Le président de la mairie de Bizerte limogé par décret à la date du 28 novembre 2022, Kamel Ben Amara a indiqué qu’il continuait à exercer ses fonctions à distance. Il a assuré qu’il n’y avait pas de blocage au niveau de la municipalité.
Dans une déclaration accordée à Radio Monastir à la date du 25 janvier 2023, Kamel Ben Amara a expliqué qu’il avait choisi de travailler à distance afin de ne pas compliquer davantage la situation. Il a, aussi, indiqué que les serrures de son bureau avaient été changées.
« J'ai fait appel à la décision de démissionner. Le tribunal administratif devait trancher au bout de dix jours. Pour des raisons que je juge compréhensibles, le tribunal a décidé de demander à la présidence de la République les raisons derrière cette décision… Le tribunal administratif finira par trancher. Je respecte cela. J’exerce à distance afin de ne pas compliquer la situation… Ma vice-présidente a été attaquée par des agents municipaux et des syndicalistes… Ma vice-présidente avait limogé la secrétaire générale de la municipalité… Quelle que soit la décision du tribunal, je la respecterai », a-t-il déclaré.
Selon lui, la vice-présidente a été attaquée et on l’a obligé à signer certains documents. Elle a été séquestrée durant trois heures dans son bureau. L’incident a eu lieu à la date du 23 décembre 2022. Il a indiqué qu’on tentait de lui porter atteinte. Il a, aussi, précisé que le Conseil municipal continuait à fonctionner correctement.
S.G
Ceux qui continuent à lui verser ses honoraires, en supporteront probablement la charge.
Et le 8 février n'est pas simplement une commémoration.
Toutefois tant qu'il s'agissait d'une injustice vécue par la Tunisie, c'est toujours une résistance de part des martyrs à commémorer dignement et non pas faire fi comme cles nahdhaouis qui n'a aucun nationalisme à l'instar de nahdha et particulièrement ghanouchi et Ali larayadh.
Le pouvoir exécutif limoge un élu du peuple.
Quelle offense au peuple et à la constitution de 2014 !!!
C'est le summum de l'absurdité.
Saied n'est pas seulement dans l'illégalité, il est plutôt hors la loi.
D'ailleurs, je me demande comment il fera, comment il répondra, et comment s'en sortira une, de son propre merdier, fois son immunité levée.
Gérer un pays par décrets nous renvoie au moyen âge.
Et puisvcest un léches-bottes de nahdha de premier ordre. Kamcha himmal.
Et non les intrus à Bizerte et léche-bottes de nahdha.
Plusieurs villes ont subi la même arnaque par nahdha en 2011.
Et comme il a fait appel devant le tribunal administratif, on peut se demander si l'argument de la légalité tient.
En effet, si l'appel est suspensif, et de ce fait il serait dans son droit; dans le cas contraire, nul argument ne peut justifier sa posture sinon la volonté de faire du buzz et de se conduire en petit potentat comme un propriétaire dans son domaine.
Ses partisans islamistes qui nous content le récit d'une dictature seraient bien avisés de déconsidérer ses dires et ses actes.
Voilà le magistrat d'une ville qui se croit en son fief.
Nous sommes habitués à ces modes opératoires de la part des affidés de la secte.