| 27-10-2019 14:48
Je saisis cette occasion afin de présenter des idées d'un grand pédagogue allemand: Wolfgang Klafki,
https://www.studocu.com/de/document/ludwig-maximilians-universitaet-muenchen/bildung-und-schule-onlineseminar-parania/pflichtaufgaben/aufgabe-2quelle-ss19/5324017/view
Le parlement est par l'élection législative une projection des différentes tendances socio-économiques d'un pays. Et ainsi il faut définir/chercher tous les problèmes clés qui touchent à la majorité des Tunisiens par la représentation parlementaire ou même directement par des enquêtes, ce que Klafki appelle un noyau de problèmes clés commun à tous les citoyens. Et c'est ce noyau de problèmes clés qu'il faudrait réaliser prioritairement.
Et afin de garantir la réussite de la réalisation des problèmes clés de notre société, il faut en parler régulièrement à l'école (je propose une heure par semaine et même plus). Klafki nous propose même une définition de l'éducation dont le noyau/fondement sont les problèmes clés de la société'?'
Par contre personne n'a prétendu ou pourrait prétendre que l'on pourrait satisfaire les désires individuels de tous les Tunisiens.
Exemple de problèmes clés de la Tunisie :
a) la question de la paix sociale,
b) la lutte contre la corruption,
c) la question environnementale,
d) l'inégalité sociale,
e) l'autodétermination
f) Participation
b) la solidarité
etc.
J'insiste qu'il est temps de redéfinir le sens de l'éducation en Tunisie, et pour cela je propose de bien étudier les idées de Wolfgang Klafki. En effet, la lutte contre la corruption devrait commencer par l'éducation de nos écoliers du danger néfaste de la corruption, la protection de l'environnement ne peut être initiée qu'à l'école'?' Il faut revoir le fondement de la définition de l'éducation afin de pouvoir développer notre pays'?'
Je me répète: afin de garantir la réussite de la réalisation des problèmes clés de notre société, il faut en parler régulièrement à l'école (je propose une heure par semaine et même plus)
Jamel Tazarki
https://www.studocu.com/de/document/ludwig-maximilians-universitaet-muenchen/bildung-und-schule-onlineseminar-parania/pflichtaufgaben/aufgabe-2quelle-ss19/5324017/view
Le parlement est par l'élection législative une projection des différentes tendances socio-économiques d'un pays. Et ainsi il faut définir/chercher tous les problèmes clés qui touchent à la majorité des Tunisiens par la représentation parlementaire ou même directement par des enquêtes, ce que Klafki appelle un noyau de problèmes clés commun à tous les citoyens. Et c'est ce noyau de problèmes clés qu'il faudrait réaliser prioritairement.
Et afin de garantir la réussite de la réalisation des problèmes clés de notre société, il faut en parler régulièrement à l'école (je propose une heure par semaine et même plus). Klafki nous propose même une définition de l'éducation dont le noyau/fondement sont les problèmes clés de la société'?'
Par contre personne n'a prétendu ou pourrait prétendre que l'on pourrait satisfaire les désires individuels de tous les Tunisiens.
Exemple de problèmes clés de la Tunisie :
a) la question de la paix sociale,
b) la lutte contre la corruption,
c) la question environnementale,
d) l'inégalité sociale,
e) l'autodétermination
f) Participation
b) la solidarité
etc.
J'insiste qu'il est temps de redéfinir le sens de l'éducation en Tunisie, et pour cela je propose de bien étudier les idées de Wolfgang Klafki. En effet, la lutte contre la corruption devrait commencer par l'éducation de nos écoliers du danger néfaste de la corruption, la protection de l'environnement ne peut être initiée qu'à l'école'?' Il faut revoir le fondement de la définition de l'éducation afin de pouvoir développer notre pays'?'
Je me répète: afin de garantir la réussite de la réalisation des problèmes clés de notre société, il faut en parler régulièrement à l'école (je propose une heure par semaine et même plus)
Jamel Tazarki
