la résolution condamnant l'annexion Russe.
Mais honnêtement vous auriez pu négocier un peu mieux.
Si on a assez d'amour propre, osons leur démontrer que si nous avons assez de cran pour foutre en l'air des salopards qui ont vendu le pays au "plus offrant", comme nous nous sommes débarrassés de Ben Ali et son RCD et sous peu, je l'espère de Ghannouchi, sa secte Ennahda et ses satellites inféodés, nous sommes capables de relever la tête et compter sur nos capacités pour s'en sortir.
'?a sera ça, notre véritable "révolution"...
D'un état où le Ministre d'Enseignement admets, que 150.000 élèves ne peuvent pas rentrer à l'école? De l'état qui n'est plus capable de fournir les matières premières pour nourrir ses citoyens? De l'état qui n'a même pas de crédit pour s'acheter du sucre ou de l'essence? Mais un état qui a un Président qui chasse les spéculateurs et fonctionnaires avec leur voitures de service avec la police. Alors - M. Zahi - vous avez tout-à-fait raison de refuser les 60 millions (ou milliards) de $..........