Commentant la dernière décision du président de la République Kaïs Saïed relative au changement de date de la fête de la révolution, l’amiral Kamel Akrout a indiqué, ce jeudi 2 décembre 2021, lors de son passage sur les ondes d’Express Fm, que la priorité de la Tunisie n’était pas dans le changement des dates, mais dans les décisions stratégiques capables de mettre un terme au désespoir qui ronge les Tunisiens.
L’amiral Akrout est revenu sur la lettre qu’il avait adressée au président de la République à propos de l’activation de l’article 80. Il a assuré qu’il ne l’avait pas appelé à agir comme il l'a fait et à s’emparer de tous les pouvoirs, mais à mener des concertations avec le conseil de sûreté nationale. “Nous étions optimistes au lendemain du 25-Juillet. C’était une opportunité pour entamer les réformes et reconstruire, mais le pays attend encore les changements stratégiques”, a-t-il dit, ajoutant “qu'il ne faut pas oublier ce que le Tunisien a vécu avant le 25-Juillet ”.
Par ailleurs, il a appelé à ne pas impliquer l’institution militaire dans les tiraillements politiques, estimant qu’il était temps de rétablir l’indépendance des pouvoirs et éviter la diabolisation.
D’autre part, il a assuré qu’il existe plusieurs pressions sur le président de la République, aussi bien à l’échelle nationale que par les bailleurs de fonds, estimant qu’il est nécessaire de mettre en place une feuille de route et de fixer une date limite aux mesures exceptionnelles, tout en envisageant l’avenir selon une approche participative.
S.H
Pas de retour à d'avant le 25 juillet.
Cet Amiral à la retraite Akrout, nous joue au marin "Popeye" de la politique tunisienne. Il est en lutte vitale contre ses adversaires les "Brutus" ou les "Timothée" d'Ennahdha, qui se sont emparés de sa bien-aimée "Olive Oyl" du pouvoir. Il s'est bien frotté les mains après le 25 juillet dernier. Mais néanmoins, il a trop attendu en vain pour être appelé par le président Kaïs Saïed, à revivre de ses cendres de la retraite.
Kamel Akrout, qui ne trouve aucune honte de faire usage de son titre militaire, dans une vie politique de civils, où il n'y a ni hiérarchie ni respect pour quiconque, nous fait maintenant la même "Nawèha" que ses acolytes le couple Abbou, la Zalèma moussi et tous ceux qui ont pensé trouver du miel, en mélangeant la marmite du président Kaïs Saïed, avec leur doigt.
Ce qui m'encourage à ne pas trop m'attaquer à ce putsch du président Kaïs Saïed, du 25 juillet dernier, c'est évidemment l'honnêteté de sa répudiation de tous les faux-jetons, qui le prenaient pour leur moyen de réussite contre leurs adversaires d'Ennahdha, en dehors des urnes électorales. Et si on ajoutait à cela, sa lutte acharnée contre la corruption et l'injustice au sein de la Justice tunisienne, qui ont gangrené tout l'avenir des Tunisiens et de leur nouvelle démocratie, que me reste-t-il donc pour ne pas aimer le président Kaïs Saïed, sans pour autant que je ne sois obligé de m'abstenir à dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité au sujet de son coup d'Etat du 25 juillet dernier!!!
Allah yostir Tounes.
Nous étions...
Nous c est qui
Nous ne veux pas impliquer.....