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Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique appelle les chercheurs à soumettre leurs rapports

Dans un communiqué publié jeudi 23 janvier 2025, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a invité les laboratoires, unités de recherche et chercheurs en Tunisie à soumettre leurs rapports d'activités scientifiques de 2024.
Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a demandé via un communiqué publié sur le site officiel du ministère, aux responsables, les laboratoires et unités de recherche de soumettre leurs rapports d'activités scientifiques réalisées en 2024. Ces rapports permettront au ministère de suivre les activités scientifiques, d'évaluer les performances des structures et de déterminer les financements qui leur seront alloués pour l'année 2025.
Les responsables des structures de recherche doivent s'assurer de l'exactitude des données saisies sur la plateforme, en particulier celles concernant les auteurs des publications scientifiques, qui servent à évaluer les performances et attribuer les primes d'encouragement. Les chercheurs et enseignants-chercheurs affiliés doivent vérifier que leurs productions scientifiques de 2024 y figurent et signaler toute omission à leurs responsables avant le 28 février 2025 pour mise à jour. Les non-affiliés doivent déposer leurs productions directement sur la plateforme dans le même délai.

H.K
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Commentaires
l'autre
Je ne sais pas si j'ai envie de rire ou de pleurer:la recherche Scientifique en Tunisie
a posté le 24-01-2025 à 09:44
Je ne sais pas si j'ai envie de rire ou de pleurer. Quelle recherche scientifique en Tunisie ? Sérieusement, combien d'entreprises ont été essaimées par les grands centres de recherche en Tunisie ? '? ma connaissance, le chiffre approche de zéro, et ce, malgré un financement assuré. Franchement, c'est du bricolage.
Il faut arrêter de payer du personnel sans rendement réel et sans retour sur investissement. Au moins, les enseignants-chercheurs assurent quelques heures d'enseignement, alors que ceux qu'on appelle "chercheurs à 100 % de leur temps" touchent un salaire sans aucun retour pour la société. La plupart des doctorants sont formés grâce aux cotutelles avec l'étranger ou grâce à des stages dans des laboratoires étrangers.
Une autre remarque : le ministère demande de lui fournir les rapports d'activités de 2024 afin de "suivre les activités scientifiques, d'évaluer les performances des structures et de déterminer les financements qui leur seront alloués pour l'année 2025". Nous sommes en 2025 ! Pourquoi ne pas exiger que ces rapports soient fournis avant la fin de 2024 ? Car une fois les rapports fournis et évalués, on sera déjà à la fin de 2025, alors qu'il s'agit de financements pour cette même année !
'?trange; Même au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, il n'y a aucune anticipation. '?trange, étrange'?' Ce n'est donc pas étonnant que les vraies compétences partent à l'étranger ! Pauvre Tunisie...
Il faut arrêter de payer du personnel sans rendement réel et sans retour sur investissement. Au moins, les enseignants-chercheurs assurent quelques heures d'enseignement, alors que ceux qu'on appelle "chercheurs à 100 % de leur temps" touchent un salaire sans aucun retour pour la société. La plupart des doctorants sont formés grâce aux cotutelles avec l'étranger ou grâce à des stages dans des laboratoires étrangers.
Une autre remarque : le ministère demande de lui fournir les rapports d'activités de 2024 afin de "suivre les activités scientifiques, d'évaluer les performances des structures et de déterminer les financements qui leur seront alloués pour l'année 2025". Nous sommes en 2025 ! Pourquoi ne pas exiger que ces rapports soient fournis avant la fin de 2024 ? Car une fois les rapports fournis et évalués, on sera déjà à la fin de 2025, alors qu'il s'agit de financements pour cette même année !
'?trange; Même au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, il n'y a aucune anticipation. '?trange, étrange'?' Ce n'est donc pas étonnant que les vraies compétences partent à l'étranger ! Pauvre Tunisie...
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