Le président français, Emmanuel Macron a promis, jeudi 5 décembre 2024, de nommer « dans les prochains jours » un Premier ministre chargé de former un gouvernement « resserré » et « d'intérêt général », après une censure née selon lui de « l'irresponsabilité » d'un « front anti-républicain ».
Ce futur chef du gouvernement, « je le chargerai de former un gouvernement d'intérêt général représentant toutes les forces politiques d'un arc de gouvernement qui puisse y participer ou, à tout le moins, qui s'engage à ne pas le censurer », a expliqué le président de la République dans une allocution aux Français prononcée au lendemain du renversement du gouvernement de Michel Barnier.
Un Premier ministre sortant remercié pour sa « pugnacité » et son « dévouement », mais victime selon le chef de l'Etat d'un « front anti-républicain », au sein duquel « l'extrême droite et l'extrême gauche se sont unies ».
Le futur gouvernement aura une « priorité » : le budget. Et si un nouveau budget devra être présenté en « tout début d'année prochaine », le président a affirmé qu'une « loi spéciale sera déposée avant la mi-décembre au Parlement », un texte qui permettra « la continuité des services publics et de la vie du pays ». Elle appliquera pour 2025 les choix de 2024, a-t-il ajouté. Plusieurs groupes d'opposition ont déjà promis de voter ce texte.
En réaction à la censure, le président de la République a assuré qu'il « n'assumera jamais l’irresponsabilité des autres, et notamment des parlementaires qui ont choisi en conscience de faire tomber le budget et le gouvernement de la France à quelques jours des fêtes de Noël ».
Ces derniers ont choisi « le désordre », a regretté le président de la République, fustigeant le « sens du chaos » de ceux qui « ne pensent qu'à une seule chose, l'élection présidentielle, pour la préparer, pour la provoquer, pour la précipiter ».
Le président a ainsi répété son intention d'accomplir son mandat « jusqu'à son terme » en 2027, alors qu'un nombre grandissant de responsables politiques évoquent sa démission.
Sans rentrer dans le détail du programme du prochain gouvernement, Emmanuel Macron a néanmoins demandé un « cap clair » pour « 30 mois d'actions utiles pour le pays », esquissant une feuille de route en estimant par exemple que « l'avenir » ne passerait pas par « plus d'impôts, plus de normes ou avec quelque laxisme face au narcotrafic ».
Il a également reconnu que sa décision de dissoudre l'Assemblée nationale en juin n'avait « pas été comprise », assumant « sa responsabilité ». Cette décision, « beaucoup me l'ont reprochée et je sais, beaucoup continuent de me la reprocher. C'est un fait et c'est ma responsabilité », a-t-il affirmé.
© Agence France-Presse
Je peux vous poser une question, qu'est ce qu'est une constitution ?
'? mon avis c'est une feuille de route sur laquelle repose un certain nombre de directives et des règles des textes juridiques que les autorités compétentes doivent prendre pour diriger le pays. ( en bref :et Globalement la synthèse de ce qu'est une constitution)
En ce qui concerne le reste de votre com.ne sont t que des péripéties d'un temps révolu moyenâgeux, d'une autre époque où régnait l'anarchie dépourvu d'hommes visionnaires et patriotes
Ceci lui permet-il d'agir ainsi, en dictateur ?
Une "bonne" constitution c'est exactement ça : technique, elle définit des rôles précis pour tous les pouvoirs en place et les circonscrit pour éviter tout abus de pouvoir par les uns ou les autres. C'est tout un organigramme ou on fixe des règles garantissant le changement du politique "par des outils démocratiques" et non par des chars !
Par ailleurs, les prérogatives du président en tant que chef suprême de l'armée sont normalement limitées à des cas extrêmes, qui ne sont pas sujettes à des interprétations, justement pour éviter l'anarchie et le chaos, déclarer la guerre par exemple ! Et non pour changer le système politique par la force d'une armée qui siège dans ses casernes.. il a juré sur le saint Coran et sur une constitution, aussi imparfaite qu'elle soit, qu'il la respecteta. Parjure et malhonnêteté. Si le prophète de l'Islam est tant aimé et qu'il a réussi à bâtir une religion, une omma, d'un rien, c'est tout d'abord parce qu'il est honnête, notoirement connu d'être "al-Amine" !
Quant à mon petit rappel de l'histoire, c'est pour vous dire qu'on ne risque guère une guerre civile, calmez-vous, ça fait des siècles qu'on n'est pas dans ce créneau là. Le danger vient justement de ceux qui veulent diviser un peuple qui ne l'est pas. Il y a une des révoltes, des putschs, des émeutes, mais pas de guerres civiles. C'est un grand mot que vous devriez pesé avant de le débiter !
Celui qui ne connait pas son passé est condamné à le revivre.
De tout temps en Tunisie, il y a eu des patriotes. Des gens qui l'aiment et la défendent. Une Tunisie ouverte sur le monde, tolérante, qui respecte tout le monde commençant par ses propres citoyens et qui est ainsi digne de respect et d'admiration.
Pour les Palestiniens la France est une grande ou mieux une TRES grande MERDE dans leur histoire..
Plutôt qu'en Tunisie ou en Algérie juste à titre d'exemple ?..
Tous les déshérités de la terre ont entendu parler de ce pays qui avec 4000 milliards d'euro de dettes et 60 milliards d'euro d'intérêts annuels à rembourser,continue à vouloir mener un train de vie royal dans les châteaux de la République,ceci pour ses principaux dirigeants et à distribuer allocations à tour de bras aux premiers venus,à la seule condition qu'il laisse la chariâ chez lui,ayant seulement pour vocabulaire: bonjour et merci.....
En deux mots,mchè el mèl kâad el hbèl et comme dans son discours d'adieu ,Collomb avait parlé en son temps d'une France non plus côte à côte mais face à face,Barnier n'a pas manqué non plus de pointer du doigt ce point (ce qui a d'ailleurs causé sa chute avec son passage en force du 49.3 sur le BUDGET)et cette FAILLITE qui attend la France inéluctablement mais qu'en attendant,bien des étrangers en profitent au grand dam des agriculteurs français et tant de petites gens de souche française qui n'arrivent plus à joindre les deux bouts................
Alors cherche autre chose.
C'est pire !....
Alors cherche aussi autre chose et occupons nous de notre misérable ARP et de notre fameux président avant de vouloir dire aux autres ce qu'ils doivent faire....
@lascar au vrai sens du terme !...
C'est une division du travail quotidienne de l'Occident avec les sionistes depuis 1948, n'est-ce pas ?
Les occidentaux ont enlévé leurs casques d´occupants rasistes, mais ils gardent bien leurs tetes de colonisateurs ..
Comprenez-vous encore cela ?
(Et comme tout bon tutu de chez nous, c'est encore et toujours de la faute des autres....)
Sur ce ... Bonne nuit, ce serait une perte de temps de continuer de parler à un mur....
Le PUTSCHISTE, il n'y pas un article où le cas KAIS SAÏED est sur la sellette !
Il a juré qu'il respecterai la constitution ?
Un cas flagrant monsieur Macron, président d'une veille et solide démocratie le voici en dictateur, à offert la gouvernance à une minorité à peine 5% du suffrage aux législatives,
Qu'en pensez vous messieurs tout le staff confondu de BN ?
COMMENT devrait il se conduire au vue du respect de la constitution.
Merci de votre attention pour une réponse claire merci encore.(el ouafi)
Et arrêtez votre discours de guerre civile, la dernière en Tunisie opposait Hussein Bey fondateur de la dynastie husseinite à son neveu Ali Pacha. Une lutte de succession au pouvoir au sein de la même famille, qui a ouvert la porte aux ingérences des Deys d'Alger et qui a entraîné tout le pays dans un état de délabrement qui a subsisté des siècles entiers après !
Jamais, la Tunisie n'a été depuis divisé, ceci est un discours nouveau, celui des apprentis sorciers irresponsables et jouant avec le feu : d'abord les fidèles et les mécréants, et maintenant les patriotes et les traîtres ! Avec ce ton, vous ne créez que des monstres, l'un encore plus terrible que l'autre !
Seulement LE COMPTE N'Y EST PAS et il ne le sera jamais durant ces 30 mois d'action dont il parle,il le sait,c'est pourquoi il commence à parler de la continuité de l'Etat et des Institutions tout en évoquant le droit que lui donne la Constitution pour les garantir,lui qui ne songe aucunement à démissionner ....
Alors,30 mois c'est long et prenons les paris qu'entre une rue qui va bientôt crier: Macron,Dégage! (+ de 60% de Français veulent déjà son départ)et son choix de rester au pouvoir plutôt que de subir la HONTE,à ses yeux jupitériens,d'une démission,il ne lui restera plus tellement le choix: Actionner cet Article 16 qui lui donnerait pleins pouvoirs,Mais en aura-t-il le COURAGE? That is the question.
Mieux aurait été donc prendre en otage l'assemblée nationale ou le sénat, comme le firent Trump et ses macaques au Capitole, winners et mauvais perdants.
Le courage c'est accepter la volonté des électeurs, même défavorable à ses intérêts personnels, ne pas tricher en changeant les règles, respecter ses adversaires (politiques) et garantir l'indépendance de la justice et des institutions républicaines supposées impartiales.
Lâcheté ou courage, à vos téléphones, votez !
Il n'écoute personne, s'entête à croire qu'il a toujours raison et se prend pour Jupiter.
A la fin, ça devient insupportable pour les français en premier lieu et pour les européens en deuxième qui finissent par le détester et par ne plus lui prêter attention.
Il y a déjà eu les "gilets jaunes", les manifestations contre le nouvel âge de départ à la retraite pour des millions de travailleurs, la troisième révolte prévisible contre une précarité grandissante lui sera sans doute fatale et il sera indubitablement évincé par la force.
Jupiter, rien que ça!
Plutôt un Rubempré ayant su comme tous les arrivistes se faire un nom au sein de son monde. Et il arriva.
Son ouvrage aura été sans hésitation le service de ceux qui l'ont fait. Et il faut bien admettre qu'il y aura réussi avec la force de conviction de celui qui "sait" et la force des LBD....détruisant toutes les institutions, les hommes au passage qui osaient le contredire.
Défigurer l'image de son pays est la cerise sur le gâteau, haleur, versatile et verbeux, il aura même rabaissé jusqu'à la fonction.
Il s'y accroche. Contre la vérité des urnes, il nomme un technocrate européiste issu d'un parti sue rien ne rattaché plus au gaullisme hormis les déclarations de ses édiles.
Il a rendu la vie difficile aux gens modestes.
Je lui prédis des temps très difficiles.
Jamais les Français te le pardonneront.