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Kais Karoui : Saïed est notre exemple et il est contre la violence
16/10/2019 | 21:40
2 min
Kais Karoui : Saïed est notre exemple et il est contre la violence

 

Kais Karoui, membre bénévole pour défendre le projet du nouveau président de la République élu, Kaïs Saïed est intervenu, ce soir du mercredi 16 octobre 2019, sur le plateau de la chaîne El Hiwar Ettounsi, assurant que Kais Saïed est l’exemple de tous ses soutiens et que ce dernier a fait part de son refus catégorique de toute forme de violence.

 

« Tout le monde s’accorde sur la qualité de certains services publics qui ne répondent pas aux aspirations des citoyens, mais cela ne doit pas être un prétexte pour la violence contre quiconque. Kaïs Saïed est notre président et il a bien fait part de son refus de toute forme de violence », indique Kais Karoui.

 

Par ailleurs, il a indiqué que Kaïs Saïed doit adopter le projet de « la nouvelle construction ».

« Kaïs Saïed doit mettre ce projet sur papier, parce que finalement, nous soutenons un projet et non une personne pour sa personne. Les personnes vont, seules les idées restent. Après la révolution, nous avons espéré dépasser la démocratie représentative et aller vers une démocratie participative. Le modèle classique a démontré ses limites. En 2011, on est parti dans une démocratie représentative déformée faite sur mesure pour certains partis comme Ennahdha. Ce système sert les partis ayant de grands moyens pour financer des campagnes électorales dans 33 circonscriptions », assure-t-il.

 

Il a, également, que leur programme était un rêve et qu’il faut faire de ses rêves une réalité. «  En 2014, la candidature de Kais Saïed était envisageable, mais je lui ai déconseillé de le faire puisqu’il y avait cette bipolarisation de la scène politique entre le courant islamiste et celui progressiste. En 2019, je lui ai demandé de se présenter aux élections tenant compte de la conjoncture favorable à sa réussite ».

 

S.H

16/10/2019 | 21:40
2 min
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Commentaires (18)

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zilos
| 17-10-2019 17:36
très riche voire instructif , d'habitude par peur je n'intervient jamais ,cette fois j'ai hésité et j'ai gagné ,car j'ai communiqué avec une bonne personne , très honorable .respectant autrui
merci

EL Ghoudi
| 17-10-2019 16:37
si kaies Karoui, propose a notre président de la république pour ses services de conseillers de prendre Madame ,mariam belkhadhi,comme porte parole,90% des tunisiennes et tunisiens vont te féliciter,Bien sur si elle accepte.UNE GRANDE R'?F'?RENCE INTERNATIONAL.

Mansour Lahyani
| 17-10-2019 16:12
K. Saied est sans doute contre la violence, qui ne fait pas partie de l'arsenal ordinaire de l'universitaire - mais les gens qui sont derrière lui, et parfois même devant lui, à un tel titre qu'ils semblent être à sa place, eux, ne connaissent pas d'autres langages que la violence ! Ils s'en sont servis sous le règne de la troïka, et ont fait des merveilles : souvenez-vous des exploits trop vite oubliés de la Ligue de Protection de la Révolution et de ses héroïques prestations de l'époque Larayedh et Marzouqui !!! Ce Ka'?s Karoui, qui n'est certainement pas très Nabil est bien trop velléitaire de la défense de l'autre Saied pour nous rassurer...

zamharir
| 17-10-2019 13:33
L'intolérance, c'est la négation de l'Autre, l'exclusion. Or je n'exclue aucun langue étrangère du paysage linguistique de la Tunisie, mais je ne voudrais pas que la langue nationale du pays, selon la Constitution, l'arabe donc, soit exclue des média, des relations sociales et de la rue. J'aimerais que les Tunisiens, peuple ouvert, s'il en est, excellent dans autant de langues étrangères qu'il leur est possible de maîtriser, et qu'ils les parlent correctement, sans cependant piétiner leur langue nationale. C'est le seul objet de mon intervention. Quant à la langue des signes, cela reste un langage et un moyen de communication, certes utile, mais très limité, et qui donne souvent lieu à des confusions. Difficile à généraliser.
NB : Je suis sincèrement confus d'avoir écorché sans le vouloir votre pseudo, mais comme vous avez fait la même chose, en représailles, je suppose, avec le mien, c'est un match nul, balle au centre.

zilos
| 17-10-2019 12:42
je ne suis guère un spécialiste en linguistique et je n'ai pas le profil d'un littéraire ,c'est mon dernier souci et je ne veux pas explorer des forêts sans être bien armé .comment peu-on expliquer la communication par des gestes ? pourtant ce langage est bien exploité par des gens .y a-t-il un amalgame de langages dans ce cas ?je ne le sais pas .peut être un spécialiste comme vous peut nous éclairer. il y a de l'intolérance dans ton commentaire car tu considère que ce mélange casse les oreilles et rend l'âme malade pourtant tout le monde parle ainsi sans le vouloir ni le savoir à moins qu'un bâton tombe sur nos tête par un dictateur imposant son dialecte .

Hechmi
| 17-10-2019 12:21
Tous les adeptes de ks ont montré, depuis moins d'une semaine de l'annonce des résultats, qu'ils ne savent pas dialoguer ou respecter l'avis contraire au leur. Seules les insultes et souvent les agressions physiques sont leurs "qualités" premières. Maintenant ces sont les menaces de mort qui fusent de ces enragés. Oui ks est un non-violent: première déclaration, nous sommes en guerre avec Israël mais aucune déclaration pour apaiser les tensions créées par les adeptes de sa secte et ses alliés. Un vrai Ghandi des temps modernes.

zamharir
| 17-10-2019 12:11
Je ne sais pas si vous avez fait exprès d'écrire dans ce français approximatif qui n'a rien à voir avec le français des livres et des écoles, même si dans certains livres on peut introduire des expressions approximatives, qui restent cependant l'exception. Pour vous avoir déjà lu sur ce site, je pense que vous pouvez faire mieux. Il n'est pas indifférent de ne pas respecter une langue, car parler, écrire, ce n'est pas que de la « communication ». C'est aussi de la transmission et transmettre implique une exigence de rigueur et d'intelligibilité. Je ne sais pas si le berbère est une «vraie» langue. Les deux Académies créées au Maroc et en Algérie pour sortir ce dialecte de l'oralité n'arrivent pas à s'entendre entre elles, ni à l'intérieur de chacune d'elles, sur ses conditions d'émergence. Il faut donner le temps au temps sans doute. C'est ce que nous enseigne l'histoire des langues. La « darija » maghrébine, langue populaire, n'est pas du tout cette langue hybride que les acculturés francophiles essaient d'imposer dans les média. C'est une variante de l'arabe, qui appartient à l'aire culturelle nationale et qui lui reste attachée. On peut l'améliorer à travers les média notamment. Les plus âgés d'entre nous, se souviennent sans doute des « grande voix » de la radio tunisienne. Ce projet a existé au début de l'indépendance de la Tunisie et jusqu'à la fin des années 1970, avant d'être abandonné sous la pression d'un néo-colonialisme culturel envahissant qui continue à étendre ses tentacules. Il faudrait se reprendre. Et continuons à nous avoir aux autres en apprenant leur langue et en les pratiquant correctement, sans complexe aucun.

zilos
| 17-10-2019 11:39
mon père a fait avec les français la guerre en Indochine et parle le français de comme on le dit (français de Madacascar :exemple :moi frappe toi ,toi frappe moi ) on s'enfiche des règles de grammaire ,en revanche l'idée est bien reçu . si par hazard tu regardes un jour la tv des BERBERES SUREMENT TU VAS EN AVOIR MARRE D'ENTENDRE CES GENS 1/3 ARABE 1/3 FRANCAIS ET LE RESTE DU VRAI BERBERE .va-t-on les condamner ?
nous aussi on parle d'une façon sinueuse français arabe arabe français et ainsi de suite et la chaîne continue ,ainsi les idées s'interfèrent et les gens se communiques en paix .
même dans la littérature écrite dès fois en trouve des mots d'autre langues rien que pour éclairer le lecteur ,et ce n'est jamais dangereux .l'essentiel est que l'idée arrive aux autres .
le language académique est très different de celui du language courant .ROBOCOP N'EST CERTAINEMENT PAS COMPRIS PAR TOUS CEUX QUI L'ON VOTE ,PUISQU'IL EST DANS UN AMPHITEATRE DE L'UNIVERSITE DE LA TUNISIE DE BIZERTE A BORJ EL KHDRA .PUISQUI'IL PARLE AVEC UN ARABE CLASSIQUE LITTERAIRE .
YARHMEK YA BAJI .EJJEMAA LA FEHMOU LA KOUOU LA BOUOU .
cordialement

zilos
| 17-10-2019 11:01
rien que voir ces yeux d'ou jaillissent terreurs et violences .il n'est jamais sincère ,c'est le porte parole des LPR .
MEFIANCE ,UNE ANNEE MOUVEMENTEE TERRIFIANTE ,TRISTE ;NOIRE ,UNE ANNEE RECORD D'ASSASSINAT AU NOM DU GOUROU ENVOYE DE DIEU SUR TERRE
bienvenue à TUNISTANE .

zamharir
| 17-10-2019 10:29
Parlez arabe, parlez français, anglais, espagnol ou allemand, mais, de grâce, cessez de paerler franco-arabe, une langue hybride, qui n'est pas la darija tunisienne et n'a rien à voir avec l'idiome de nos parents et grands parents. Elle écorche l'oreille du Tunisien, hors le petit cercle des acculturés francophiles, et est réductrice de la pensée. Il faut savoir tirer les leçons de la malheureuse expérience de Nabil Karoui, qui, pensant en français, ne parvenait pas à formuler ses messages en "arabe charabia" ni à les passer dans cette langue absconse (rakika). Outre qu'elle choque les classes populaires au moment où celles-ci commencent à s'éveiller à leur culture nationale, elle ne permet pas de produire une pensée cohérente, claire, intelligible. Il y a en plus quelque chose de ridicule à mélanger le "r" roulé de la langue arabe et le "r" guttural du français des salons, car hors des salons, les Tunisiens continuent à rouler les "r" en parlant français. Un dernier rappel : de plus en plus d'intellectuels français et francophones en France et dans le monde ont décidé de militer contre l'intrusion intempestive de l'anglais dans la langue française, en particulier dans les médias et dans les milieux des affaires. Suivons ce bon exemple. Parlons arabe, parlons français, mais parlons correctement les deux, trois, ou quatre langues que nous maîtrisons, afin de ne pas appauvrir notre expression en les mélangeant, sans raison autre que la paresse d'avoir à chercher le bon mot et la bonne expression. Il ne s'agit pas seulement de "communiquer", mais de transmettre des messages culturels qui ne peuvent passer que par dans une langue correcte.