S'exprimant le 10 novembre 2024 lors de la plénière dédiée au projet de loi de finances 2025, le chef du gouvernement, Kamel Maddouri a annoncé l'entame d'une révolution législative dans le cadre d'un grand atelier portant sur l'intégralité des secteurs économiques, sociaux, culturels et éducatifs.
Kamel Maddouri a indiqué que cette révolution se traduira par l'élaboration de plusieurs textes portant sur l'investissement, le commerce électronique et le développement du domaine de l'État visant à faire des biens de l'État un levier de développement économique et social.
Le chef du gouvernement a, également, évoqué la finalisation de projets de loi portant révision du code des eaux, du code des mines, du code des combustibles et un autre portant promulgation du code des énergies renouvelables. D'autres projets de loi ont été mentionnés par le chef du gouvernement. Ils portent sur la concurrence, les prix, les biens maritimes publics, les dettes des caisses sociales, la couverture sociale, les personnes en situation de handicap, l'environnement, les structures sportives et l'éducation ou encore le code du travail.
Kamel Maddouri a assuré que l'État social était l'État reposant sur un ensemble de droits sociaux, économiques et culturels et non l'État des aides et des subventions. Il a, à cette occasion, évoqué l'élargissement du champ d'application du système de la protection sociale et l'amélioration des services médicaux. Le chef du gouvernement a mis l'accent sur l'importance de la mise en place des réformes permettant de concrétiser les objectifs de cette révolution législative affirmant que la Tunisie traversait une phase historique en raison des occasions qui se présentent devant notre pays depuis le 25 juillet 2021.
Kamel Maddouri a évoqué l'adoption d'une vision stratégique portant sur la complémentarité entre les secteurs public et privé et à faire de la Tunisie une destination attractive pour les investisseurs. Ceci est possible, selon lui, à travers l'amélioration du climat des investissements ce qui permettra de créer des emplois dignes et durables et de répondre aux attentes sociales et économiques des citoyens. Dans ce contexte, le chef du gouvernement a affirmé que la projection de croissance pour 2025 de 3,2% était un objectif ambitieux mais réaliste. Il a ajouté que cette projection tient compte des contraintes et des pressions financières publiques, des facteurs extérieurs, des changements climatiques et de la volonté de compter sur les propres moyens et ressources de l’État.
Il a assuré que la création d'un État social était la priorité du gouvernement et du président de la République, Kaïs Saïed qui a défini les bases de cette approche à travers l'attachement à la lutte contre la corruption considérant qu'il s'agit d'un obstacle au développement du pays. Kamel Maddouri a considéré que les fonctions exécutive et législative devaient adopter une loi de finances pour l'année 2025 équilibrée et permettant d'atteindre les objectifs définis.
S.G
Je suis curieux de lire ses prochaines lois , mais dans mon rapport il n y a jamais eu de justice social car c est concept socialo communiste pour permettre au feignants de vivre sur le dos des travailleurs , car en Tunisie il y a du travail mais personne ne veut que son fils yazizou ne travail pour ramasser les zitounes ou dans le batiment .
Son azizou adorée on lui donne 10 dinars par jour pour internet un café 3 cigarette et son chapati et direction uporn mais faut pas qu il travaille
Cordialement,