Bassem Loukil, patron du Groupe Loukil et président de Tunisia Africa Business Council (TABC), a tenu en ce jeudi 8 mars 2018, journée internationale des femmes, à adresser ses hommages aux tunisiennes.
« Une journaliste tunisienne a appelé à prendre les armes contre Ennahdha, sur Facebook !». C’est ce qu’a déclaré le président du bloc parlementaire d’Ennahdha, Noureddine Bhiri, ce mercredi 7 mars 2018. Sur les ondes de Rado Med, il a souligné le caractère dangereux du message qui serait pour lui synonyme d’un appel au meurtre.
Le secrétaire général du parti Machrouû Tounes, Mohsen Marzouk, a théorisé ce mardi 6 mars 2018 sur les concepts de vote utile, martelé lors des dernières élections législatives par le mouvement Nidaa Tounes.
Un document a été publié sur les réseaux sociaux attestant la contravention du candidat du parti Ennahdha aux municipales pour le gouvernorat de Sousse, Jawhar Laâjimi.
C’est un coup de gueule qu’a poussé l’universitaire Raja Ben Slama sur son mur Facebook le matin du 5 mars 2018. Elle écrit : « Arrêtez de diaboliser Ennahdha. Diaboliser Ennahdha est le programme de celui qui n’a pas de programme ».
Khadija Cherif, militante féministe et ancienne présidente de l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD) a réagi, dans une vidéo publiée sur la page Facebook de la Coalition Egalité Héritage, sur la question de la mise en place de la loi sur l’égalité dans l’héritage entre hommes et femmes.
L’élue Hager Ben Cheikh Ahmed a affirmé, dans un post Facebook, qu’elle est ni concernée, ni liée par les listes de l’Union civile, ayant gelé son adhésion au parti Afek Tounes mi-décembre dernier et ayant été écartée et exclue du parti contrairement à d’autres démissionnaires, qui ont pris part au dialogue et au vote.
Le journaliste et activiste dans la société civile Zied El Hani a accusé hier 28 février 2018 la députée de Nidaa Tounes Asma Abou El Hana d’inciter les protestataires à refuser les propositions conjointes du gouvernement et de l’UGTT pour une reprise des activités de la CPG.
Le racisme est un fléau. Il est certes, et au grand désarroi de tous ceux qui ont un minimum d’intelligence, un phénomène de société, mais devient plus grave quand il touche aussi les personnes censées représenter une autorité.