Le PDL a fermement condamné les pratiques de l'autorité en place visant à entraver les travaux du parti, à restreindre ses activités et à confisquer son droit à célébrer les fêtes et commémorations nationales comme il a toujours fait.
Dans un communiqué publié le 18 octobre 2021, le parti a dénoncé l'intention du président de la République, Kaïs Saïed, qu’il ne nomme plus désormais mais qualifie de « président du pouvoir établi », de mettre tous les partis et politiciens dans le même panier, entachant le rôle d’opposant qu’a joué le PDL au cours des dernières années. Il a également regretté que les efforts de son bloc parlementaire et son audace face aux manœuvres de Rached Ghannouchi soient reniés.
Le PDL a enfin appelé le « président du pouvoir établi » à fixer un délai pour la situation exceptionnelle et lever le flou que connaît le pays. Il a également appelé le chef de l’Etat à dissoudre le Parlement et convoquer des élections législatives prématurées pour permettre au peuple d'exercer sa souveraineté.
Le parti a appelé Kaïs Saïed à émettre une déclaration qui comprend les orientations générales et les politiques que le gouvernement prévoit de mettre en place, il a aussi souligné la nécessité de procéder dans l’immédiat au contrôle sur le déroulement des décaissements des prêts et des dons, sur l’exécution des budgets successifs et les raisons de l'interruption des grands projets, en plus d’ouvrir le dossier de la corruption dans le secteur agricole.
Le PDL a en fin exprimé sa préoccupation face à la politique étrangère adoptée par l'autorité en place, mettant en garde contre l'isolement de la Tunisie et son exposition aux dangers des conflits régionaux et internationaux pour en faire une carte aux mains des différents axes, ce qui rompt avec la politique étrangère de Bourguiba qui repose sur le maintien de la souveraineté nationale et des intérêts tunisiens dans le cadre de l'égalité et du respect mutuel.
M.B.Z
(organisme corrompu par la main des nahdhaouis)
.... Et ensuite, une fois ce problème résolu, nous pourrons envisager des élections PROPRES !...
La patience est une vertu.
Laissons Kaissoune oeuvrer à la profonde désinfection de masse qu'il a entamé.
et c'est, en attendant les élections 2024 qui doivent être inéluctablement sérieuses , transparentes et bien contrôlées , et ce sont les urnes qui vont décider et que le meilleur gagne, et notre vraie transition démocratique suit son cours normalement dans la civilité et le civisme productifs
Vas jouer ailleurs.
Au parlement durant presque deux ans, elle a tout fait pour semer le désordre sans que les services de sécurité présidentielles interviennent.
Donc on le voit depuis le 25 juillet c'est l'enfant chéri du nouvel ordre.
Malgré cela caprice d'enfant ou quoi, elle fait semblant de ne jamais être satisfaite.
Elle leurre les tunisiens.
Cela ne marche plus.
Elle ne réclame que des élections législatives alors que le bon sens ce sont des élections législatives et présidentielles libres et transparentes qu'il nous faut pour partir sur de bonnes bases.
De toute façon le président est crédité de plus de 80% d'intentions de vote selon les sondages donc à priori, il ne risque pas son fauteuil.
Mais ces élections auront le mérite de souder la population puisque l'urne tranchera entre les tunisiens .
Chacun doit respecter le résultat qui en découlera.
Je préfère une Abir Moussi élue démocratiquement à condition qu'elle respecte la constitution à un Kais Saied qui concentre tous les pouvoir et gouverne par décrets. A ce moment Saied est plus dangereux pour la démocratie en Tunisie que Abir Moussi. Bien sûr qu'il a laissé Moussi semer le chaos et détruire la réputation du parlement pour que lui s'approprie tous les pouvoirs et ils ont des soutiens communs, les émiratis.