Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, ce mardi 22 juin 2021, Ridha Chiheb Mekki, surnommé « Ridha Lénine », au palais de Carthage.
La rencontre a permis d’aborder des questions relatives à la situation générale du pays, ainsi que les visions envisagées depuis plus de dix ans et dont les évènements qui se sont succédé avaient prouvé qu’elles étaient en adéquation, non seulement avec la situation en Tunisie, mais aussi dans le monde entier.
A cette occasion, d’autres questions ont été discutées dont celles relatives au régime politique et au mode du scrutin et qui n’avaient pas répondu aux aspirations du peuple tunisien.
S’adressant à son « ami » avec qui il a partagé les projets, les visions et les difficultés durant sa campagne électorale, Kaïs Saïed a indiqué « Nous avons persévéré, et nous n’avons pas renoncé à nos rêves et ceux de notre peuple. Je sais que le temps passe, et il y a certains qui manipulent le temps pour épuiser cette force et faire échouer notre projet, mais le destin de l’humanité changera durant les prochaines décennies. Les obstacles étaient nombreux, plus que je ne l’avais envisagé. Ils provenaient de l’intérieur des institutions. Certains considèrent que la politique est un métier qui consiste en des manœuvres, des transactions et des régularisations. La politique est une idéologie pour servir les citoyens selon leur propre volonté », souligne –t-il, en rappelant son projet relatif à la gouvernance locale.
Et d’ajouter: « Aujourd’hui, au lieu de se pencher sur les problématiques et tenter de les résoudre, ils créent la crise et essayent de la gérer ! La gestion de crise est devenue un outil de gouvernance ».
Le chef de l’Etat a noté qu’il n’a pas présenté ses initiatives à cause de la succession des évènements allant des différents blocages au niveau de la formation du gouvernement jusqu’à la crise sanitaire. Il a assuré que "des parties tentent juste de gagner du temps".
S.H
En Tunisie, le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté
J'ai toujours une grande pensée pour Chokri Belaid, Mohamed Brahmi et les autres, voilà la démocratie des islamistes, depuis 2011 ils sont au pouvoir, ils ont fait quoi pour le peuple Tunisien , voilà la démocratie des islamistes, ils ont giflé, humilié, rabaissé, insulté la femme Tunisienne merci ABIR MOUSSI preuve à l'appui , on pourra pas dire le contraire, en 2011 je me suis fait roulé dans la farine comme beaucoup des Tunisiens et Tunisiennes par la religion, Aujourd'hui j'ai compris leur stratégie, mes chers -ères compatriotes le 27 février 2021 ça vous rappelle rien , ils faut toujours défendre les plus démunis pas comme certains, ils savent juste la haine envers les autres, parce que ils ont toujours un problème d'infériorité, par exemple dans leurs têtes un musulman où une musulmane en France ne deviendra jamais un élu de la république française, il y a 1 million des compatriotes tunisiens et tunisiennes en France, les 2/3 sont franco tunisiens on doit les appeler harki comme le facho qui réside en Allemagne, il admire hitler , il est content quand il y a un attentat surtout en Europe
Le pauvre président Kaïs Saïed, s'est trouvé entre l'enclume de ce Mafieux Ridha Lénine et le marteau du couple mafieux des Abbou, sous la couverture de la sorcière Nadia Akacha. Le frère de Kaïs Saïed, Naoufel Saïed joue au joker et fait tout son possible pour écarter l'épouse de Kaïs Saïed, Ichraf Chebil, parce qu'elle est plus honnête, que de faire leur jeu de Mafieux putschistes. La première Dame de la Tunisie est un juge. Elle est habituée par le respect de la population, de par ses compétences dans la Magistrature. Elle n'a pas besoin d'une saleté politique, pour s'emparer d'un pouvoir sur les cadavres des autres.
Ce qui demeure toutefois totalement incompréhensible, c'est que le président Kaïs Saïed, ne trouve aucune honte de rencontrer un tel nullard des milieux souterrains, comme ce Ridha Lénine.
C'est incroyable, mais c'est vrai!!!
Actuellement, il y a un problème au parlement : des partis plus ou moins représentatifs, pas très honnêtes, font ce qu'ils veulent'?' Et il devient nécessaire et urgent de limiter le rôle des partis dans le fonctionnement de cette assemblée.
Donc, le constat est clair : le scrutin législatif actuel (proportionnel au plus fort reste) est inadapté.
Autre constat : les électeurs forment, à peu près, une population tripolaire, avec trois pôles antagonistes :
'?' 24 % des électeurs votent à un premier parti et jamais au second,
'?' 16 % des électeurs votent à un deuxième parti et jamais au premier,
'?' Le reste, soit la majorité des électeurs, ne votent jamais à ces deux partis.
Donc une piste vraiment sérieuse serait d'adopter un scrutin plurinominal majoritaire à trois tours aux élections législatives.
De plus, ce mode de scrutin garantit, in fine, au bout du 3ème tour, que les candidats élus soient tous élus par une majorité d'électeurs. Ce qui est un des buts ultimes de toute élection. Et cela permettra de vraiment renouveler l'ARP.
On en reparlera !
Résultat, pour le régime libyen, après 40 années de règne de main de fer sur fond d'un système politique utopique et rejeté par toute la planète, une fin tragique pour le maître absolu Kadafi et l'éclatement de la Libye en mille morceaux. Donc ne faut-il pas en tirer la leçon ?
Enfin de grâce sauvons le pays des mains de ce farfelu et des Khouanjias sinon nous aurons des jours beaucoup plus sombres que ce qui s'est passé en Libye pour la simple raison que nous tunisiens nous n'avons pas du pétrole pour au moins nous nourrir.
La situation de la Tunisie fait pleurer "TOUNES 7ALHA IBAKKI" réellement avec cette racaille qui est sorti le 14 janvier 2011 dont on sait d'où ?
Dans le contexte actuel de la Tunisie, faire croire aux gens que le mode de scrutin actuel fait élire des corrompus et qu'un autre mode de scrutin ferait élire des vertueux en Tunisie est d'une naïveté déconcertante.
Les pays les plus transparents au mondes, les pays scandinaves sont tous des démocraties parlementaires.
Une constitution faisant la part belle aux partis montre son inefficience par l'instabilité récurrente.
Elle favorise les ententes et les ralliements, y compris les combines, ce qu'on peut constater.
On peut noter, aussi, qu'elle n'est pas respectée en premier lieu par ceux-là mêmes qui l'invoquent contre le Président.
On peut relever que les domaines réservés comme la politique extérieure ont fait l'objet d'assauts et un certain Ghannouchi s'est cru Vizir rencontrant ministres, organisations et lobbies et a même couru pour obtenir audience auprès d'un '?mir ou a rêvé de se voir l'égal de quelque président étranger.
L'assemblée, chambre unique a été conquise dans des conditions qui interrogent et se trouve désormais captive d'un camp et organisatrice de coups dans le seul objectif de fragiliser toutes les institutions pour dominer seule.
On en est là.
Alors, pour arbitrer, faute d'avoir réussi à tuer l'autre, on s'avise soudainement qu'il faut installer une cour constitutionnelle dont on s'est évertué à faire avorter
l'émergence jusqu'alors pour avoir le champ libre.
La voilà devenue essentielle et nécessaire et vite.
Tout cela est le fait de gens qui croient incarner la démocratie.
Chacun voit, sait qu'ils sont opposés et même ennemis, dans le principe, au pluralisme.
Et puis, une constitution qui échoue, qui se révèle incapable de garantir la stabilité et la paix civile, est une constitution mauvaise.
Elle doit être amendée, ou réécrite. Ce n'est pas un texte religieux, elle est au mieux un texte de compromis situé.
Le Président, dans ce pays, doit avoir des pouvoirs de nature à arbitrer dans les décisions, puisqu'on a un parlement unicaméral.
Si. Le parlement est tout puissant, comme c'est le cas, le parti qui y domine devient le monarque. Il fait et défaut gouvernements et ministres. Nonobstant, toutes les transgressions et les noyautages qui font de l'intérieur, de la Justice, et d'autres institutions des repaires pour les fidèles et agents du parti dominant au parlement.
Si tout cela ne suffit pas pour convaincre de mettre des limites à ces dérives, c'est qu'on est aveugle, partisan ou simplement de mauvaise foi.
Alors, cessons de faire croire qu'on est en démocratie.
Sur le papier, peut-être.
Dans les faits, le pays est victime d'une mainmise d'une mouvance, d'un clan, sur tous les instruments de pouvoir.
Et son échec est patent et gravement attentatoire à la vie sociale, économique et politique. Donc, négatif pour les citoyens.
Ce sont des constats.
Pas des prédications ou des inventions.
Et, puisque les comparaisons sont de mode, comparez la vie des gens aujourd'hui avec celle qui était la leur encore en 2010.
Et, n'allez pas encore nous entonner la ritournelle bien rodée de faire à croire que l'on regrette je ne sais ou je ne sais qui.
On parle des faits.
Et, en la matière, c'est assez difficile de les nier.
Quoique !
"..Il y a la Constitution, et il y a aussi le programme sur lequel le Président a été élu."
eh ben son excellence n' a jamais publie' un programme !! finalement et c' est dramatique on ne peut pas le juger sur ce sujet !!!
Il a ete' elu par une aberration du marketing:
- faute de mieux (ou de pire) .
- il parle en disant tout et son contraire avec des references medievales ( genre la mule qui a trebuchee' en Irak...alors que la caravance est quasiment aneantie a Kairaouan..) , Moutanabi et autres poetes ante-islamiques
-contrer mr. macarouna.
- les islamistes ont mise' sur un cheval imprevisible et peu docile. Adieu vaches,veaux , et hlalifes.
Bref tout ca caresse le peuple dans le sens du poil..et ona eu un elu par defaut.
aménagements, des modifications de la Constitution.
Naturellement, ces apports doivent être votés car le président n'a pas pouvoir de décréter.
Or, on le voit bien, ce parlement est aux mains de certains qui ont bailloné toute opposition.
Y compris par les méthodes les plus contraires aux pratiques démocratiques. Par l'achat, le ralliement sous contrainte ou encore la guerre ouverte comme c'est le cas face au PDL qui refuse la soumission.
Aucun espoir de voir les choses évoluer qu'elle que soit le vote des citoyens. Et, l'on refuse même le référendum arguant de soupçons ou d'accusations de volonté de retour à la dictature.
En vérité, la dictature est là.
Un Parti qui dispose de 52 députés règne sans partage sur une assemblée de plus de 217 députés si je ne me trompe.
Cette domination est monnayée, obtenue contre les sauf-conduit ou les risques encourus pour les récalcitrants.
On parle de "montage de dossiers", on peut y ajouter les dossiers disponibles dans les archives de l'intérieur datant de Ben Ali ou constitués après.
La chose est confirmée par la récupération de caciques du RCD à qui l'on offre des postes de conseillers ou des places dans les administrations stratégiques telles la Justice et l'intérieur.
C'est ce qui peut nous permettre de comprendre la raideur d'une certaine police et les usages d'une certaine justice que chacun voit.
La corruption est généralisée, le déni de justice plus avéré que sous la fameuse dictature qui sert d'argument facile pour mettre sous voile ce qui se déroule sous nos yeux.
Terroristes franchissant les frontières libres, des fichés S soutenus par des députés pour ne pas subir les contrôles et circuler librement. Et, lorsque la police intervient le député l'insulte et lui montre que le pouvoir c'est lui. En effet, il ne fera l'objet d'aucune poursuite.
Belke démocratie qui autorise ses soutiens à faire la leçon à tout le monde, y compris au Président.
Je crois que la prudence consiste à savoir d'où l'on parle. Et, mesurer ce qu'on engage lorsqu' on ne veut rien voir.
Je nous souhaite d'autres politiques et un autre moment historique.
En quoi ce Mr. Ridha alias Lenine represente le peuple ou ne frange importante de celui-ci ?
A t- il ete' elu ? non ..pas du tout.
Represente t-il un parti, une association , une ONG ? non , a ma connaissance.
Cette rencontre aurait pu se tenir entres amis..et en fait n' interesse pas les citoyens qui vous ont elu et qui payent votre salaire.
Allez plutot recevoir , entre autres, une composante qui a ete' elue , et je fait ici reference a Mme Moussi , ou pleins d' autres., et la je vous laisse le choix.
Recevez ceux qui ont du poids, ou ceux qui excellent par leurs experience et leurs realisations.
Mais ceux qui regardent le pays comme un laboratoire et veulent y tenter des experiences incertaines....la les bras m'en tombent.
Et puis ces monologues dans une langue figee', sclerosee'..la fameuse fossha.
Vous y passez plus de temps a chercher le bon mot, la sourate qui va avec, surveiller la grammaire, faire gaffe a eviter le francais ou anglais car le mot en arabe ne vient pas....et c' est un excercice de rhetorique ardu et vain. Donc inefficace et qui vous essoufle tout en irritant ceux qui vous regardent.
Parlez nous plutot en derja polie et efficace, evitez les "Ont", "Eux", "Les autres".. , et autres attributs opaques..je ne vous comprend pas quand vous parlez. C'est l' abc de la communication, et vos conseillers vous le diront .
C' est un monolgue raye' et vain..Montrez nous ce que la partie recue par vous pense? c' est un echange dans les 2 sens.
Y a t-l une conclusion, un starting point , une divergence..on ne sait et on ne saura rien.
Ce referer au peuple..cela a bon dos...ce dernier ne s' exprime pas unanimement , car il y a des groupes, des classes, de priorites qui changent et divergent , voire s' opposent d' un individu a un autre.
Ceci mis a part qu'un individu peut apres discussion ou mise a jous changer , et donc ce qu' il veut aujourd' hui demain il ne veut plus entendre parler (et inveresement).
Par ailleurs les defis, et la il faut voir , mais pas disserter:
- Defi immediat: Covid-19 , arretez l' hecatombe et agir.
- Defis a court terme: revolution numerique, reforme de l' administration et de l' education pour stimuler l' economie. ( et donc indirectement le social), re-nouvellement du modele economique...etc.
- d' autres defi : l' apres Covid, la mise a jour de nos institutions, reforme fiscale, laicite' de l' etat...etc, etc.
Monsieur le president vous vous focalisez sur le droit ..et vous avez oublie' le reste..
Bref on attend.
Méskinè Touness.
La démocratie parlementaire est la meilleure forme de démocratie au monde, la majorité des pays démocrates et prospères ont une démocratie parlementaire. La démocratie directe par referendums peut apporter un plus et elle n'est pas contradictoire a la démocratie parlementaire, la Suisse par exemple utilise des referendums au sein d'un système parlementaire.
Le peuple a élu Kais Saied sur la base de la constitution de 2014, il n'a pas élu un roi ou un empereur. Il y'a un problème dans le système hybride, il faut le changer selon les mécanismes de la constitution. A mon avais Nahdha devrait coopérer avec les autres blocs pour aboutir à un système purement parlementaire. Abir Moussi par exemple devrait avoir intérêt à un système parlementaire, comme une femme elle n'a aucune chance de devenir présidente dans une société patriarchale.
Un système présidentiel est une menace pour la démocratie en Tunisie. Allh yahdih Marzougui, c'est lui et le CPR qui nous ont pondu ce problème en s'opposant à un système purement parlementaire.
Sur un nuage notre P.R !!